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Author: Arthur Dehondt Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 58
Book Description
Contexte : la recherche en soins primaires est insuffisamment développée et peu mise en avant. Pourtant, elle constitue un moyen de formation et d'amélioration de sa pratique quotidienne au même titre que les formations organisées dans le cadre du développement professionnel continu. L'objectif principal de cette étude était de démontrer que la recherche en médecine générale est un moyen de se former professionnellement permettant d'améliorer sa pratique. L'objectif secondaire était de déterminer quels sont les éléments participants à cette formation. Méthode : il s'agissait d'une étude quantitative, épidémiologique, descriptive, transversale, multicentrique, nationale conduite à partir d'un questionnaire à questions fermées, en ligne élaboré sur Limesurvey® et envoyé par mail aux participants. Les données extraites dans le logiciel Excel® ont été analysées avec l'aide de la cellule d'aide méthodologique du CHRU. L'étude a été menée sur un échantillon représentatif de médecins généralistes français au niveau national, tirés au hasard à partir de l'annuaire des pages jaunes. Les critères d'inclusion étaient d'être médecin généraliste libéral exerçant en France métropolitaine. Résultats : l'intégralité du questionnaire a été complétée par 172 médecins. Sur les 172, 88 (51%) déclaraient avoir déjà participé à un travail de recherche. Les travaux de recherche avaient toujours ou souvent amenés 57 (65%) des participants à réviser les dossiers de leurs patients. Pour 65 (74%) d'entre eux, la recherche était un moyen de formation. Il existait une association significative (p
Author: Arthur Dehondt Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 58
Book Description
Contexte : la recherche en soins primaires est insuffisamment développée et peu mise en avant. Pourtant, elle constitue un moyen de formation et d'amélioration de sa pratique quotidienne au même titre que les formations organisées dans le cadre du développement professionnel continu. L'objectif principal de cette étude était de démontrer que la recherche en médecine générale est un moyen de se former professionnellement permettant d'améliorer sa pratique. L'objectif secondaire était de déterminer quels sont les éléments participants à cette formation. Méthode : il s'agissait d'une étude quantitative, épidémiologique, descriptive, transversale, multicentrique, nationale conduite à partir d'un questionnaire à questions fermées, en ligne élaboré sur Limesurvey® et envoyé par mail aux participants. Les données extraites dans le logiciel Excel® ont été analysées avec l'aide de la cellule d'aide méthodologique du CHRU. L'étude a été menée sur un échantillon représentatif de médecins généralistes français au niveau national, tirés au hasard à partir de l'annuaire des pages jaunes. Les critères d'inclusion étaient d'être médecin généraliste libéral exerçant en France métropolitaine. Résultats : l'intégralité du questionnaire a été complétée par 172 médecins. Sur les 172, 88 (51%) déclaraient avoir déjà participé à un travail de recherche. Les travaux de recherche avaient toujours ou souvent amenés 57 (65%) des participants à réviser les dossiers de leurs patients. Pour 65 (74%) d'entre eux, la recherche était un moyen de formation. Il existait une association significative (p
Author: Benjamin Robert Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 48
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Contexte. La recherche en médecine générale a évolué depuis une quinzaine d'année tout en répondant aux enjeux scientifiques et identitaires. Cependant certains médecins généralistes craignent le développement d'une recherche « hors-sol ». Objectif. Evaluer la pertinence des résultats des travaux de recherche français en médecine générale, telle que perçue par les médecins généralistes. Méthodes. Une enquête descriptive transversale par questionnaire internet a été réalisée auprès de médecins généralistes et d'internes en médecine générale présents au congrès de Collège de la Médecine générale France 2016 puis mis en ligne sur le site du journal « Le Généraliste ». Trois chercheurs ont extrait les objectifs et résultats des communications orales présentées au congrès du Collège national des généralistes enseignants 2015 et au congrès du Collège de la Médecine générale France 2016. La pertinence d'une série de 24 objectifs et de 24 résultats, tirés au sort parmi les 234 travaux étudiés, était évaluée selon une échelle de Likert. Résultats. Entre le 30 mars et le 11 juillet 2016, 205 répondants ont répondu à l'enquête. Les médecins généralistes ont jugé comme « plutôt » ou « tout à fait » pertinent 86.2% des résultats (IC95 [81 7 - 90.7]). La concordance inter-évaluateurs concernant les résultats était faible (K=0.079). La concordance entre pertinence de l'objectif et du résultat au sein de chaque étude était faible également (K=0.08). Aucune association n'a été retrouvée entre la pertinence perçue et les caractéristiques des études ou des répondants. Conclusion. La recherche étant une condition nécessaire au développement d'une médecine de qualité, les résultats des travaux de recherche en médecine générale sont jugés pertinents par les médecins généralistes qui en sont les principaux bénéficiaires.
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Introduction: La recherche en médecine générale permet la production de données scientifiques fondées sur des preuves engendrant une amélioration du service médical rendu au patient et aux systèmes de soins. Méthodologie: A l'aide d'une revue systématique de la littérature, l'objectif de ce travail était de faire un état des lieux et une analyse de l'évolution des publications des travaux de recherche en médecine générale (MG) et en soins primaires (SP) dans des pays de développement comparable dans l'Union-Européenne (UE), aux Etats-Unis (EU) et au Canada de 1974 à 2014. Dans un second temps, le contenu des publications des trois pays ayant le plus publiés en 2014 ainsi que celles de la France ont été étudiés. Résultats: Vingt pays dont l'IDH (Indice de développement humain) était supérieur à 0,85 ont été inclus. Depuis 1974, il existait une croissance globale du nombre de publications en MG/SP, à des vitesses différentes selon les pays, avec un accroissement plus marqué dans les années 1990. Quatre pays se démarquaient : les EU, le Royaume-Uni (RU), les Pays-Bas et le Canada. La capacité d'un pays à publier des travaux de recherche en MG et en SP dépend du nombre de médecins et non de la densité médicale. Dans les trois pays ayant le plus publiés en 2014 (EU, RU, Canada) et en France, le premier auteur n'était pas médecin généraliste dans plus de 60% des cas. Parmi eux, 45% faisait de la santé publique. Les études quantitatives et observationnelles étaient le plus représentées. Les patients (et/ou les maladies) étaient le plus étudiés, excepté en France où les publications concernaient les acteurs de soins primaires (dont les médecins généralistes) dans 50% des cas. Enfin les thèmes abordés concernaient surtout des thèmes spécifiques de la pratique clinique en particulier en France et au RU. Conclusion: Le RU et les Pays-Bas se placent parmi les meilleurs en terme de quantité de publication (totale et rapportée au nombre de médecin). Ceci est du à leur engagement important dans le développement académique de la discipline qui reste à renforcer dans d'autres pays.
Author: Sophie Nugues Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 168
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Notre étude a pour objectif de participer à l'état des lieux sur la recherche en médecine générale en ce début de XXI-ème siècle réalisé par le comité d'interface INSERM-médecine générale. Nous avons réalisé une étude prospective au sein d'un échantillon représentatif de médecins généralistes sélectionnés selon un mode aléatoire. Le recueil des données a eu lieu par l'intermédiaire de deux questionnaires successifs. : un questionnaire court qui nous a permis de cerner les médecins généralistes faisant de la recherche. Pour eux, un questionnaire long a permis d'établir leur profil et de mieux connaître le type de recherche pratiquée, les résultats et les difficultés rencontrées. Contrairement, à ce que la littérature médicale pourrait laisser croire, le potentiel de médecins généralistes faisant de la recherche est important, même si les caractéristiques et les contenus de cette recherche posent encore des problèmes de définition et de qualification. Malgré des freins multiples, particulièrement centrés sur les manques de disponibilité et de moyens financiers, la recherche en médecine générale existe bel et bien et fait l'objet de publications nombreuses et diversifiée. Notre étude montre que les profils des médecins faisant de la recherche sont variés et assez proche de ceux des médecins généralistes en activité, malgré quelques différences notables. Un statut juridique et financier de chercheur reconnu pourrait amplifier et stabiliser la recherche en médecine générale.
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En France, la recherche en soins primaires a connu un essor considérable ces dernières années. Cependant, on observe des disparités importantes entre les régions. Des réseaux de médecins généralistes investigateurs ont été créés. Il n'y a pas, actuellement, de coordination entre l'ensemble de ces réseaux. L'objectif de cette étude était de faire l'état des lieux de l'organisation de la recherche au niveau régional et d'évaluer les perspectives et attentes pour optimiser la recherche. Cette étude descriptive transversale a été réalisée par questionnaire, élaboré avec le groupe Réseau National d'investigateurs du CNGE. Il a été envoyé par informatique (LimeSurvey) à chaque directeur de DMG et référent recherche du collège régional des généralistes enseignants. Les objectifs de ce questionnaire étaient : d'obtenir des informations précises sur l'organisation et le fonctionnement des réseaux recherche et d'évaluer les attentes des régions sur un réseau national et les perspectives d'évolution. Les 35 DMG ont répondu au questionnaire. La majorité des DMG avait un référent recherche (94%) formé à la recherche et un groupe recherche (80%). La majorité des DMG (91%) travaillait avec des professionnels d'autres disciplines. La plupart des DMG était associé à des équipes de recherche labélisées et travaillait avec d'autres services (DRCI, CIC et service de santé publique). La recherche était orientée sur des axes thématiques dans 31 DMG. Sur les 35 DMG, 21 avaient un réseau d'investigateurs, 7 étaient en train de le créer. Ces réseaux avaient des listes de médecins généralistes investigateurs (95%) mais rarement en fonction des thématiques de recherches souhaitées par les médecins. La majorité des médecins investigateurs étaient également MSU. Seuls 2 réseaux avaient bénéficié d'un financement. Les principaux freins des médecins généralistes à faire de la recherche étaient le manque de temps, le fait que la recherche ne soit pas reconnue et l'absence de vériatble politique de recherche. Au sein des DMG, les principales difficultés étaient le manque de ressources humaines et de financement. La majorité des DMG (88%) pensait qu'une coordination au niveau national permettrait une amélioration de la recherche. L'organisation de la recherche en MG est un enjeu actuel majeur. La constitution d'un réseau national de médecins investigateurs de recherche, basé sur les réseaux régionaux permettrait d'améliorer la quantité et la qualité des projets de recherche.
Author: CNGE Publisher: Elsevier Health Sciences ISBN: 2294768310 Category : Medical Languages : fr Pages : 593
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Premier ouvrage en langue française référent en médecine générale, ce nouveau volume de la collection «Pour le praticien» est publié sous l’égide du Collège national des généralistes enseignants. La médecine générale enfin rédigée par des généralistes ! Composé de quatre grandes parties, cet ouvrage couvre, dans une orientation Evidence Based Medicine, les domaines suivants : • la médecine générale et sa place dans le système de santé (prévention, écologie des soins de santé ...), • la communication (l’approche centrée patient, psychothérapie, questions éthiques ...), • les familles de situations de soins (patients souffrant de pathologies chroniques ou de problèmes aigus/non programmés fréquents ou urgents, des problèmes de santé concernant les spécificités de l’enfant et de l’adolescent, de la sexualité, de couple, du travail ...), • le médecin généraliste dans son environnement (efficience du système de santé, soins primaires, coopération interprofessionnelle, organisation pluriprofessionnelle, ressources médicosociales, formation continue ...). Sous une forme résolument didactique et pédagogique, il propose au praticien une aide à la démarche diagnostique et un reflet de l’actualité des connaissances. L’ouvrage s’adresse aux internes et jeunes praticiens et aux médecins généralistes confirmés qui souhaitent mettre à jour leurs connaissances.
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La mise en place de la filière universitaire de médecine générale impose le développement d'une recherche de qualité au sein des départements de médecine générale. C'est par la production de travaux, notamment de thèses, que s'exprime cette mission. La recherche peut nécessiter la contribution active des médecins par le biais d'enquête. L'analyse des thèses en soins primaires soutenues à Caen entre 1988 et 2008 faisant appel aux généralistes nous a permis d'identifier un certain nombre de déterminants susceptibles de motiver la participation de ces derniers. Ainsi, le choix d'un sujet s'intéressant à l'exercice du métier, un échantillon de moins de 100 médecins, la lisibilité de l'enquête comme sujet de thèse, l'utilisation d'un questionnaire court, l'incitation financière, un recueil par entretien ou par téléphone plutôt que par courrier sont autant de facteurs influant sur le taux de réponse. Ne perdons pas de vue que la mise en place de quelques-uns de ces déterminants dépend cependant des moyens humain et financier disponibles. Parallèlement, le perfectionnement de l'encadrement et de la formation des thésards est indispensable.
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L'objectif de cette étude était de fournir une analyse de la production scientifique dans le but d'identifier les principaux sujets ainsi que les acteurs prédominants (journaux, pays) impliqués dans le champ de la médecine générale, Méthode : Une recherche a été réalisée sur PubMed pour extraire les articles via une requête spécifique élaborée par des documentalistes et des médecins généralistes. Les données recueillies étaient pour chaque article: le nom du journal, les mots-clés MeSH, la langue et l'année de publication. Résultats : 75 093 articles ont été extraits, publiés dans 3 802 journaux. Les 3 journaux les plus productifs étaient « British Journal of General Practice » (6,8%), « British Medical Journal » (6,7%) et « Family Medicine » (3,4%). Les articles étaient principalement écrits en anglais (83,3%), le français arrivant en P." position (2,9%). Les Etats-Unis étaient le pays le plus productif en nombre d'articles publiés (27,2%), la France se trouvait au 7ème rang (2,5%). Le nombre d'articles publiés dans le champ de la médecine générale progressait au cours des années, passant de 746 en 1985 à plus de 2 500 publications en 2014. Les articles français suivaient la même évolution avec un record de 72 articles publiés en 2013. Les 2 grands thèmes les plus représentés étaient la pratique médicale (« modèles de pratique médicale », « attitude du personnel soignant ») et la formation des médecins (« internat et résidence », « formation médicale continue »). Conclusion : En raison du grand nombre d'articles inclus et des nombreux paramètres analysés, cette étude fournit une large vue de la production scientifique liée à la médecine générale et permet une meilleure connaissance de ce champ, offrant ainsi de nouvelles perspectives de recherche.
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Pré requis : la médecine générale connait un essor important dans la réalisation de travaux de recherche. La recherche est nécessaire à la pratique d’une médecine fondée sur les preuves. Bien que la majorité des médecins généralistes soient favorables à la recherche en médecine générale, seul un quart y participe. Les barrières sont nombreuses : temps, formation, rémunération. L’ensemble des travaux menés à ce jour ont tous été orientés vers les médecins généralistes. Objectif : l’objectif de ce travail est de connaître le ressenti des patients dont le médecin généraliste participe à des travaux de recherche. Les objectifs secondaires sont de déterminer le raisons ayant poussé les patients à participer aux études et leurs attentes quant à la recherche. Méthode : une étude qualitative a été réalisée auprès de patients ayant participé à des études dont leur médecin généraliste était investigateur. Des entretiens semi-dirigés ont été réalisés auprès de quinze patients. Résultats : les patients ont tous une vision positive de leur médecin généraliste investigateur. Ils ont plus confiance en lui. Conclusion : la participation du médecin généraliste à la recherche valorise son image. La relation médecin/patient est le moteur principal à la participation des patients. Ce travail pourrait servir d’argument pour favoriser la participation des médecins à la recherche.
Author: Arthur Dehondt
Author: Arthur Dehondt
Author: Benjamin Robert
Author: Florence Hajjar-Stephan
Author: Sophie Nugues
Author: Laurence Charvin Tirard-Gatel
Author: CNGE
Author: Elodie Morice
Author: Clémence Collard-Siedlescki
Author: National Library of Medicine (U.S.)
Author: Dehbia Cherif