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De la perte de confiance légitime en droit contractuel

De la perte de confiance légitime en droit contractuel PDF Author: Alexis Albarian
Publisher: Editions Mare et Martin
ISBN: 9782849340899
Category : Good faith (Law)
Languages : fr
Pages : 700

Book Description


De la perte de confiance légitime en droit contractuel

De la perte de confiance légitime en droit contractuel PDF Author: Alexis Albarian
Publisher: Editions Mare et Martin
ISBN: 9782849340899
Category : Good faith (Law)
Languages : fr
Pages : 700

Book Description


La confiance en droit des contrats

La confiance en droit des contrats PDF Author: Vincent Edel
Publisher:
ISBN:
Category :
Languages : fr
Pages :

Book Description
En faisant apparaître le phénomène de diffusion de la confiance en droit général, il est possible de montrer que la confiance peut être une notion fondamentale du droit des contrats. La notion de confiance légitime sert ainsi de critère de qualification de la faute précontractuelle et de fondement à la force obligatoire du contrat. Le droit comparé permet de montrer que cette notion est utilisée tant par la doctrine que par la jurisprudence. Ainsi en est-il de la notion de reliance en droit anglais. En droit français, la notion de confiance entre en relation avec les principes de sécurité juridique et de prévisibilité. Le respect de ces principes permet l'instauration d'un climat de confiance. Dans une vision renouvelée du contrat, la notion de confiance traduit le passage d'une opposition d'intérêts entre les parties à l'établissement d'une véritable relation contractuelle entre partenaires. La prise en considération du comportement des contractants fait naître des devoirs de cohérence et de coopération. Dans cette nouvelle perspective, la notion de "contrat relationnel" met l'accent sur le souci d'assurer la pérennité du contrat afin d'instaurer entre les partenaires une conjecture de confiance. La notion de confiance participe ainsi d'un renouveau du paradigme du droit des contrats.

La confiance en droit privé des contrats

La confiance en droit privé des contrats PDF Author: Valérie-Laure Benabou
Publisher: Dalloz-Sirey
ISBN: 9782247078905
Category : Contracts
Languages : fr
Pages : 158

Book Description
La confiance est dans l'air du temps. Après la vague de " transparence ", les législations récentes résonnent désormais comme autant d'appels à la confiance. Le législateur tente ainsi de redynamiser l'économie en restaurant la confiance ou en instaurant un climat de confiance. Loin de se limiter à une dimension politique et abstraite (confiance dans l'économie, confiance dans le système juridique), la confiance innerve également les rapports individuels. Cette pénétration de la confiance dans la sphère juridique se manifeste avec une particulière acuité en droit privé des contrats ; elle constituerait même, selon Gérard Cornu, l'âme des contrats. Dès lors, l'étude de la confiance en droit privé des contrats apparaît comme un élément central de réflexion, à l'heure annoncée de la recodification du droit des obligations.

Le principe de la confiance et la formation du contrat en droit suisse

Le principe de la confiance et la formation du contrat en droit suisse PDF Author: Robert Patry
Publisher:
ISBN:
Category : Contracts
Languages : fr
Pages : 296

Book Description


Le principe de confiance et la formation du contrat en droit Suisse

Le principe de confiance et la formation du contrat en droit Suisse PDF Author: Robert Patry
Publisher:
ISBN:
Category :
Languages : fr
Pages : 296

Book Description


Droit des obligations. Le contrat

Droit des obligations. Le contrat PDF Author: Nicolas Véronique
Publisher: Editions Ellipses
ISBN: 2340050715
Category : Law
Languages : fr
Pages : 352

Book Description
À l'issue de l'Ordonnance du 10 février 2016 relative notamment au droit des contrats, il était exclu de faire paraître un ouvrage sur ce thème sans à la fois intégrer les modifications apportées par les nouvelles dispositions et sans tenter de donner un éclairage sur leur portée au moins à court et à moyen terme. Le présent ouvrage ne se contente donc pas d'une insertion de type copier-coller mais souligne l'ampleur ou non des changements réalisés en essayant d'apprécier l'évolution au regard des acquis passés, jurisprudentiels ou doctrinaux. Tout juriste voire tout individu soucieux de comprendre ce que sont, désormais, les contrats et leur fonctionnement devrait puiser dans cet exposé de la matière les réponses à ses interrogations. Pour autant, les développements ne s'adressent pas qu'aux profanes ou professionnels et aux étudiants en 2e, 3e et 5e années de formation. Ils ne se limitent pas à une intégration de la réforme du 10 février 2016, cherchant à en démontrer les forces et faiblesses de manière prospective, et pourront donc également intéresser les chercheurs et praticiens.

Le rôle de la bonne foi en droit des contrats

Le rôle de la bonne foi en droit des contrats PDF Author: Sandrine Tisseyre
Publisher:
ISBN:
Category :
Languages : fr
Pages : 411

Book Description
La bonne foi est une notion complexe, qui ne peut être enfermée dans une définition unique. Néanmoins, et contrairement à ce qu'il a été prétendu, elle n'en devient pas pour autant insaisissable: la bonne foi peut être appréhendée eu égard à ses rôles, ceux-ci se révélant précieux pour doter la notion de sens. Deux d'entre eux possèdent une importance cruciale. La bonne foi a, d'une part, un rôle procédural. Elle est une norme de comportement qui s'impose aux parties à des négociations ou aux contractants tout au long du processus contractuel. Dans ces hypothèses, la bonne foi procédurale protège la confiance du cocontractant et joue un rôle correctif. La bonne foi a, d'autre part, un rôle substanciel. Ses manifestations sont de deux ordres, annihilateur et créateur. Les termes du contrat doivent refléter une certaine loyauté. Sans s'apparenter à une exigence de proportionnalité, la bonne foi permet de sanctionner certains engagements, car ceux-ci dénotent une irrégularité procédurale matérialisée par un vice substanciel. Bien qu'il soit largement contreversé, le rôle substanciel de la bonne foi est bien réél. Le contenu contractuel est modifié a minima. Le rôle substanciel de la bonne foi conduit, en outre, à l'adjonction d'obligations implicites. Cette fonction complétive doit être distinte de l'article 1135 du Code civil. Les obligations fondées sur la bonne foi assurent la pérennité du lien contractuel. Bien que diversifiés, les rôles de la bonne foi, et les critères que nous proposons pour chacun d'eux, dotent la notion d'une cohérence, favorisant son applicabilité.

La standardisation en droit des contrats

La standardisation en droit des contrats PDF Author: Claire Serlooten
Publisher:
ISBN:
Category :
Languages : fr
Pages : 801

Book Description
Le phénomène de standardisation est aussi visible en droit des contrats et mérite d'être pris en compte parce qu'il constitue une évolution irréversible. Mis en lumière par ses différentes manifestations (le contrat d'adhésion, le contrat-type et les conditions générales) il se traduit sur le plan juridique par l'utilisation répétée de contrats-modèles impératifs ou facultatifs à l'élaboration et la formation d'un contrat. Par conséquent, il peut être conçu comme un processus enclenché par le choix d'un modèle pré-rédigé de contrat, se poursuit par l'incorporation de ce dernier dans une relation contractuelle, et se réalise pleinement par une répétition à grande échelle de son emploi. La figure traditionnelle de contrat, celle du contrat de gré à gré, est donc modifiée mais le contrat, outil au service de la volonté des parties, n'est pas dénaturé pour autant. Il conserve ses caractéristiques propres malgré la restriction de la liberté de fixation du contenu contractuel qu'il emporte. Toutefois, la standardisation contractuelle comporte des risques inhérents à la technique employée. Un détournement partiel de la finalité du modèle, comme mode d'organisation rationnelle de la relation contractuelle, pourrait être effectué pour déséquilibrer le rapport entre les parties. Le droit commun des contrats doit donc protéger la confiance accordée par les parties au contrat-modèle. Il s'agit, en conséquence, de montrer que, par les principes actuels du droit des contrats combinés aux évolutions significatives perceptibles, il est possible de concilier cet indispensable encadrement de la standardisation contractuelle avec l'efficacité économique souhaitable des contrats standardisés, figures incontournables de la société actuelle. La considération mesurée des intérêts de chacune des parties au contrat sera ainsi assurée.

Le prix du contrat

Le prix du contrat PDF Author: Akila Gherbi
Publisher:
ISBN:
Category :
Languages : fr
Pages : 618

Book Description
Au cours de ces dernières années, la question du prix a suscité un important débat jurisprudentiel en France.Selon la doctrine, la détermination du prix est une exigence inhérente à la notion de contrat, qui demeure un acte de prévision entre les contractants. Ainsi, lorsqu'on parle de prix déterminé cela signifie que celui-ci doit être chiffré ou du moins fixé lors de la conclusion du contrat. En outre, le prix doit être réel et sérieux. La lésion n'est admise en revanche qu'à titre exceptionnelle par le Code Civil. Si on adopte une conception purement volontariste du contrat, l'essence du contrat est de fixer le cadre des obligations auxquelles se soumettent les parties.De nombreux auteurs le qualifient de cadre indispensable aux prévisions individuelles : selon Monsieur HAURIOU, le contrat est l'entreprise «la plus hardie qui puisse se concevoir pour établir la volonté humaine sur les faits, en les intégrant d'avance dans un acte de prévision ». La nécessité de fixer le prix découlerait donc de la fonction sociale du contrat qu'est l'emprise de l'homme sur l'avenir. La force obligatoire est indispensable à la confiance du créancier et au crédit, comme l'a si bien exprimé Monsieur GOUNOT selon ces termes : « jamais un vendeur ne se dessaisirait de sa chose, un prêteur de ses deniers, jamais un propriétaire ne livrerait la jouissance de son immeuble ou une personne quelconque ses services, si le phénomène juridique de l'obligation ne leur garantissait la réception en retour de l'équivalent escompté et promis ».Or, cette garantie passe avant tout par une définition claire et précise des termes essentiels de l'accord. La détermination du prix serait donc une exigence inhérente à la notion de contrat, « si un acte est conclu alors qu'un élément essentiel n'existe pas, par exemple la chose, ou est incertain, par exemple le prix, il n'y a ni contrat définitif, ni droit conditionnel, mais plutôt contrat virtuel ou avant contrat ou droit éventuel ».Le droit français commande-t-il la détermination du prix au moment de la formation du contrat ? Hormis l'article 1591 du Code Civil relatif à la vente, très peu de textes imposent explicitement l'existence d'un accord des parties sur le prix. Dans la conclusion des contrats à titre onéreux, le prix demeure pourtant un point crucial où se cristallisent souvent les divergences des contractants. Notre réflexion portera d'abord sur la vente, considérée comme l'archétype des contrats, pour s'élargir aux autres contrats. L'article 1591 du Code Civil exige à peine de nullité du contrat de vente, que le prix doit être déterminé et désigné par les parties. Ce faisant, il érige le prix en un élément essentiel du contrat. Par détermination, faut-il entendre que le prix soit chiffré dès l'échange des consentements ? Par un arrêt datant du 7 janvier 1925, la Chambre des Requêtes a considéré selon une formule désormais devenue classique, que si le prix d'une vente doit être déterminé et désigné par les parties, «il n'est pas nécessaire que le montant en soit fixé dans le principe d'une manière absolue. Il suffit, pour la formation de la vente, que le prix puisse être déterminé, en vertu des clauses du contrat, par voie de relation avec des éléments qui ne dépendent plus de la volonté ni de l'une, ni de l'autre des parties ». Ainsi, les parties doivent convenir du prix ou le rendre au moins déterminable par référence à des critères ou éléments futurs, sans qu'un accord postérieur entre elles ne soit nécessaire pour les mettre en œuvre, au risque d'entraîner la nullité du contrat. L'exigence d'un accord conduit à sanctionner les ventes dans lesquelles subsiste une discussion sur le prix, il s'ensuit que les juges sont amenés à rechercher si les parties ont arrêté un prix ou si au contraire elles étaient restées au stade de pourparlers.La Cour de Cassation fait preuve d'une grande sévérité en invalidant tout accord qui laisserait subsister une incertitude sur le prix car celle-ci «ferait naître une incertitude sur le consentement lui-même ». L'hypothèse la plus extrême est celle où le contrat se borne à prévoir que la fixation du prix se fera «d'un commun accord ». Lorsque le prix est stipulé qu'il sera laissé à l'arbitrage d'un tiers, il est également déterminable. L'article 1592 du Code Civil prévoit en ces termes, que le prix «peut cependant être laissé à l'arbitrage d'un tiers, si le tiers ne veut ou ne peut faire l'estimation, il n'y a point de vente». Ce procédé de détermination n'est licite que dans la mesure où il est gage d'objectivité du prix. Si l'intervention d'un tiers a été expressément prévue par le législateur, c'est parce que le procédé offrait des garanties suffisantes contre toute fixation discrétionnaire par l'une ou l'autre partie : « la détermination du prix par un tiers est licite, parce qu'aucune des parties n'est à la discrétion de l'autre. Mais elles deviennent toutes deux à la discrétion du tiers convenu ».Le principe de la détermination du prix de vente a pour corollaire le principe de non immixtion du juge. Le juge ne peut, indépendamment de leur volonté des parties, intervenir dans le processus de fixation. La Haute juridiction est traditionnellement hostile à la fixation judiciaire du prix de vente car elle équivaudrait à permettre l'exécution d'un contrat imparfait, et même s'il s'agit d'une décision équitable des juges du fond, elle prononce régulièrement la cassation pour violation de l'article 1591 du Code Civil. Si, toutefois une certaine tendance jurisprudentielle en faveur du maintien du contrat se dégage, le principe est appliqué avec rigueur par les tribunaux: le juge n'est pas autorisé à combler soit d'office, soit par des mesures d'expertise l'absence d'un accord sur le prix et ne peut que prononcer la nullité de la vente. Hormis le louage d'ouvrage ou contrat d'entreprise présenté comme un exemple de réussite où le prix n'a nul besoin d'être déterminé, le droit interne est assez rigoureux. On peut se demander quel est le système adopté par nos pays voisins. On observe que l'exigence de détermination du prix ne s'impose pas avec la même rigueur, et qu'au contraire une place de choix est accordée au juge. Le phénomène d'incomplétude du contrat est le mouvement inverse qui consiste à une détermination unilatérale du prix par une des parties ou encore par le juge. En effet, à défaut d'accord des parties, ce dernier a le pouvoir de fixer le prix en se référant notamment à celui qui est habituellement pratiqué. Même, si le vendeur applique ses propres tarifs, l'acheteur a toujours la possibilité de saisir le juge s'il considère que ceux-ci ne correspond pas au prix du marché. Présent dans les pays appartenant à la Common Law, en droit anglo-saxon particulièrement avec les open price term, le système pourrait inspirer le droit français vers une plus grande souplesse. Longtemps le prix a été sévèrement soumis aux articles 1108 et 1129 du Code civil. Ces dispositions relevant de la théorie générale du contrat, ne visent pas expressément le prix. La jurisprudence les a appliquées à partir des années soixante-dix à des contrats qui ne pouvaient pas être qualifié comme des ventes proprement dites (contrats de bière, contrats d'approvisionnements les plus divers, franchise...). Le pompiste ou le détaillant se trouvait dans une situation de dépendance, lié à son contractant économiquement plus fort par une clause d'exclusivité. La disparité de puissance économique se traduisait par une fixation arbitraire du prix. La sanction était la nullité pour indétermination de l'objet. Ainsi, par exemple, la Chambre Commerciale de la Cour de cassation annulait systématiquement les contrats qui faisaient référence au tarif du vendeur au jour de la livraison. L'inconvénient de cette jurisprudence est certain pour ces contrats qui s'inscrivent sur une longue durée: il s'ensuivait des annulations en cascade des contrats de vente d'application s'étalant sur plusieurs années.Annoncé par les arrêts Alcatel, le revirement de jurisprudence tant attendu a finalement lieu par les arrêts de l'Assemblée plénière du 1er décembre 1995, lesquels posent le principe selon lequel : « l'article 1129 du Code civil n'est pas applicable à la détermination du prix» et « lorsqu'une convention prévoit la conclusion de contrats ultérieurs, l'indétermination du prix de ces contrats dans la convention initiale n'affecte pas, sauf dispositions légales particulières, la validité de celle-ci, l'abus dans la fixation du prix ne donnant lieu qu'à résiliation ou indemnisation ». Sauf exceptions, le prix n'étant plus une condition de validité du contrat, mais une condition d'exécution, le contrôle du juge se déplace vers la caractérisation de l'abus. Parallèlement à cette jurisprudence, une tendance vers plus de justice contractuelle se dessine à travers la notion de bonne foi (jurisprudence Huard) ou encore par la subjectivisation de la cause (Affaire Chronopost). Le développement contemporain de la violence économique est une illustration de la prise en compte par le juge de la réalité que sont les inégalités des contractants. Dans une ère favorable à l'intervention judiciaire en matière de prix, est-il possible d'étendre le mécanisme à tous les contrats ? Les Principes européens du droit des contrats élaborés par la Commission Lando contribuent à cette proposition en prévoyant une possible indétermination du prix. Ces principes ont pour fonction de lois-modèles afin d'uniformiser les différents droits européens des contrats. Les articles 6-104 à 6-107 privilégient en effet une approche plus souple en la matière, notamment lorsque le contrat ne fixe pas le prix ou la façon de le déterminer, les parties sont censées être convenues d'un prix raisonnable. Quelle sera l'évolution du droit français? Il convient de se demander si l'évolution jurisprudentielle française pourrait se voir institutionnaliser dans l'avant-projet de réforme du droit des obligations et du droit de la prescription déposée au Sénat le 22 septembre 2005, avant-projet dénommé CATALA.La proposition de réforme du droit des obligations semble s'inspirer des Principes européens du droit des contrats. Dans son article 1121-4, il est stipulé que, « dans les contrats à exécution successive ou échelonnée, il peut toutefois être convenu que le prix des prestations offertes par le créancier sera déterminé par celui-ci lors de chaque fourniture, fût-ce par référence à ses propres tarifs, à charge pour lui, en cas de contestation, d'en justifier le montant à première demande du débiteur faite par écrit avec avis de réception».

Confiance et droit public

Confiance et droit public PDF Author: Catherine Teitgen-Colly
Publisher: Logiques Juridiques
ISBN: 2343176671
Category : Legal certainty
Languages : fr
Pages : 290

Book Description
La 4ème de couv. indique : "La confiance est dans l'air du temps. D'un côté, celle-ci semble être devenue un but politique que le législateur s'efforce de poursuivre par le biais de textes dédiés comme par exemple la loi du 15 septembre 2017 pour la confiance dans la vie politique la loi du 10 août 2018 pour un Etat au service d'une société de confiance ou la loi du 23 mars 2019 de réforme pour la justice, justifiée par la volonté de "rétablir la confiance de nos concitoyens dans notre justice". De l'autre, elle fait l'objet d'un renouveau dans le discours juridique. D'une part, le principe eutopéen de protection de la confiance légitime, qui renvoie à l'attente de la part du justiciable d'une prévisibilité et d'une stabilité des normes, exerce une influence de plus en plus importante sur le droit français"