Prise en charge de l'analgésie postopératoire chez l'enfant en chirurgie des doigts PDF Download

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Prise en charge de l'analgésie postopératoire chez l'enfant en chirurgie des doigts

Prise en charge de l'analgésie postopératoire chez l'enfant en chirurgie des doigts PDF Author: Emmanuelle Trille
Publisher:
ISBN:
Category :
Languages : fr
Pages : 154

Book Description
La douleur est la première cause de plainte au retour à domicile des enfants opérés en chirurgie ambulatoire. Le mode de pratique en ambulatoire, bien que pas assez développé en France, apporte pourtant un réel intérêt en pédiatrie. Le but de cette étude était de déterminer l'intérêt de l'anesthésie locorégionale sur la qualité de l'analgésie et sur les suites postopératoires chez l'enfant. Nous avons donc réalisé une étude incluant 59 enfants de 9 mois à 5 ans et comparant deux modes de prise en charge de l'analgésie postopératoire d'une chirurgie des doigts. Dans le groupe ALR, des blocs tronculaires au poignet, médian, radial ou ulnaire en fonction de la topographie de la lésion étaient réalisées avec repérage par neurostimulation, à la bupivacaïne 0,5% (0,1 mL.kg-1) après induction de l'anesthésie générale par inhalation de sévoflurane. Dans le groupe Morphinique, l'analgésie postopératoire était prise en charge immédiatement après induction de l'anesthésie générale (sévoflurane et alfentanil, en ventilation spontanée) par une association d'acide niflumique (20 mg.kg-1) et propacétamol (30 mg.kg-1), puis en postopératoire par paracétamol (15 mg.kg-1) toute les 6 heures. En SSPI puis en hospitalisation, tous les enfants jugés algiques (CHEOPS>=7) recevaient de la nalbuphine (0,2 mg.kg-1). Le bloc tronculaire couvrait mieux la période postopératoire immédiate mais de retour à domicile l'incidence de la douleur n'était pas dépendante de la technique analgésique peropératoire. L'anesthésie locorégionale permettait une récupération postopératoire plus rapide que dans le groupe analgésie systémique et donc était mieux adaptée à la prise en charge en ambulatoire. Les vomissements liés à la consommation morphinique étaient responsables de la prolongation de l'hospitalisation.