Représentations, connaissances et préjugés des jeunes femmes de 18 à 25 ans concernant leur anatomie génitale PDF Download
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Author: Lisa Rotier Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 0
Book Description
Introduction : Pour une femme, l'intérêt d'une bonne connaissance de sa propre anatomie génitale est démontré à plusieurs niveaux : elle pourrait réduire le risque d'IST (Infection Sexuellement Transmissible) ou d'IVG (Interruption Volontaire de Grossesse), permettre un dépistage précoce de lésions cutanées notamment cancéreuses ou encore améliorer la santé sexuelle et l'estime de soi. Pourtant, il semble d'après plusieurs études que les femmes ont une connaissance insuffisante de leur anatomie. En raison d'une inégalité d'accès à ces informations en fonction du contexte familial ou éducatif, le médecin généraliste pourrait jouer un rôle clé pour déconstruire les idées reçues et apporter l'information anatomique nécessaire. Notre étude s'est intéressée au point de vue des jeunes femmes à propos de l'intervention des médecins généralistes à ce sujet. Matériel et méthode : Nous avons mené une étude qualitative par entretiens semi-dirigés, conduite auprès de 12 femmes âgées de 18 à 24 ans. Les entretiens ont été réalisés de mai 2021 à octobre 2021. Résultats : Les participantes de notre étude déclarent un intérêt certain pour le sujet. Selon elles, la position du médecin généraliste lui permet d'intervenir et d'apporter des informations à propos de l'anatomie génitale lors des consultations. Elles sont très peu (une participante sur douze) à avoir abordé cette question avec un médecin généraliste. Les raisons invoquées sont plurielles : manque de temps, timidité, trop grande proximité ou représentation imprécise du champ d'action du médecin généraliste. Pour autant, elles se montrent toutes favorables à son intervention. Plusieurs outils ont été proposés pour assister et soutenir l'intervention en consultation de médecine générale : fascicules ou livrets explicatifs, schémas, posters ou représentations d'organes en trois dimensions. L'importance de la posture et de la communication non verbale a été soulignée. Conclusion : Le médecin généraliste est invité à intervenir en consultation auprès de ses patientes pour leur apporter des informations sur leur anatomie génitale et déconstruire diktats et préjugés.
Author: Lisa Rotier Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 0
Book Description
Introduction : Pour une femme, l'intérêt d'une bonne connaissance de sa propre anatomie génitale est démontré à plusieurs niveaux : elle pourrait réduire le risque d'IST (Infection Sexuellement Transmissible) ou d'IVG (Interruption Volontaire de Grossesse), permettre un dépistage précoce de lésions cutanées notamment cancéreuses ou encore améliorer la santé sexuelle et l'estime de soi. Pourtant, il semble d'après plusieurs études que les femmes ont une connaissance insuffisante de leur anatomie. En raison d'une inégalité d'accès à ces informations en fonction du contexte familial ou éducatif, le médecin généraliste pourrait jouer un rôle clé pour déconstruire les idées reçues et apporter l'information anatomique nécessaire. Notre étude s'est intéressée au point de vue des jeunes femmes à propos de l'intervention des médecins généralistes à ce sujet. Matériel et méthode : Nous avons mené une étude qualitative par entretiens semi-dirigés, conduite auprès de 12 femmes âgées de 18 à 24 ans. Les entretiens ont été réalisés de mai 2021 à octobre 2021. Résultats : Les participantes de notre étude déclarent un intérêt certain pour le sujet. Selon elles, la position du médecin généraliste lui permet d'intervenir et d'apporter des informations à propos de l'anatomie génitale lors des consultations. Elles sont très peu (une participante sur douze) à avoir abordé cette question avec un médecin généraliste. Les raisons invoquées sont plurielles : manque de temps, timidité, trop grande proximité ou représentation imprécise du champ d'action du médecin généraliste. Pour autant, elles se montrent toutes favorables à son intervention. Plusieurs outils ont été proposés pour assister et soutenir l'intervention en consultation de médecine générale : fascicules ou livrets explicatifs, schémas, posters ou représentations d'organes en trois dimensions. L'importance de la posture et de la communication non verbale a été soulignée. Conclusion : Le médecin généraliste est invité à intervenir en consultation auprès de ses patientes pour leur apporter des informations sur leur anatomie génitale et déconstruire diktats et préjugés.
Author: Charlotte Gomart Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 16
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L'objectif principal de cette étude était de décrire l'état de connaissance des jeunes femmes âgées entre 16 et 19 ans de la physiologie et de l'anatomie de leur appareil génital. Il s'agit d'une étude transversale descriptive réalisée à l'aide d'un ques-tionnaire distribué à 231 jeunes femmes âgées entre 16 et 19 ans au cours des Journées de Défense et Citoyenneté de la ville de Lyon, en mai 2015. Le score de connaissance moyen obtenu pour la physiologie était de 13 sur 20 et celui pour l'anatomie était de 9 sur 11. Ainsi les connaissances scolaires des jeunes femmes à propos de leur appareil génital étaient correctes. Cependant un écart entre connaissances théo-riques et connaissances opératoires a été constaté. De ce fait la partie abordant la procréation Pour une femme, avoir connaissance de son appareil génital favorise une attitude responsable à l'égard de la sexualité et de la régulation des naissances. C'est alors un des rôles des sages-femmes que de promouvoir cela auprès d'elles
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Objectifs : l’objectif de cette étude est d’évaluer les connaissances et les représentations des femmes de leur vulve ainsi que leur(s) possible(s) impact(s) sur leur santé sexuelle. Méthode : étude quantitative, descriptive multicentrique réalisée à l’aide d’un auto-questionnaire anonyme sur une population de 230 femmes majeures dans des cabinets de sages-femmes libérales, de gynécologues et des maternités la région d’Aix-Marseille. Elle s’est déroulé de juin à octobre 2019. Résultats : la moitié de la population présente des connaissances anatomiques insuffisantes. Beaucoup de fausses idées entraînent des connaissances fonctionnelles erronées et des modifications des représentations de la vulve. Plus de la moitié des femmes ne considère pas le sujet comme tabou ou gênant. les trois quart s’estiment satisfaites de leur vie sexuelle. 45% présentent des douleurs vulvaires, majoritairement pendant les rapports sexuels. La moitié de la population décrit avoir déjà subi des violences. Il s’agit de violences sexuelles pour 50% de ces femmes. Conclusion : il existe une méconnaissance générale du point de vue anatomique et fonctionnel de la vulve. Mais elle n’est pas en lien avec la santé sexuelle de ces femmes.
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L'éducation à la sexualité reste encore insuffisamment établie dans les mœurs : seule une minorité des jeunes en bénéficie tout au long de sa scolarité et les parents rencontrent souvent des difficultés pour en parler. Ce manque d'information, de prévention et d'éducation a des conséquences non négligeables. Nos recherches mettent en lumière de nombreuses problématiques qui semblent largement imputables au niveau de connaissances de chacun : difficultés d'appréhension du corps, épanouissement sexuel mis à mal, non-respect de soi et des autres, violences sexistes, grossesses non désirées etc. Dans ce contexte, comment les professionnels de santé peuvent-ils aborder l'éducation à la sexualité auprès des femmes, afin d'améliorer leurs connaissances & leur épanouissement sexuel ? Nous avons réalisé une étude observationnelle, quantitative, descriptive, transversale et multicentrique. Notre questionnaire a été diffusé au format numérique et papier, auprès des jeunes femmes de 18 à 25 ans, au sein de l'Université de Reims Champagne Ardenne ainsi que dans les salles de consultations des centres participants. Plus de 8 femmes sur 10 (82,7%) déclarent avoir reçu des cours concernant la sexualité mais elles sont 85,2% à trouver qu'ils ne répondaient pas à toutes leurs questions. D'autre part, seul 30,3% des participantes peut parler librement de sexualité dans sa famille. Les jeunes femmes attribuent une note moyenne de 3,5 sur 5 à leur niveau de connaissances au sujet de la sexualité. Enfin, pour 84,4% des participantes les professionnels devraient proposer de parler de sexualité à chaque consultation ; et plus de la moitié l'auraient sûrement évoquée si tel avait été le cas. L'amélioration de l'éducation sexuelle est une nécessité pour offrir à chacun la possibilité de s'épanouir sexuellement. L'identification des connaissances, des attentes et des besoins des jeunes femmes permet de proposer aux professionnels de santé des solutions pour évoluer dans leur approche de la sexualité.
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Malgré l’évolution de plus en plus marquée de la médecine générale vers une prise en charge globale et psychosociale du patient, les patientes dyspareuniques bénéficient au mieux d’une prise en charge réduite presque exclusivement au versant biologique de cette pathologie. Pourtant, les dyspareunies sont très fréquentes, y compris chez les femmes jeunes relativement épargnées de pathologies organiques, et semblent très souvent être associées aux paramètres psycho-socio-culturels et au vécu de la sexualité. La plupart des données de la littérature concernent les facteurs psycho-socio-culturels ; Il est donc nécessaire d’analyser le vécu de leur sexualité par les jeunes femmes, et son impact potentiel sur les dyspareunies. Dans cet objectif, un questionnaire individuel et anonyme a été distribué à toutes les femmes âgées de 18 à 25 ans se présentant au centre de santé universitaire de Saint Martin d-Hères sur une période de 4 semaines. N’ont été retenus que les 215 questionnaires de femmes de cultures occidentales et ayant déjà eu des rapports sexuels. L’analyse descriptive confirme une grande prévalence d’inquiétudes et de gênes relatives à l’acte sexuel, une fréquente dissociation de l’engagement dans les rapports de l’existence d’un désir réel, des motivations d’engagement à l’acte très hétérogènes, une qualité de relation avec le premier partenaire plutôt médiocre, et une libéralisation du cadre de la relation sexuelle. Les tests de corrélation confirment que la plupart des paramètres de la sexualité sont prédictifs de la survenue de dyspareunies, de leur fréquence, et/ou de leur intensité : inquiétudes, gênes, faible degré de désir, pratique de rapports sans désir, source externe de motivation, qualité de la relation avec le premier partenaire, dyspareunies aux premiers rapports, pratique et fréquence de relations hors-couple, âge trop précoce d’initiation sexuelle.
Author: Clara Oudar Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 48
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Introduction : Au XXIe siècle, la sexualité est encore un sujet tabou. Pour l'appréhender correctement, une bonne connaissance de l'anatomie est nécessaire. Le but de notre étude était d'évaluer les connaissances de l'anatomie génitale féminine dans la population générale. Méthode : Pour ce faire, nous avons interrogé des personnes sur des schémas d'anatomie, des QCM et sur les sources d'informations qu'ils jugent crédibles. Notre questionnaire anonyme était accessible via un QR code dans des salles d'attentes de médecins et de sages-femmes. Résultats : Au total nous avons récolté 1106 questionnaires. Notre population se composait de presque 80 % de personnes avec des organes génitaux féminins et la moyenne d'âge était de 35,3 ans. Plus de 2/3 de nos répondants avaient des résultats supérieurs à notre seuil de 70 % de bonnes réponses. Un haut niveau d'étude et une utilisation d'une contraception d'insertion vaginale étaient statistiquement associés à de meilleurs résultats. Les professions médicales étaient considérées comme très crédibles contrairement à internet ou les réseaux sociaux. Discussion : Nos résultats étaient majoritairement concordants avec les autres études de la littérature. Les connaissances sur le clitoris et le périnée sont cependant les deux points faibles des répondants de notre étude. Conclusion : Les professionnels de santé doivent continuer de se former à l'éducation en santé sexuelle et utiliser les nouveaux moyens de communication pour améliorer les connaissances de leurs patients. Et ce afin qu'ils puissent mieux appréhender leur corps, celui de l'autre, et mieux comprendre un diagnostic ou un traitement.
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Introduction : la société ne permet pas aux femmes de bien connaître leur anatomie intime et certains motifs de consultations de médecine générale en sont le reflet. Le but de ce travail est d'évaluer les connaissances des femmes sur leur anatomie intime. Méthode : cette étude réalisée dans 4 cabinets de médecine générale à La Réunion utilisait un questionnaire anonyme, à disposition en salle d'attente. Le test de connaissances était constitué de 2 schémas d'anatomie à légender et 5 QCM. Résultats : sur 168 questionnaires analysés, un tiers des femmes ont un niveau de connaissances insatisfaisant. Le méat urinaire et le col utérin sont les points de l'anatomie les plus mal connus. 75% des femmes ignorent que l'on peut toucher le col utérin et 13% pensent que le clitoris a une fonction d'évacuation de l'urine. L'origine utérine des règles est inconnue pour 41% des femmes. Le niveau d'étude est associé de manière significative au score obtenu. Les moyens utilisés par les femmes pour obtenir des informations sur leur anatomie sont l'école et leur mère, par la suite les professionnels de santé et internet. 90% des femmes considèrent qu'il est du ressort du médecin généraliste de parler avec elle de leur corps et 2/3 de parler de leur sexualité. Conclusion : le médecin généraliste doit adapter son discours et ne pas hésiter à expliquer l'anatomie de l'appareil génital aux femmes en insistant notamment sur certains points (comme le méat urinaire ou le col utérin) car le professionnel de santé reste la principale source d'informations des patientes dans ce domaine et elles considèrent que c'est le rôle du médecin généraliste de parler avec elles de leur corps et de leur sexualité.
Author: Laura Ritrovato Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 0
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Introduction : les émotions ont un impact sur le déroulement du premier rapport sexuel et sur le bien-être. La prévention en santé sexuelle va être renforcée grâce à un plan de stratégie national. La prévention émotionnelle a un rôle à jouer pour améliorer la prévention actuelle. Face au manque d'information quant à ce qui engendre des émotions négatives avant un premier rapport sexuel, nous avons essayé d'apporter des éléments de réponse pour que les professionnels de santé puissent améliorer leur stratégie de prévention. Matériel et méthode : le but de cette étude est d'établir un bilan des appréhensions qu'ont les jeunes femmes avant leur premier rapport sexuel. L'étude fait appel aux souvenirs de jeunes femmes âgées de 18 à 25 ans ayant déjà eu un premier rapport hétérosexuel. C'est une étude qualitative basée sur 11 entretiens. Résultats : deux grandes idées sont ressorties : l'appréhension du regard de l'autre et l'appréhension de l'inconnu. Ces appréhensions engendrent des émotions négatives : la peur, la honte, l'angoisse, l'inquiétude, le stress et la crainte. Les participantes évoquent les points qui ont calmé leurs appréhensions. Les sentiments des jeunes femmes, quant à la position de leurs parents face au premier rapport sexuel, sont rarement positifs. Aucune des participantes ne dit avoir parlé du premier rapport sexuel avec un professionnel de santé. Conclusion : plusieurs points mériteraient d'être éclaircis. Il nous paraîtrait intéressant de mesurer quantitativement l'anxiété liée aux différentes appréhensions et de rechercher des facteurs de risques et étiologies de ces appréhensions. Et il serait pertinent de savoir si les jeunes femmes aimeraient pouvoir consulter une sage-femme.
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La littératie en santé, grâce à l'acquisition et la maitrise de connaissances fiables, va permettre à une personne d'améliorer son niveau d'autonomie et sa liberté de choix concernant sa propre santé. La connaissance de l'anatomie et de la physiologie de l'appareil génital féminin représente pour cela une des bases nécessaires à un épanouissement personnel sécure. Elle constitue un des objectifs des enseignements et des séances d'éducation à la sexualité rendues obligatoires dans les établissements scolaires en 2001. Lorsque ces bases restent insuffisamment maitrisées, cela peut mener à des conséquences graves notamment chez les adolescents qui constituent une population cible dans la diffusion d'informations, fiables ou non. Cette étude a pour objectif de réaliser un état des lieux des connaissances concernant l'appareil génital féminin auprès de 99 élèves de 3ème d'un collège rémois en 2017. Il ressort que les sources d'informations consultées confirment une tendance actuelle de socialisation horizontale (amis, internet, famille...). L'appareil génital féminin est le moins bien connu des trois appareils du pelvis ; sur une coupe sagittale, seuls 15,1% des élèves l'identifient. Certaines notions sont correctement acquises par les élèves, en revanche quand une méconnaissance est révélée, elle l'est de manière générale, seuls 5% des adolescents identifient correctement le moment de l'ovulation. La mise en évidence de la non-maîtrise de ces connaissances par les adolescents doit permettre une remise en question de la part des professionnels mais également l'apport de perspectives d'améliorations en favorisant le recours à des sources d'informations fiables, l'actualisation des connaissances et l'amélioration de leur transmission en suscitant l'intérêt des jeunes. Cela permettra ainsi aux adultes de demain d'atteindre un meilleur état de santé sexuelle.
Author: Louise Jugnon Formentin Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 150
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L’expérience du médecin généraliste suggère que les patientes adultes ont parfois un faible niveau de connaissance de l’anatomie de leurs propres organes génitaux. Etude transversale, descriptive, par questionnaire déclaratif anonyme. La population étudiée était constituée de femmes de plus de 18 ans consultant dans 6 cabinets de médecine générale de la région Rhône-Alpes entre février et juin 2015. Le questionnaire était composé d’un test de connaissance sur 22 points (2 schémas à légender et 5 QCM) et de questions sur les données sociodémographiques, les antécédents, les habitudes liées à la sexualité et l’image corporelle. Un score inférieur ou égal à 14 sur 22 était considéré comme non satisfaisant. 262 questionnaires ont été analysés, soit 75% des questionnaires distribués. La moyenne d’âge était de 39,9 ans (extrêmes : 18 ans – 90 ans). Parmi les femmes interrogées, 39% obtenaient un score insuffisant (moyenne 15,1 points sur 22). Un faible niveau de connaissance était associé de manière statistiquement significative à un faible niveau d’étude (p
Author: Lisa Rotier
Author: Lisa Rotier
Author: Charlotte Gomart
Author: Cécile Indaco
Author: Léa Iodice
Author: Carole Logeat
Author: Clara Oudar
Author: Flore Wattebled
Author: Laura Ritrovato
Author: Camille Tilly
Author: Louise Jugnon Formentin