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Etat des lieux des connaissances des médecins généralistes de Moselle sur les recommandations de gynécologie médicale concernant la prévention, le dépistage et la contraception

Etat des lieux des connaissances des médecins généralistes de Moselle sur les recommandations de gynécologie médicale concernant la prévention, le dépistage et la contraception PDF Author: Laura Gojard
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Book Description
INTRODUCTION : La réduction du nombre de gynécologue oblige les patientes à se tourner plus vers les médecins généralistes et les sages-femmes. Face à ce constat, les médecins généralistes ont de plus en plus de consultations gynécologiques. Nous avons alors voulu faire un état des lieux des connaissances sur la contraception et sur le dépistage et la prévention gynécologique chez les médecins généraliste de Moselle. MATÉRIEL ET MÉTHODE : Il s'agit d'une étude épidémiologique, descriptive, transversale qui a été mené à l'aide d'un questionnaire diffusé auprès des médecins généraliste de Moselle, via un formulaire internet. Pour ce faire le questionnaire était divisé en trois catégories, renseignant les caractéristiques sociodémographiques des praticiens, leurs connaissances actuelles et leurs moyens d'informations sur les recommandations. RÉSULTATS : 60 réponses ont été obtenues au questionnaire. La population était représentée majoritairement par des femmes avec un pourcentage de 73% et par la tranche d'âge entre 30 et 50 ans avec un pourcentage à 68%. Le score global des résultats étaient légèrement supérieur à la moyenne. Ces résultats laissaient apparaître que la population pratiquant des examens de gynécologie était plus à jour sur les dernières recommandations en matière de dépistage et prévention. CONCLUSION : Force est de constater, que les médecins interrogés laissent apparaître certaines carences concernant les dernières recommandations, notamment celles sur le dépistage des infections sexuelles transmissibles. En revanche, nous pouvons constater leur désir de se former mais le temps leur manque.

Etat des lieux des connaissances des médecins généralistes de Moselle sur les recommandations de gynécologie médicale concernant la prévention, le dépistage et la contraception

Etat des lieux des connaissances des médecins généralistes de Moselle sur les recommandations de gynécologie médicale concernant la prévention, le dépistage et la contraception PDF Author: Laura Gojard
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INTRODUCTION : La réduction du nombre de gynécologue oblige les patientes à se tourner plus vers les médecins généralistes et les sages-femmes. Face à ce constat, les médecins généralistes ont de plus en plus de consultations gynécologiques. Nous avons alors voulu faire un état des lieux des connaissances sur la contraception et sur le dépistage et la prévention gynécologique chez les médecins généraliste de Moselle. MATÉRIEL ET MÉTHODE : Il s'agit d'une étude épidémiologique, descriptive, transversale qui a été mené à l'aide d'un questionnaire diffusé auprès des médecins généraliste de Moselle, via un formulaire internet. Pour ce faire le questionnaire était divisé en trois catégories, renseignant les caractéristiques sociodémographiques des praticiens, leurs connaissances actuelles et leurs moyens d'informations sur les recommandations. RÉSULTATS : 60 réponses ont été obtenues au questionnaire. La population était représentée majoritairement par des femmes avec un pourcentage de 73% et par la tranche d'âge entre 30 et 50 ans avec un pourcentage à 68%. Le score global des résultats étaient légèrement supérieur à la moyenne. Ces résultats laissaient apparaître que la population pratiquant des examens de gynécologie était plus à jour sur les dernières recommandations en matière de dépistage et prévention. CONCLUSION : Force est de constater, que les médecins interrogés laissent apparaître certaines carences concernant les dernières recommandations, notamment celles sur le dépistage des infections sexuelles transmissibles. En revanche, nous pouvons constater leur désir de se former mais le temps leur manque.

État des lieux des connaissances pratiques et théoriques des médecins généralistes de la Meurthe-et-Moselle en matière de prévention et de prise en charge des violences à leur égard dans l'exercice de leur profession

État des lieux des connaissances pratiques et théoriques des médecins généralistes de la Meurthe-et-Moselle en matière de prévention et de prise en charge des violences à leur égard dans l'exercice de leur profession PDF Author: melaine Luce
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INTRODUCTION : La lutte contre les violences au travail subies par les médecins généralistes est l'une des principales priorités du CDOM. L'objectif principal de notre étude était de dresser un état des lieux des connaissances des médecins généralistes de la Meurthe-et-Moselle en matière de prévention et de prise en charge des violences à leur égard, dans l'exercice de leur profession. MATÉRIELS ET MÉTHODES : Étude quantitative descriptive observationnelle réalisée par questionnaire auprès des médecins généralistes de Meurthe-et-Moselle en 2021. Sur une population cible d'environ 633 médecins, 217 ont répondu au questionnaire. RÉSULTATS : 3 professionnels sur 4 ont déjà été victimes de violence : violences verbales (94%), atteintes aux biens (43%), agressions physiques (25%). Près de 3 victimes sur 5 n'ont jamais engagé aucune procédure. 83 % des médecins n'ont pas mis en place de procédure interne spécifique en cas de survenue de violences et 50% n'ont pas sensibilisé leur secrétaire sur la conduite à tenir en cas de survenue d'une agression. En cas de dépôt de plainte, 41% des praticiens ignorent que le CDOM 54 peut se substituer à eux, en cas de crainte de représailles. 85% des médecins ne connaissent pas l'ONSM, 65% ne connaissent pas les fiches de signalement, 86% ne connaissent pas le guide pratique pour la sécurité des professionnels de santé, 89% ne connaissent pas la fiche « Prévenir et gérer les conflits » et 81% ne connaissent pas les référents-sécurité des forces de l'ordre.CONCLUSION : Les connaissances des médecins généralistes de la Meurthe-et-Moselle en matière de prévention et de prise en charge des violences à leur égard sont insuffisantes. Afin d'y remédier, nous suggérons au CDOM 54 de créer un « pack ou kit sécurité » regroupant les informations utiles sur le sujet, d'organiser des formations spécifiques, et de désigner un référent-sécurité au sein de l'ordre. Ce « kit » pourrait être diffusé sous forme dématérialisée (clef USB, e-mail), lors des entretiens obligatoires avec un conseiller ordinal. Une étude ultérieure, similaire à la nôtre pourrait être réalisée après la mise en place de ces recommandations, afin de cerner l'évolution des connaissances des médecins généralistes dudépartement.

Etat des lieux de la pratique de la gynécologie-obstétrique par les médecins généralistes d’Ile-de-France

Etat des lieux de la pratique de la gynécologie-obstétrique par les médecins généralistes d’Ile-de-France PDF Author: Sabrina Dias
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Pages : 278

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Une étude descriptive, par questionnaires postaux a été réalisée en 2009 auprès de quatre cents médecins généralistes d'Île-de-France afin d'établir un état des lieux de leur pratique de gynécologie-obstétrique. Cent soixante-dix réponses ont pu être analysées. Les médecins réalisaient en moyenne 119 actes par semaine ; la gynécologie-obstétrique représentait 9,4% de leur activité. Les femmes avaient une activité globale plus faible que leurs confrères mais une activité en gynécologie-obstétrique plus importante (12,6% en moyenne sur leur activité globale contre 4,8% pour les hommes). 60% des médecins estimaient leur activité dans ce domaine faible voire nulle. Les trois motifs de consultation les plus fréquemment abordés étaient la contraception, les douleurs pelviennes et les pathologies infectieuses. Ces généralistes semblaient sensibilisés au dépistage et à la prévention puisque mammographies et vaccinations anti-HPV étaient prescrites par une large majorité d'entre eux. Cependant, seulement 39% réalisaient eux-mêmes des frottis cervico-vaginaux au sein de leur cabinet médical (56% des femmes contre 28% des hommes). Concernant la contraception, tous les médecins prescrivaient la pilule contrairement aux autres moyens contraceptifs (43,2% prescrivaient les nouveaux moyens de contraception, 11,8% des stérilets et 9,5% des implants). Le suivi de grossesse était assuré par 66,3% des médecins de l'étude sans différence selon le sexe et l'âge du médecin. Le traitement hormonal de la ménopause était instauré par 84% d'entre eux. La formation en gynécologie-obstétrique des généralistes était avant tout universitaire. Seuls 46,8% la complétaient avec des FMC, 41,3 % par la littérature et internet et 3% par un Diplôme Universitaire. 63,4% de ces médecins accepteraient de faire davantage de gynécologie si la demande augmentait mais sous réserve, pour certains d'entre eux, d'une formation complémentaire théorique et pratique et d'une valorisation financière de ces actes. Mais ces généralistes de plus en plus sollicités, pourront-ils assumer cette demande ?

État des lieux sur la pratique d'actes techniques gynécologiques par les médecins généralistes des Bouches-du-Rhône

État des lieux sur la pratique d'actes techniques gynécologiques par les médecins généralistes des Bouches-du-Rhône PDF Author: Alicia Zagury
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Introduction : les motifs de consultations gynécologiques sont fréquents chez les médecins généralistes : contraception, sexualité, prévention, dépistage, prise en charge des désagréments de la ménopause, infections génitales... Face à la diminution du nombre de gynécologues, les généralistes vont jouer un rôle majeur dans la prise en charge de la santé des femmes. Néanmoins qu'en est-il en ce qui concerne la réalisation de gestes techniques gynécologiques ? L'objectif principal de cette étude est de faire un état des lieux sur la pratique d'actes techniques gynécologiques par les médecins généralistes des Bouches-du-Rhône. L'objectif secondaire est d'identifier les freins liés à cette pratique. Matériel et Méthode : il s'agit d'une étude épidémiologique quantitative, transversale, descriptive. Les actes techniques sélectionnés sont : la réalisation du frottis cervico-utérin ; la pose de dispositif intra-utérin et d'implant contraceptif et enfin l'usage de l'échographie. Un questionnaire a été adressé à 305 médecins généralistes installés au sein des Bouches-du-Rhône. Résultats : sur les 305 questionnaires envoyés, 101 réponses ont été prises en compte. Il ressort de l'étude que 65% des médecins généralistes réalisent le frottis cervico utérin, en majorité, à raison d'une à cinq fois par mois. En ce qui concerne les autres actes techniques, les généralistes des Bouches-du-Rhône sont moins impliqués puisque 76% déclarent ne pas effectuer la pose de dispositif intra-utérin et 70% ne pas réaliser de pose d'implant contraceptif. Enfin, en matière d'échographie, bien que jugée indispensable par la majorité d'entre eux, à la fois comme aide diagnostic et mise en place rapide des thérapeutiques, peu en font l'usage au sein de leur activité. Les jeunes médecins, et particulièrement les femmes sont majoritairement investies dans la pratique de ces actes. Les principaux freins identifiés sont le manque de formation, au cours de l'internat mais également après ; le manque de confiance des médecins avec la peur des conséquences médico-légale ; et le coût. Conclusion : les prévisions en matière de démographie médicale laissent penser que le médecin généraliste va être de plus en plus sollicité dans le suivi gynécologique des femmes, en dépit des gynécologues, submergés par l'activité obstétricale. Cependant, le développement de cette activité repose sur une meilleure formation basée sur un enseignement pratique plutôt que théorique ; sur une meilleure information en ce qui concerne le cadre législatif et règlementaire relatif à la réalisation d'actes techniques et enfin sur une valorisation de l'activité du médecin.

La délivrance de l'information sur la contraception : état des lieux des pratiques des médecins généralistes à Marseille

La délivrance de l'information sur la contraception : état des lieux des pratiques des médecins généralistes à Marseille PDF Author: Julie Allemoz
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Matériel et méthodes : il s'agissait d'une enquête quantitative, descriptive et transversale. Nous avons élaboré un questionnaire anonyme portant sur les pratiques vis-à-vis de l'information donnée en matière de contraception. Il s'adressait aux médecins généralistes en activité de la ville de Marseille recrutés par échantillonnage aléatoire entre mars et juin 2020. Résultats : la majorité des médecins interrogés déclaraient effectuer une consultation entièrement dédiée à l'instauration d'une contraception. Peu de médecins utilisaient un support d'aide à la décision. Les médecins interrogés ne présentaient pas l'intégralité des méthodes contraceptives existantes. Concernant la conduite à tenir en cas d'oubli et la contraception d'urgence, les médecins n'informaient pas toujours leurs patientes à ce sujet lors de l'initiation d'une contraception et très rarement lors de son renouvellement. La question de satisfaction d'utilisation du moyen contraceptif en cours n'était abordée que par la moitié des médecins interrogés. La pratique d'une formation en gynécologie et le sexe des praticiens influençaient de façon statistiquement significative la délivrance de l'information sur la contraception. Conclusion : les résultats de ce travail permettaient d'apporter une critique constructive des pratiques médicales et de trouver des pistes pour les améliorer. Promouvoir un support informatif répertoriant les différentes méthodes contraceptives et leur utilisation permettrait d'encourager les praticiens à davantage informer leurs patientes sur l'ensemble des méthodes contraceptives disponibles dans l'optique d'un choix plus éclairé. Rappeler l'information lors des consultations de renouvellement permettrait à la patiente de mieux retenir son contenu. Il faut inciter les médecins à réévaluer constamment les possibles effets secondaires et la satisfaction du moyen utilisé, de laquelle découle l'adhésion de cette méthode. Nous avons remarqué que la formation médicale initiale et/ou continue des médecins généralistes était insuffisante. Or, la pratique d'une formation en gynécologie influence significativement les bonnes pratiques des médecins. Ces résultats doivent donc permettre d'encourager la formation des médecins généralistes en gynécologie.

Connaissances des patientes concernant les compétences gynécologiques des médecins généralistes

Connaissances des patientes concernant les compétences gynécologiques des médecins généralistes PDF Author: Marion Plantevin
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Introduction : le suivi gynécologique constitue un enjeu de santé publique. Les gynécologues sont référents dans ce domaine mais l'inflation de la population générale et les baisses des effectifs médicaux ne leur permettent pas de voir toutes les femmes. Pourtant peu d'entre elles consultent les médecins généralistes pour un motif gynécologique. Parmi les freins, la méconnaissance était traitée globalement et semblait varier selon les régions. L'objectif principal ici était d'évaluer les connaissances des patientes concernant les compétences gynécologiques des médecins généralistes dans les Bouches du Rhône et leurs facteurs d'influences. L'objectif secondaire était de déterminer les supports de communication préférés par les femmes sur ce sujet. Méthodes : 200 médecins généralistes tirés au sort dans les Bouches-du-Rhône ont reçu un questionnaire médecin, les interrogeant sur leur pratique de 16 compétences gynécologiques, et dix questionnaires patientes, à laisser en salle d'attente, reprenant ces mêmes compétences, visant toute femme de plus de 16 ans. Résultats : 20 médecins et 156 patientes ont répondu. Le score moyen de connaissance des patientes pour les compétences des médecins généralistes formés en gynécologie était significativement plus faible que celui des gynécologues (6/16 vs 12,2/16 ; p=5.10-19). 27,6% des patientes pensaient que les médecins généralistes ne pouvaient réaliser aucune des 16 compétences. Le score moyen de connaissance des patientes sur les compétences du médecin traitant était significativement plus élevé que celui des médecins généralistes formés en gynécologie (9,1/16 p=3,06.10-7). Les items les mieux connus étaient : mammographies (85,3%), IVG (78,2%), pose de stérilet (71,8%), IGB (67,9%), contraception orale (65,4%). Environ une femme sur deux savait que son médecin traitant assurait le suivi obstétrical, et 48,1% qu'il effectuait des FCU. Le taux de connaissance concernant les IGH (26,3%) et ménométrorragies (37,2%) était faible. Le score de connaissance concernant les capacités des sages-femmes était le plus bas (5,3/16). Le DIU de gynécologie incitait 67% des femmes à consulter le médecin généraliste pour un motif gynécologique. Les supports de communication privilégiés étaient la discussion avec le médecin traitant, l'affichage, et l'indication de la mention « DIU gynécologie » sur la plaque d'installation du médecin. Discussion : notre population est représentative et nos résultats significatifs mais notre étude manque de puissance. Les problèmes de compréhension du questionnaire induisent des biais. Les pistes proposées sont : la valorisation du DIU, privilégier la discussion avec le médecin traitant, développer l'affichage, et discuter la réglementation des plaques.

État des lieux des pratiques des médecins généralistes libéraux concernant l'implant contraceptif

État des lieux des pratiques des médecins généralistes libéraux concernant l'implant contraceptif PDF Author: Anne Péran
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Devant la diminution des gynécologues médicaux, la contraception doit être abordée et maitrisée par les médecins généralistes. L'implant contraceptif en France est encore une contraception de second choix d'après les recommandations officielles, du fait d'effets indésirables non négligeables, pourtant, c'est la méthode de contraception la plus efficace, et elle semble être un choix plus qu'opportun pour une population tabagique et/ou pour laquelle l'observance d'une contraception orale est problématique. L'objectif principal de cette étude est d'établir un état des lieux des pratiques des médecins généralistes de Haute-Normandie vis à vis de l'implant contraceptif. L'objectif secondaire est de déterminer les facteurs associés à la prescription ou non de l'implant contraceptif. Matériel et Méthodes 152 médecins généralistes ont répondu à notre enquête. Ils ont été contactés par mail. Leurs réponses ont été recueillies à l'aide d'un questionnaire de type QCM. Résultats Dans notre étude, 80% des médecins généralistes déclarent prescrire l'implant. 57% déclarent le poser et 62% déclarent le retirer. Il apparaît que 49% des médecins généralistes n'ont pas reçu de formation pratique à la pose/au retrait de l'implant, parmi eux, 39% souhaitent apprendre ce geste (p=0,002). Les femmes médecins et les médecins ayant une durée d'exercice inférieure à dix ans représentent les groupes significativement plus formés (p= 0,005 et p=0,027). L'observance et l'efficacité sont clairement identifiées par les médecins de notre échantillon comme des avantages à cette contraception, pour 98% et 100% d'entre eux. Les difficultés techniques au retrait de l'implant et la crainte d'une mauvaise tolérance apparaissent être les principaux freins à la prescription de cette contraception, pour respectivement 62% et 61% d'entre eux. Conclusion Réalisée grâce aux éléments apportés par les médecins généralistes sur leur pratique quotidienne, cette enquête a permis de recueillir de nombreuses informations sur la prise en charge de la contraception au cabinet et plus particulièrement sur les pratiques des médecins généralistes vis à vis de l'implant. Les diverses formations représentent une démarche indispensable pour les médecins généralistes, qui leur permet de parfaire leurs connaissances, et d'apprendre le cas échéant des pratiques techniques jusqu'alors non maitrisées. Ces formations ciblées devraient être accessibles à tout médecin généraliste qui en fait la demande.

Consultation "contraception et prévention" chez les femmes âgées de 15 à 18 ans

Consultation Author: Fanny Georges (médecin).)
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Contexte : La feuille de route de la Stratégie Nationale de la Santé Sexuelle (SNSS) de 2018-2020 avait comme ambition à l'horizon de 2030 d'agir précocement auprès des jeunes pour permettre à chacun de prendre des décisions éclairées et responsables quant à leur santé sexuelle. Les professionnels de santé par leurs attitudes et connaissances ont un rôle déterminant au même titre que les parents, l'entourage ou l'école dans les choix en lien avec leur sexualité qui seront faits par les jeunes. C'est dans ce contexte que l'Assurance Maladie a mis en place la cotation CCP (Consultation Contraception et Prévention) avec une rémunération à 46€ au lieu de 25€. Ce travail avait pour objectif de recueillir l'opinion des médecins généralistes du Bas-Rhin et leur pratique depuis cette revalorisation. Méthode : Il s'agit d'une étude qualitative réalisée par des entretiens semi-directifs chez des médecins généralistes installés dans le Bas-Rhin. Les entretiens se sont déroulés entre 2020 et 2021, en face à face au sein de leur cabinet médical. Résultats : Tous les médecins interrogés étaient favorables à une revalorisation de cette consultation jugée chronophage et parfois complexe. Cependant, plusieurs freins ont été mis en évidence. La tranche d'âge de cette cotation apparait comme trop restrictive et ne semble pas adaptée à la pratique de la plupart des médecins. Une mauvaise information autour de cette cotation a consisté à accentuer l'absence de réalisation de cette cotation. De plus, le thème de la sexualité n'était pas toujours aisé à aborder par les différents participants, notamment lorsque les parents accompagnaient les patientes. Plusieurs perspectives d'améliorations ont émergé de cette étude, notamment améliorer la formation des médecins sur ces sujets, étendre cette CCP en la généralisant aux garçons et en faisant évoluer la tranche d'âge, en créant un outil d'aide à la prescription de la contraception et améliorer l'information autour de cet acte. Conclusion : Bien que les participants étaient unanimes sur la nécessité de revaloriser leur travail surtout lors de consultations chronophages comme celle-ci, aucun d'entre eux n'a réellement modifié sa pratique dans les suites de cette cotation. Plusieurs freins ont été relevés mais des pistes d'amélioration ont été proposées.

État des lieux des connaissances et attitudes des internes de médecine générale vis-vis de la vaccination recommandée non obligatoire des nourrissons

État des lieux des connaissances et attitudes des internes de médecine générale vis-vis de la vaccination recommandée non obligatoire des nourrissons PDF Author: Julie Chabert
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Introduction : depuis 2021, la Haute Autorité de Santé a publié plusieurs révisions des stratégies vaccinales. Elle recommande la vaccination de l'ensemble des nourrissons contre les infections invasives à méningocoque B et les gastro-entérites à rotavirus, face au fardeau épidémiologique de ces pathologies et grâce à de nouvelles données de sécurité et d'efficacité. La couverture vaccinale n'est pourtant pas optimale, en lien notamment avec un manque de formation des professionnels de santé à ces nouvelles recommandations. L'objectif de notre étude est d'établir un état des lieux des connaissances et des attitudes des jeunes médecins généralistes vis-à-vis de la vaccination recommandée non obligatoire des nourrissons. Matériel et méthodes : un questionnaire a été diffusé auprès des internes de médecine générale ainsi que des médecins généralistes n'ayant pas passé leur thèse, issus de l'Université Aix-Marseille, via courrier électronique et bouche-à-oreille. Ils ont été interrogés sur leurs connaissances et leurs pratiques concernant la vaccination anti-méningocoque B et anti-rotavirus auprès des nourrissons. Résultats : un total de 86 médecins a répondu à l'enquête. Les personnes ayant validé leur semestre de pédiatrie préconisaient significativement plus que les autres la vaccination anti-méningocoque B en suivant les nouvelles recommandations (81,3 % vs 53,3 %), et 95,5 % d'entre eux avaient reçu une formation à la vaccination sur le lieu de stage. De plus, les personnes ayant effectué ce stage étaient significativement plus à jour des recommandations sur la vaccination anti-rotavirus (68,2 % vs 63,3 %). Enfin, on a pu observer que les participants appliquant les nouvelles recommandations sur la vaccination anti-méningocoque B connaissaient significativement plus que les autres celles sur la vaccination anti-rotavirus. Conclusion : il existe un réel impact de la formation pratique et théorique sur les attitudes vaccinales des jeunes médecins. La couverture vaccinale des nourrissons en France n'est pas optimale pour la plupart des pathologies, malgré l'existence d'un calendrier obligatoire actualisé chaque année. Face à la résurgence de certaines épidémies, l'amélioration de la formation initiale des jeunes médecins et une aide au renforcement du développement profession continu représente un enjeu de santé publique.

État des lieux des connaissances et des pratiques des médecins généralistes picards sur le diagnostic et la prise en charge de l’endométriose pelvienne profonde

État des lieux des connaissances et des pratiques des médecins généralistes picards sur le diagnostic et la prise en charge de l’endométriose pelvienne profonde PDF Author: Chloé Roullier
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Languages : fr
Pages : 58

Book Description
Évaluer les connaissances et pratiques des médecins généralistes picards sur l'endométriose depuis l'actualisation de la recommandation de l'HAS en 2017. Étude épidémiologique descriptive à l'aide d'un sondage anonyme permettant de recruter 102 médecins généralistes picards, avec une répartition d'installation homogène sur le territoire. Seulement 25% des médecins généralistes jugeaient leurs connaissances de l'endométriose suffisantes pour leur pratique quotidienne. Le taux augmentait à 58,9% chez ceux possédant un DU ou DIU de gynécologie et à 31,4% chez ceux assistant à des FMC de gynécologie. Seuls 19,6% des médecins généralistes connaissaient l'existence de l'actualisation de la recommandation HAS. Les médecins généralistes effectuaient plusieurs consultations de gynécologie par mois pour 41,2% d'entre eux. Parmi les 5 principaux signes évocateurs et localisateurs d'endométriose, les dyspareunies, les dysménorrhées et l'infertilité faisaient souvent évoquer le diagnostic respectivement pour 55,9%, 37,3% et 43,1% des médecins ; à l'inverse les SFU et les douleurs à la défécation parfois seulement pour 29,4% et 30,4% des médecins. Tout de même 52% des médecins adressaient leurs patientes d'emblée au spécialiste dès la suspicion clinique. Il y avait 58,9% des médecins qui savaient que le traitement de référence des dysménorrhées douloureuses était l'obtention d'une aménorrhée par contraceptifs. Le DIU au levonorgestrel 52 mg était plus prescrit par les médecins qui possédaient un DU de gynécologie. Les médecins généralistes ne semblent que moyennement sensibilisés à la prise en charge de l'endométriose, ce qui contribue probablement à son retard diagnostique. Les médecins possédant un DU de gynécologie ou assistant à des FMC sur la gynécologie semblent mieux maîtriser le sujet. Il semble donc important de poursuivre ces FMC dédiées.