Quels sont les facteurs motivationnels à la pratique de la gynéco-obstétrique par le médecin généraliste ? PDF Download

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Quels sont les facteurs motivationnels à la pratique de la gynéco-obstétrique par le médecin généraliste ?

Quels sont les facteurs motivationnels à la pratique de la gynéco-obstétrique par le médecin généraliste ? PDF Author: Marion Pauty
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Book Description
Contexte : en France, grand nombre de femmes choisissent le spécialiste en gynécologie pour leur suivi. Cependant, entre pénurie médicale et accroissement démographique, l'accès au spécialiste deviendra de plus en plus difficile. Le généraliste, pilier central en santé et bénéficiant d'une relation privilégiée avec les patientes semble avoir un rôle à jouer. Le suivi gynécologique et de grossesse non compliquée fait partie de ses compétences. Comprendre ce qui motive le généraliste à la pratique de la gynéco-obstétrique semble essentiel pour développer son activité dans le futur. Objectif : identifier les facteurs motivationnels à la pratique de la gynéco-obstétrique par le médecin généraliste. Résultats : les principaux facteurs identifiés sont l'intérêt du praticien pour ce champ de la médecine, ses valeurs personnelles avec notamment une part militante, la place centrale en médecine générale de la gynéco-obstétrique, la formation du praticien et les demandes des patientes.Conclusion : la gynéco-obstétrique a une place centrale en santé et le généraliste apparaît aujourd'hui comme un atout majeur dans la prise en charge des femmes. Comprendre ses motivations permet d'envisager des solutions afin de développer cette activité en médecine générale. Faciliter sa pratique, c'est permettre au plus grand nombre de femmes de bénéficier d'un suivi complet et adapté.

Quels sont les facteurs motivationnels à la pratique de la gynéco-obstétrique par le médecin généraliste ?

Quels sont les facteurs motivationnels à la pratique de la gynéco-obstétrique par le médecin généraliste ? PDF Author: Marion Pauty
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Contexte : en France, grand nombre de femmes choisissent le spécialiste en gynécologie pour leur suivi. Cependant, entre pénurie médicale et accroissement démographique, l'accès au spécialiste deviendra de plus en plus difficile. Le généraliste, pilier central en santé et bénéficiant d'une relation privilégiée avec les patientes semble avoir un rôle à jouer. Le suivi gynécologique et de grossesse non compliquée fait partie de ses compétences. Comprendre ce qui motive le généraliste à la pratique de la gynéco-obstétrique semble essentiel pour développer son activité dans le futur. Objectif : identifier les facteurs motivationnels à la pratique de la gynéco-obstétrique par le médecin généraliste. Résultats : les principaux facteurs identifiés sont l'intérêt du praticien pour ce champ de la médecine, ses valeurs personnelles avec notamment une part militante, la place centrale en médecine générale de la gynéco-obstétrique, la formation du praticien et les demandes des patientes.Conclusion : la gynéco-obstétrique a une place centrale en santé et le généraliste apparaît aujourd'hui comme un atout majeur dans la prise en charge des femmes. Comprendre ses motivations permet d'envisager des solutions afin de développer cette activité en médecine générale. Faciliter sa pratique, c'est permettre au plus grand nombre de femmes de bénéficier d'un suivi complet et adapté.

Facteurs influençant la pratique d'une activité gynécologique en médecine générale

Facteurs influençant la pratique d'une activité gynécologique en médecine générale PDF Author: Antoine Veinand
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Objectif : On observe en France une baisse du nombre de gynécologues en activité. Pour palier à ce déclin démographique, un grand nombre des consultations peut être assuré par les sages-femmes, mais également les médecins généralistes. Pourtant, le suivi gynécologique et obstétrical est insuffisamment pratiqué par ces derniers, ce qui peut engendrer un retard à la prise en charge. Afin d'y remédier, nous avons cherché dans cette étude à quantifier les facteurs motivant et limitant la pratique de la gynécologie en médecine générale. Matériels et méthodes : Etude observationnelle, descriptive, transversale, réalisée via une enquête par auto-questionnaire permettant d'effectuer un état des lieux de la pratique gynécologique des médecins généralistes de Picardie en quantifiant les facteurs qui l'influencent. Résultats : Les lacunes de compétences (40.2%), le manque de formation (34.5%), l'installation croissante des sages-femmes (34.1%) et le caractère chronophage de l'activité gynécologique (33.7%), sont ressortis comme les quatre principaux facteurs inhérents au manque de pratique de celle-ci. A l'inverse, l'importance du rôle du médecin généraliste en tant que professionnel de premier recours (65%), l'intérêt personnel porté pour la spécialité gynécologique (55%) et le déficit de gynécologues en activité (36.5%) sont des facteurs favorisant la pratique de la gynécologie par les médecins généralistes de Picardie. Discussion : Le renforcement de la formation, le replacement des médecins généralistes au centre du système de soins et la promotion de l'adhésion de ces derniers au sein des réseaux de périnatalité pourraient contribuer à la pratique du suivi gynécologique par les médecins généralistes. Conclusion : Nos résultats corroborent avec ceux des travaux déjà réalisés et participent à une meilleure connaissance des facteurs motivationnels et des freins à la pratique d'une activité gynécologique par les médecins généralistes de Picardie. L'étude de ces derniers à plus grande échelle permettrait d'affiner les résultats obtenus et d'approfondir les axes de réflexion afin d'augmenter l'offre de soins dédiés à la santé de la femme.

Les freins à la pratique de la gynécologie-obstétrique par les médecins généralistes de la Manche

Les freins à la pratique de la gynécologie-obstétrique par les médecins généralistes de la Manche PDF Author: Marie Loyer
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Languages : fr
Pages : 152

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La gynéco-obstétrique fait partie intégrante des compétences du médecin généraliste. Pourtant beaucoup ne la pratiquent pas, quelles en sont les raisons ? Quels sont les freins à cette pratique ? Quels pourraient être les moyens de la promouvoir ? Voici une étude épidémiologique quantitative par le biais d'un questionnaire. Après randomisation d'un échantillon de 150 généralistes, ils ont été appelés par téléphone pour une présentation de l'étude. Envoi de 137 questionnaires par mail ou par voie postale. Rappels ciblés par mail des médecins selon leur accord initial à participer. 87 médecins ont répondu (58%). 14 ne pratiquaient pas de gynéco-obstétrique (11 hommes et 3 femmes). Sur les 87 répondants, 40 étaient des femmes et 47 des hommes. Les trois freins principaux étaient : la perception des patientes de leur généraliste comme moins compétent qu'un gynécologue pour réaliser le suivi gynéco-obstétrical (55,2%) ; le manque de formation dans cette discipline (49.4%) ; la méconnaissance des patientes de cette aptitude chez leur généraliste (42.5%). Cette étude a permis d'apporter de nombreuses pistes à explorer (formation, information, sensibilisation) afin d'augmenter les pratiques de la gynéco-obstétrique par les médecins généralistes en pointant les principaux freins. Elle met aussi en évidence la démographie médicale actuelle où les femmes pratiquent davantage la gynéco-obstétrique que les hommes. La féminisation de la profession de médecin devrait donc permettre d'augmenter la proportion de généralistes pratiquant la gynéco-obstétrique.

Analyse des freins et facteurs de motivation pour la pratique du suivi gynécologique en médecine générale

Analyse des freins et facteurs de motivation pour la pratique du suivi gynécologique en médecine générale PDF Author: Rémi Champeaux
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Languages : fr
Pages : 232

Book Description
La diminution du nombre de gynécologues médicaux et obstétricaux dans les prochaines années confère aux médecins généralistes un rôle important à jouer dans la pratique du suivi gynécologique des femmes. De plus, l'acquisition de compétences au cours de leur cursus universitaire et/ou lors de formations complémentaires leur permet la réalisation d'un suivi simple et régulier. Nous avons ainsi voulu connaitre et analyser les réticences et facteurs de motivations des médecins généralistes et des patientes concernant le suivi gynécologique en médecine générale. Notre étude a porté sur un échantillon de 200 médecins généralistes en activité exerçant dans les Deux Sèvres (taux de réponse de 48,5%) et sur 70 patientes réparties dans différents cabinets médicaux du département. Notre audit a mis en évidence, dans une grande majorité des cas (92,8%), la nécessité de la pratique de la gynécologie en médecine générale. La réalisation de gestes techniques, l'intérêt de la discipline et la diversification de la patientèle représentent les attraits essentiels. Cependant, des entraves persistent comme le manque de temps, la réticence des patientes et la présence de gynécologue à proximité. Du point de vue des patientes, 91,4% déclarent se faire suivre sur le plan gynécologique mais seulement 23,4% font appel à un médecin généraliste. La gêne et le sexe de ce dernier sont les principaux freins évoqués. A l'inverse, les femmes suivies par leur médecin traitant sont motivées par la confiance et l'accessibilité aux consultations. Une meilleure sensibilisation des patientes sur la compétence des médecins généralistes ainsi que des outils de formations performants pour les praticiens peuvent être des arguments en vue d'améliorer la qualité des soins et le suivi des femmes.

Pratique des gestes techniques gynécologiques des médecins généralistes en cabinet et ressenti des patientes concernant leur suivi gynécologique

Pratique des gestes techniques gynécologiques des médecins généralistes en cabinet et ressenti des patientes concernant leur suivi gynécologique PDF Author: Charly Bocquet
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Dans le domaine de la gynécologie, le dépistage, la contraception et l'examen gynécologique sont parties intégrantes de l'activité du médecin généraliste qui est au centre de la prise en charge des patientes. Devant la pénurie des gynécologues médicaux, son recours est essentiel pour les pathologies gynécologiques. Notre étude consistait à évaluer la pratique des principaux gestes gynécologiques chez les médecins généralistes en cabinet et de relever le ressenti des patientes dans le Nord-Pas-de Calais. Nos objectifs secondaires étaient d'étudier les principaux freins à la pratique de ces gestes par les médecins généralistes libéraux et d'analyser les freins et les motivations des patientes concernant leur suivi gynécologique par le médecin généraliste. Les médecins généralistes réalisaient régulièrement le FCU (les femmes, les MG travaillant en milieu rural). Ceux qui avaient moins d'expérience professionnelle réalisait moins le frottis. Le taux de pose et retrait du DIU était faible (retrait>pose) mais supérieur aux autres études, ce qui montre une évolution des pratiques. Nous avons trouvé que les MG de plus de 50 ans retiraient plus de DIU alors que les MG homme le faisaient moins. De plus, les MG qui avaient travaillé en PMI ou avaient leur DU de gynécologie posaient plus le DIU. Au contraire, les patientes de l'étude qui étaient sous DIU l'avaient fait poser aussi bien par le médecin traitant que le gynécologue ou à la sage-femme. La pose et le retrait de l'implant hormonal étaient faibles par rapport à des études plus ancienne. Ce n'était pas un moyen de contraception très utilisé par les patientes. Les MG homme posaient et retiraient moins l'implant alors que les médecins âgés le faisaient plus. De plus, plus ils étaient distants de la SF, moins ils réalisaient la pose et le retrait d'implant. La réalisation du PV par les MG était faible également, surtout chez les MG homme et plus significative avec la réalisation du DU de gynécologie ou l'expérience en PMI. Les MG qui avaient une activité en zone mixte (Nord et Pas-de Calais) le réalisaient plus. Le taux d'auto-prélèvement vaginal par les patientes était relativement important (toutes recherches étiologiques confondues). Les MG réalisaient régulièrement l'examen avec spéculum (les femmes, les MG ayant le DU de gynécologie ou participant à des congrès médicaux dans ce domaine ou avec plus d'expérience professionnelle). Les patientes plus âgées faisaient plus souvent confiance à leur médecin traitant pour la réalisation de cet examen et à l'instar du FCU, elles préféraient que cet examen soit effectué par le professionnel qui les suit. Les principaux freins chez les MG étaient : la réticence des patientes (MG homme), la proximité d'un professionnel de santé (MG âgés, MSU, en cabinet de groupe/MSP, avec une formation pratique en gestes gynécologiques), l'activité chronophage des gestes gynécologiques (MG femmes) et le manque de formation personnelle ou de pratique (jeunes MG, avec un apport bénéfique du DU de gynécologie et insuffisance d'apprentissage pour le stage d'internat en gynécologie, pas assez de FMC). Les principaux freins chez les patientes étaient : les compétences du gynécologue ou de la sage-femme, l'image du médecin de famille, le manque de formation du médecin généraliste et le sexe masculin du MG. Les facteurs motivationnels énoncés par les patientes étaient la proximité du cabinet de MG (patientes avec suivi gynécologique non régulier), le délai d'attente simplifié pour un rdv, le coût de la consultation et la relation de confiance avec le médecin traitant. Trois données étaient particulièrement pregnantes dans notre étude : l'importance de la réalisation de ces gestes gynécologiques par le MG pour le suivi gynécologique de la femme, l'apport du DU de gynécologie, variable selon les lieux de formation, et les disparités de suivi gynécologique selon l'âge des patientes. Plusieurs pistes de préconisations sont évoquées (pour les patientes, une communication à grande échelle, pour les MG, il s'agit d'élargir la pratique gynécologique universitaire et post-universitaire, plages horaires dédiées, faciliter l'obtention des kits FCU, coopération de proximité avec sages-femmes, mieux informer sur modalités d'assurance des gestes gynécologiques.

Facteurs motivationnels des étudiants en médecine suisses s'orientant vers la gynécologie-obstétrique comme choix de spécialité

Facteurs motivationnels des étudiants en médecine suisses s'orientant vers la gynécologie-obstétrique comme choix de spécialité PDF Author: Aurore Salomé Fehlmann
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Languages : fr
Pages : 52

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Le ressenti du médecin généraliste au cours du suivi de la grossesse

Le ressenti du médecin généraliste au cours du suivi de la grossesse PDF Author: Capucine Babinet-Boulnois
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Languages : fr
Pages : 208

Book Description
Le suivi gynécologique est assuré en France par quatre quatégories de professionnels: les gynécologues-obstétriciens, les gynécologues médicaux, les médecins généralistes et les sages-femmes. Devant l'évolution démographique des spécialistes de la grossesse, le rôle du médecin généraliste dans ce domaine semble amené à être grandissant. Le médecin généraliste, par son accessibilité et sa connaissance globale des patientes, a une position privilégiée pour leur proposer un suivi gynécologique et obstétrical. Nous souhaitions savoir quelle place les généralistes prennent dans le suivi des grossesses , quels intérêts ils y trouvent et quelles difficultés ils rencontrent. Pour cela nous avons analysé les réponses à un questionnaire retourné par 59 médecins généralistes du bassin dieppois entre juin et novembre 2010. L'étude met en évidence une faible pratique des suivis de grossesses par ces médecins généralistes malgré un intérêt général pour cette activité. Il semblerait que cela s'explique par une faible demande de la part des patientes. L'obstétrique semble être une activité globalement appréciée des médecins généralistes à travers laquelle la fonction de médecin de famille s'exprime pleinement. Ils rencontrent cependant des obstacles dont un ressort principalement: c'est celui du sentiment de manque de formation pour cette discipline. Les autres difficultés exprimées sont l'appréhension du risque médico-légal et professionnel, les difficultés à trouver sa place lorsque de nombreux intervenants sont amenés à participer au suivi de la grossesse et un outil insatisfaisant: le carnet de maternité. Le développement du travail en réseau dans le cadre du suivi des grossesse pourrait être une réponse à certaines difficultés exprimées, ceci en s'appuyant sur un outil performant de partage d'information: un nouveau carnet de maternité et la diffusion plus large de protocoles de prise en charge. Une information générale auprès des patientes permettrait se combler leur manque de connaissance des compétences du médecin généraliste en gynécologie-obstétrique. De toute évidence, ce sujet ne laisse pas indifférents les médecins généralistes dont beaucoup expriment leur frustration de ne pas suivre plus de grossesses.

Les déterminants de la pratique de la gynécologie-obstétrique dans l'exercice futur des internes en médecine générales

Les déterminants de la pratique de la gynécologie-obstétrique dans l'exercice futur des internes en médecine générales PDF Author: Pauline Pelissier-Combescure
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Languages : fr
Pages : 300

Book Description
Introduction: A l'issue de l'internat de médecine générale, certains internes expriment leurs réticences à pratiquer la gynécologie dans leur futur exercice. Ce travail a pour but de lister les déterminants de la pratique de la gynécologie de routine et du suivi des femmes enceintes en soins primaires dans l'exercice futur des internes et d'évaluer si leur formation initiale les prépare suffisamment à cela. Matériel et Méthodes: Enquête qualitative par focus group. 3 focus group ont eu lieu de mai à juillet 2013. Les internes interrogés étaient en 3e année de DES voire plus, ayant déjà effectué un stage en gynécologie et éventuellement suivi une fonnation complémentaire en gynécologie-obstétrique. Résultats : Les motivations et les freins de cette pratique sont de plusieurs ordres. La formation universitaire reste incontournable, même si les enquêtés déplorent souvent l'inadaptation des stages hospitaliers; les stages professionnalisant type SASPAS sont, quant à eux., très sollicités, permettant une activité plus proche de ce qui sera vu en médecine ambulatoire. La formation théorique semble insuffisante pour certains; ainsi il existe une réelle volonté d'approfondir leurs connaissances. Les caractéristiques de la médecine générale tendent à orienter l'interne vers cette pratique tout comme la problématique de la démographie médicale. A l'inverse, ils sont freinés par des compétences limités et souvent naturellement attribuées aux spécialistes. par une responsabilité accrue et la complexité des actes. Il persiste aussi des freins d'ordre émotionnel. Enfin, le projet professionnel, propre à chacun, reste un déterminant personnel essentiel à la pratique de cet exercice. Conclusion : La pratique de la gynécologie et du suivi de la femme enceinte est régie par de nombreux déterminants positifs et négatifs. Néanmoins, la majorité des internes interrogés se sentent concernée par cette discipline, même s'ils ne s'estiment pas tous prêts à l'exercer régulièrement et entièrement dans un futur proche

Les besoins de formation des médecins généralistes en gynécologie obstétrique

Les besoins de formation des médecins généralistes en gynécologie obstétrique PDF Author: Claire Nicolle
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Languages : fr
Pages : 276

Book Description
La formation médicale continue, obligation légale et déontologique, a pour principal objectif la délivrance de soins de qualité. Il s'agit pour chaque praticien d'entretenir et de perfectionner ses connaissances dans les différents domaines qu'il pratique. L'exercice de la gynécologie obstétrique en médecine générale nous est apparu comme un enjeu particulier de cette formation. Le médecin généraliste, par son accessibilité et sa connaissance globale des patientes, a une position privilégiée pour leur proposer un suivi gynécologique et obstétrical. Ce rôle sera grandissant : l'évolution de la population des gynécologues médicaux montre une pénurie croissante. Par ailleurs, la féminisation de la profession médicale, en particulier des généralistes, est un atout significatif pour développer la pratique de la gynécologie obstétrique par l'omnipraticien. Nous souhaitions savoir si les généralistes se sentent suffisamment formés pour assurer pleinement ces fonctions et s'ils souhaitent, le cas échéant, un enseignement complémentaire spécifique. Pour cela, nous avons analysé les réponses à un questionnaire retourné par près de 10% des généralistes de Midi-Pyrénées en septembre 2003. L'étude met en évidence une insatisfaction globale face à l'enseignement initial, suivi pour la plupart avant les récentes réformes. Elle montre également une importante demande de formation complémentaire..

Analyse des freins et des facteurs de motivation pour le suivi de grossesse en médecine générale

Analyse des freins et des facteurs de motivation pour le suivi de grossesse en médecine générale PDF Author: Estelle Fontenier
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Languages : fr
Pages : 0

Book Description
Introduction : la diminution du nombre de gynécologues médicaux et obstétricaux dans les prochaines années confère aux médecins généralistes un rôle important à jouer dans la pratique du suivi de grossesse des femmes. L’HAS a réaffirmé la place du médecin de famille dans le suivi de grossesse « à bas risque ». L’objectif de cette étude, était de connaître et d’analyser les réticences et les facteurs de motivation des médecins généralistes ainsi que des patientes concernant le suivi de grossesse en médecine générale. Méthode : une étude qualitative par entretiens semi dirigés, auprès de onze médecins généralistes picards et de treize parturientes a été réalisée. Les résultats ont été analysés selon la méthode de la théorie ancrée. Résultats : les médecins généralistes interrogés dans notre étude, suivent peu de grossesses malgré un intérêt certain pour cet exercice. Le manque de formation, et d’équipement des généralistes, ainsi que le manque de temps, étaient perçus comme de véritables obstacles au suivi de grossesse. Les femmes, peu voire pas informées des différents suivis envisageables, consultaient leur gynécologue ou leur sage-femme par habitude. Le médecin traitant était cependant consulté en début de grossesse ou lorsqu’il s’agissait de problèmes aigus. Discussion : le médecin de famille, de par sa disponibilité, sa proximité géographique et relationnelle avec les patientes, est pourtant, la personne la plus appropriée pour réaliser le suivi de grossesse. Il serait donc judicieux de réaffirmer sa place. Conclusion : une meilleure sensibilisation des patientes sur la compétence des médecins généralisates ainsi qu’un renforcement de la formation pour les praticiens peuvent être des arguments en vue d’améliorer la qualité des soins et la prévalence du suivi de grossesse en cabinet de médecine générale. L’obstétrique doit faire partie intégrante de l’activité du médecin généraliste, et ce, d’autant plus qu’il assurera le suivi du nouveau-né à venir.