Taux et facteurs de risque de réhospitalisation non programmée à 30 jours, dans le service de court séjour gériatrique du CHU de Nîmes, chez les sujets âgés de plus de 75 ans PDF Download

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Taux et facteurs de risque de réhospitalisation non programmée à 30 jours, dans le service de court séjour gériatrique du CHU de Nîmes, chez les sujets âgés de plus de 75 ans

Taux et facteurs de risque de réhospitalisation non programmée à 30 jours, dans le service de court séjour gériatrique du CHU de Nîmes, chez les sujets âgés de plus de 75 ans PDF Author: Mathilde Valdenaire
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Category :
Languages : fr
Pages : 48

Book Description
Contexte : La réhospitalisation des personnes âgées est un véritable enjeu de santé publique d'un point de vue économique mais également humain. Objectifs : Déterminer le taux et les facteurs de risques de réhospitalisation précoce non programmée après un séjour en médecine gériatrique au CHU de Nîmes sur la totalité des patients hospitalisés sur une période de un an comparativement à la précédente étude réalisée sur un échantillon de malades. Méthode : Il s'agit d'une étude rétrospective monocentrique, se basant sur les données cliniques, biologiques et sociodémographiques des patients hospitalisés en Médecine Gériatrique au CHU de Nîmes entre le 1er novembre 2013 et le 31 octobre 2014. Les patients décédés au cours de leur séjour ou mutés dans un autre service, ainsi que les hospitalisations programmées ont été exclus. Résultats : Parmi les 1161 malades inclus, nous avons mis en évidence un taux de réhospitalisation à 30 jours de 12,06%. L'indépendance du patient, évaluée par un ADL haut, s'avère être un facteur de risque de réhospitalisation (OR= 1,1, IC à 95% [1,01- 1,20] p = 0,035) de manière significative, tout comme l'hospitalisation pour le motif de cancer (OR=3.32, IC95% [1.23 ; 8.95], p = 0.018). En revanche, si le patient est hospitalisé pour chute (OR=0.44 (IC95% [0.22 ; 0.88], p = 0.021) ou dans le cadre de son syndrome démentiel (OR 0.31 (IC95% [0.10 ; 0.95], p = 0.04) ce risque est significativement diminué. Conclusion : L'indépendance du malade et le motif d'hospitalisation pour cancer semblent être associés à une majoration du risque de réhospitalisation précoce. Leur identification, le plus précocement possible, nous permettrait de cibler ces patients à risque, d'améliorer la transition ville/hôpital et d'assurer une surveillance post hospitalière optimale.

Taux et facteurs de risque de réhospitalisation non programmée à 30 jours, dans le service de court séjour gériatrique du CHU de Nîmes, chez les sujets âgés de plus de 75 ans

Taux et facteurs de risque de réhospitalisation non programmée à 30 jours, dans le service de court séjour gériatrique du CHU de Nîmes, chez les sujets âgés de plus de 75 ans PDF Author: Mathilde Valdenaire
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Languages : fr
Pages : 48

Book Description
Contexte : La réhospitalisation des personnes âgées est un véritable enjeu de santé publique d'un point de vue économique mais également humain. Objectifs : Déterminer le taux et les facteurs de risques de réhospitalisation précoce non programmée après un séjour en médecine gériatrique au CHU de Nîmes sur la totalité des patients hospitalisés sur une période de un an comparativement à la précédente étude réalisée sur un échantillon de malades. Méthode : Il s'agit d'une étude rétrospective monocentrique, se basant sur les données cliniques, biologiques et sociodémographiques des patients hospitalisés en Médecine Gériatrique au CHU de Nîmes entre le 1er novembre 2013 et le 31 octobre 2014. Les patients décédés au cours de leur séjour ou mutés dans un autre service, ainsi que les hospitalisations programmées ont été exclus. Résultats : Parmi les 1161 malades inclus, nous avons mis en évidence un taux de réhospitalisation à 30 jours de 12,06%. L'indépendance du patient, évaluée par un ADL haut, s'avère être un facteur de risque de réhospitalisation (OR= 1,1, IC à 95% [1,01- 1,20] p = 0,035) de manière significative, tout comme l'hospitalisation pour le motif de cancer (OR=3.32, IC95% [1.23 ; 8.95], p = 0.018). En revanche, si le patient est hospitalisé pour chute (OR=0.44 (IC95% [0.22 ; 0.88], p = 0.021) ou dans le cadre de son syndrome démentiel (OR 0.31 (IC95% [0.10 ; 0.95], p = 0.04) ce risque est significativement diminué. Conclusion : L'indépendance du malade et le motif d'hospitalisation pour cancer semblent être associés à une majoration du risque de réhospitalisation précoce. Leur identification, le plus précocement possible, nous permettrait de cibler ces patients à risque, d'améliorer la transition ville/hôpital et d'assurer une surveillance post hospitalière optimale.

Taux et facteurs déterminants de réhospitalisation non programmée à 30 jours d'une hospitalisation en court séjour gériatrique, chez des malades de plus de 75 ans, au Centre Hospitalier Universitaire de Nîmes

Taux et facteurs déterminants de réhospitalisation non programmée à 30 jours d'une hospitalisation en court séjour gériatrique, chez des malades de plus de 75 ans, au Centre Hospitalier Universitaire de Nîmes PDF Author: Maxime Courtial (médecin).)
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Languages : fr
Pages : 100

Book Description
Contexte : par son impact économique et humain, la réhospitalisation des personnes âgées est un enjeu majeur de santé publique. Objectifs: déterminer le taux de réhospitalisation non programmée à 30 jours d'une hospitalisation en Médecine Gériatrique au CHU de Nîmes chez des malades âgés de plus de 75 ans et mettre en évidence des facteurs prédictifs de réhospitalisation. Méthode : iI s'agit d'une étude rétrospective monocentrique, se basant sur les données cliniques, biologiques et sociodémographiques de 300 patients hospitalisés en Médecine Gériatrique au CHU de Nîmes. Ceux-ci ont été tirés au sort parmi tous les patients hospitalisés dans le service en 2012 et 2013. Les patients décédés au cours de leur séjour ont été exclus, ainsi que les hospitalisations programmées. Résultats : nous avons inclus 300 malades, dont 65 % de femmes, l'âge moyen était de 86 ans. 67 malades ont été réhospitalisés, soit un taux de réhospitalisation non programmée à 30 jours de 22,33 %. Une cardiopathie aiguë motivant l'hospitalisation (OR=2,63, IC 95 % [1,14; 6,05], p = 0,0228), et une hospitalisation dans les 6 mois précédents (OR=2,39, IC 95 % [1,24 ; 4,59], p = 0,0091)) apparaissaient comme des facteurs de risque de réhospitalisation. Un taux d'albumine plasmatique élevé était un facteur protecteur de réhospitalisation à 30 jours (OR=0.94, IC 95% [0.89-0.99] , p=0.0232). Conclusion : une hospitalisation récente, une cardiopathie en phase aiguë et une albumine basse apparaissent comme un des facteurs de risque de réhospitalisation. Leur détection, dès l'entrée à l'hôpital, permettrait de cibler les patients à risque, devant faire l'objet d'une surveillance particulière après la sortie

Facteurs prédictifs et taux de réhospitalisation non programmée à 30 jours d'une hospitalisation en court séjour gériatrique au Centre Hospitalier Régional et Universitaire de Lille chez des patients âgés de plus de 75 ans

Facteurs prédictifs et taux de réhospitalisation non programmée à 30 jours d'une hospitalisation en court séjour gériatrique au Centre Hospitalier Régional et Universitaire de Lille chez des patients âgés de plus de 75 ans PDF Author: Laura Goodrich
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Languages : fr
Pages : 114

Book Description
Contexte : La réhospitalisation du sujet âgé est un enjeu majeur de santé publique du fait de son impact sur la morbimortalité et sur l’économie. Objectifs : Déterminer le taux de réhospitalisation non programmée à 30 jours d’une hospitalisation en CSG au CHRU de Lille chez des patients âgés de plus de 75 ans et mettre en évidence des facteurs prédictifs de réhospitalisation. Méthode : Il s’agit d’une étude rétrospective cas témoins monocentrique se basant sur les données clinicobiologiques et sociodémographiques des patients hospitalisés en CSG au CHRU de Lille en 2011 et 2012. Les cas étaient réhospitalisés dans les 30 jours suivants leur sortie du CSG. Les témoins, appariés selon l’âge, le sexe, le score de Charlson indexé et la période d’hospitalisation, n’étaient pas réhospitalisés dans les 180 jours. Les patients ne rentrant pas directement à leur domicile étaient exclus. Résultats : Sur 1277 patients hospitalisés durant la période étudiée, 186 ont été réhospitalisés, soit un taux de réhospitalisation non programmée à 30 jours de 14.6 %. Les facteurs de risque de réhospitalisation à 30 jours identifiés étaient : un épisode d’état confusionnel aigu durant ou motivant l’hospitalisation (OR=3.6, IC 95% [2.08- 6.33], p

Taux et facteurs de risque de réhospitalisation précoce chez le sujet âgé de 75 ans et plus

Taux et facteurs de risque de réhospitalisation précoce chez le sujet âgé de 75 ans et plus PDF Author: Pauline Gabrieli
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ISBN:
Category :
Languages : fr
Pages : 44

Book Description
Introduction : La réduction des réhospitalisations précoces des sujets âgés est un enjeu majeur de santé publique de par leur impact socio-économique et médical. Les objectifs de cette étude sont de déterminer les facteurs de risque et le taux de réhospitalisation précoce. Matériel et méthode : Une étude quantitative rétrospective cas-témoins a été menée entre le premier novembre 2015 et le 31 octobre 2016, dans le service de court séjour gériatrique du centre hospitalier de Dole, incluant 424 patients. L'effet des données sociodémographiques et biomédicales sur la réhospitalisation à 30 jours a été analysé. Résultats : Le taux de réhospitalisation précoce était de 15,7 %. La présence d'une cardiopathie est le seul facteur de risque retrouvé et validé statistiquement (OR=2,53; IC95% [1,48-4,32]). Les patients atteints d'un cancer évolutif ou d'une maladie hépatique chronique avaient une probabilité plus élevée de réhospitalisation sans que cela soit statistiquement significatif. Conclusion : La réhospitalisation du sujet âgé est un phénomène complexe du fait de l'intrication de nombreux éléments. La diminution des réhospitalisations précoces passe par l'identification d'un profil de patients à risque, notamment ceux porteurs d'une cardiopathie, pour lequel nous devons avoir une vigilance accrue et une prise en charge adaptée.

Ré-hospitalisations non programmées à 30 jours

Ré-hospitalisations non programmées à 30 jours PDF Author: Marine Crepeau
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Languages : fr
Pages : 58

Book Description
Contexte : La ré-hospitalisation précoce des personnes âgées est un évènement fréquent et délétère, de par ses conséquences directes pour le patient ré-hospitalisé, mais également d'un point de vue sociétal, compte tenu des dépenses de santé qu'elle engendre. Un grand nombre de ces ré-hospitalisations précoces serait évitable par l'identification des patients les plus à risque et la mise en place de mesures préventives. Objectifs : Déterminer le taux de ré-hospitalisations survenant dans les 30 jours après la sortie d'une hospitalisation en court séjour gériatrique. L'objectif secondaire est d'identifier les facteurs gériatriques associés à ces ré-hospitalisations. Méthode : Il s'agit d'une étude rétrospective et monocentrique, incluant 642 patients âgés de 75 ans et plus, hospitalisés dans le service de court séjour gériatrique de Challans (Vendée) et ayant une orientation de sortie vers le domicile (domicile personnel, EHPAD ou SMTI). Nous avons recherché la survenue d'une ré-hospitalisation dans les 30 jours suivant la sortie du séjour initial. Des données socio-démographiques, médicales et gériatriques ont été recueillies. Résultats : Au total, 642 séjours de patients ont été inclus (âge moyen de 86,5 ± 5,6 ans dont 265 hommes [41,3%]). Quatre-vingt-dix patients (14,0%) ont été ré-hospitalisés. La dénutrition (OR = 1,74 ; IC 95 % [1,06-2,84] ; p = 0,026), la polypathologie (OR = 2,15 ; IC 95 % [1,23-3,73] ; p = 0,007), une durée de séjour 7 jours (OR = 2,09 ; IC 95 % [1,15-3,81] ; p = 0,015) ou 12 jours (OR = 1,99 ; IC 95 % [1,14-3,48] ; p = 0,015) et le lieu de vie non médicalisé (OR = 2,87 ; IC 95 % [1,32-6,26] ; p = 0,008) étaient significativement associés à la ré-hospitalisation précoce non programmée. Conclusion : Le taux de ré-hospitalisation précoce non programmée était similaire à ceux décrits dans la littérature. Plusieurs facteurs gériatriques ont été retrouvés associé à la ré-hospitalisation. Cependant, aucun facteur isolé ne suffit à lui seul pour expliquer ce risque. De nombreuses initiatives et recommandations existent déjà pour limiter le risque de ré-hospitalisation précoce non programmée, leur déploiement mérite d'être intensifié.

Réhospitalisation à 30 jours d’une sortie d’unité de court séjour gériatrique

Réhospitalisation à 30 jours d’une sortie d’unité de court séjour gériatrique PDF Author: Merryl Zerbib
Publisher:
ISBN:
Category :
Languages : fr
Pages : 94

Book Description
Les malades âgés ont un risque particulièrement élevé d’être réhospitalisés à la suite d’une hospitalisation. Lors de leur retour au domicile, l’un des objectifs primordial du médecin traitant est de limiter au maximum les hospitalisations ultérieures, notamment à court terme, afin de préserver la qualité de vie des malades. Cependant, les études ont montré un taux de réhospitalisation, à moins d’un mois de la sortie, plus élevé chez les malades âgés. Nous avons mené une étude rétrospective sur la période du 18 octobre 2010 au 3 juin 2011 dans une unité de court séjour gériatrique parisienne de 19 lits. L'objectif était d’étudié le taux de réhospitalisation et les facteurs associés au caractère évitable des réhospitalisations. Le taux de réhospitalisation à un mois était de 10 patients sur 128. Concernant les facteurs tels que l’âge, l’isolement au domicile, la dépendance pour les activités de la vie quotidiennes, les pathologies ou encore l’existence de troubles cognitifs ou nutritionnels, les patients réhospitalisés étaient comparables à ceux qui n’avaient pas été réhospitalisés. On constatait cependant que les patients réadmis étaient tous dénutris. Cinq patients sur 10 n’avaient pas vu leur médecin traitant avant la réhospitalisation. Au total, la réhospitalisation après une sortie de court séjour gériatrique, nous paraît difficile à prévoir chez les malades âgés. Un travail rapproché entre le médecin traitant et le médecin hospitalier, permet sans doute d’éviter un certain nombre de réhospitalisations. Enfin, dans le contexte de vieillissement de la population, et de pénurie des médecins, identifier des facteurs solides de réhospitalisation des malades âgés permettrait de cibler les actions de prévention de réhospitalisation à mettre en place pour ces patients particulièrement à risque.