Author: Gérard Thiébaut
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Languages : fr
Pages : 272
Book Description
Traitement des fractures du col du fémur chez le vieillard
Traitement des fractures du col du fémur chez le vieillard par clou-plaque seellés
Author: Guy Eugène Germain Marechal
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Languages : fr
Pages : 0
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Languages : fr
Pages : 0
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Les fractures du col du fémur chez le vieillard
Etude comparative sur quelques points des fractures du col du fémur chez le vieillard et chez l'adulte
Traitement des fractures du col du fémur chez le vieillard par clou-plaque scellé
Author: Guy Eugène Germain Marechal
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Languages : fr
Pages : 118
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Languages : fr
Pages : 118
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Étude comparative sur quelques points des fractures du col du fémur chez le vieillard et chez l'adulte. Thèse, etc
Fracture du col du fémur chez la personne âgée de 75 ans et plus vivant à domicile
Author: Dalila Dakka
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Category :
Languages : fr
Pages : 90
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Introduction : du fait de la population vieillissante, l'incidence des fractures du col du fémur est en constante augmentation. Les conséquences liées à ces fractures sont graves : un taux de mortalité qui reste élevé, mais aussi une perte d’autonomie et une altération de qualité de vie. L’objectif de notre étude était d’identifier les facteurs prédictifs de récupération d’autonomie chez les patients de plus de 75 ans, à deux ans d’une fracture de l’extrémité supérieure du fémur post traumatique opérée. Matériels et méthodes : nous avons réalisé une étude de cohorte prospective unicentrique sur le CHU de Nice. Ont été inclus les patients âgés de plus de 75 ans, vivant à domicile et ayant une fracture de l’extrémité supérieure du fémur opérée. Nous avons recueilli les informations dès le début de leur hospitalisation en traumatologie, puis par appel téléphonique à deux ans de l’intervention. Nous avons considéré que le patient a repris son autonomie globale si son score ADL à deux ans atteignait au moins le score ADL avant la fracture.Résultats : parmi les 119 patients inclus dans notre étude, 58% d’entre eux ont présenté une altération de leur autonomie. On note également une dégradation de leur niveau de marche. En effet, le nombre de patients ayant recours à une aide technique à deux ans de l’intervention avait doublé. D’autre part, un quart des patients a été institutionnalisé à deux ans de l’intervention. Le fait de marcher avec une aide technique (OR 2,88 IC à 95% de 1,12 à 7,38) et le fait de ne pas faire de chutes à répétition (OR 2,79 IC 95% de 1,10 à 7,09) avant la fracture étaient des facteurs prédictifs positifs de reprise d’autonomie globale à deux ans. Avec une moindre significativité, la démence, le confinement à domicile pré-opératoire, les escarres ainsi que l’injection de fer en post-opératoire étaient des facteurs prédictifs négatifs de reprise d’autonomie. A contrario, le sexe féminin, les antécédents de cancer et d’insuffisance rénale étaient prédictifs positifs de reprise d’autonomie.Conclusion : notre étude a montré l’importance du maintien de la marche et de la prévention des chutes à répétition en cas de FESF pour favoriser une meilleure reprise d’autonomie à deux ans de l’intervention. La prévention en médecine générale et le développement des consultations « chutes » ou « trouble de la marche » paraissent indispensables. Repérer les patients fragiles dès leur hospitalisation afin de leur appliquer un programme de rééducation plus adapté, plus intense, et prévenir les complications post-opératoires sont deux autres axes intéressants de prise en charge à améliorer.
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Languages : fr
Pages : 90
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Introduction : du fait de la population vieillissante, l'incidence des fractures du col du fémur est en constante augmentation. Les conséquences liées à ces fractures sont graves : un taux de mortalité qui reste élevé, mais aussi une perte d’autonomie et une altération de qualité de vie. L’objectif de notre étude était d’identifier les facteurs prédictifs de récupération d’autonomie chez les patients de plus de 75 ans, à deux ans d’une fracture de l’extrémité supérieure du fémur post traumatique opérée. Matériels et méthodes : nous avons réalisé une étude de cohorte prospective unicentrique sur le CHU de Nice. Ont été inclus les patients âgés de plus de 75 ans, vivant à domicile et ayant une fracture de l’extrémité supérieure du fémur opérée. Nous avons recueilli les informations dès le début de leur hospitalisation en traumatologie, puis par appel téléphonique à deux ans de l’intervention. Nous avons considéré que le patient a repris son autonomie globale si son score ADL à deux ans atteignait au moins le score ADL avant la fracture.Résultats : parmi les 119 patients inclus dans notre étude, 58% d’entre eux ont présenté une altération de leur autonomie. On note également une dégradation de leur niveau de marche. En effet, le nombre de patients ayant recours à une aide technique à deux ans de l’intervention avait doublé. D’autre part, un quart des patients a été institutionnalisé à deux ans de l’intervention. Le fait de marcher avec une aide technique (OR 2,88 IC à 95% de 1,12 à 7,38) et le fait de ne pas faire de chutes à répétition (OR 2,79 IC 95% de 1,10 à 7,09) avant la fracture étaient des facteurs prédictifs positifs de reprise d’autonomie globale à deux ans. Avec une moindre significativité, la démence, le confinement à domicile pré-opératoire, les escarres ainsi que l’injection de fer en post-opératoire étaient des facteurs prédictifs négatifs de reprise d’autonomie. A contrario, le sexe féminin, les antécédents de cancer et d’insuffisance rénale étaient prédictifs positifs de reprise d’autonomie.Conclusion : notre étude a montré l’importance du maintien de la marche et de la prévention des chutes à répétition en cas de FESF pour favoriser une meilleure reprise d’autonomie à deux ans de l’intervention. La prévention en médecine générale et le développement des consultations « chutes » ou « trouble de la marche » paraissent indispensables. Repérer les patients fragiles dès leur hospitalisation afin de leur appliquer un programme de rééducation plus adapté, plus intense, et prévenir les complications post-opératoires sont deux autres axes intéressants de prise en charge à améliorer.