Quels sont les déterminants de la prise en charge de la fièvre par les médecins généralistes de SOS médecins, chez les enfants âgés de moins de 3 ans? PDF Download

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Quels sont les déterminants de la prise en charge de la fièvre par les médecins généralistes de SOS médecins, chez les enfants âgés de moins de 3 ans?

Quels sont les déterminants de la prise en charge de la fièvre par les médecins généralistes de SOS médecins, chez les enfants âgés de moins de 3 ans? PDF Author: Paul-Etienne Guigo
Publisher:
ISBN:
Category :
Languages : fr
Pages : 288

Book Description
La fièvre chez l’enfant de moins de 3 ans est un motif très fréquent en médecine générale. Les médecins de SOS médecins sont très sollicités pour cette indication. Les dernières recommandations de l’HAS concernant la prise en charge de la fièvre chez l’enfant datent de 2005. Il a été décidé de réaliser une étude qualitative pour analyser les pratiques des médecins généralistes face à une fièvre chez le jeune enfant et les freins éventuels à l’application des recommandations. Il s’agit d’une étude qualitative par entretiens individuels semi-dirigés auprès de douze médecins de SOS Médecins. Bien que la plupart des médecins de SOS Médecins ne connaissent pas précisément les recommandations, leurs pratiques y sont conformes. La prescription d’antibiotiques de façon probabiliste est négligeable. Les médecins de garde, en cas de doute sur l’origine de la fièvre, préfèrent demander l’avis d’un spécialiste et faire hospitaliser l’enfant. Le paracétamol est prescrit en première intention par tous les médecins. Les médecins de SOS Médecins, qui ont été pour la plupart sensibilisés à la pédiatrie au cours de leur formation initiale, se sentent à l’aise pour prendre en charge les enfants de moins de 3 ans, et leurs pratiques sont conformes aux données actuelles de la science.

Quels sont les déterminants de la prise en charge de la fièvre par les médecins généralistes de SOS médecins, chez les enfants âgés de moins de 3 ans?

Quels sont les déterminants de la prise en charge de la fièvre par les médecins généralistes de SOS médecins, chez les enfants âgés de moins de 3 ans? PDF Author: Paul-Etienne Guigo
Publisher:
ISBN:
Category :
Languages : fr
Pages : 288

Book Description
La fièvre chez l’enfant de moins de 3 ans est un motif très fréquent en médecine générale. Les médecins de SOS médecins sont très sollicités pour cette indication. Les dernières recommandations de l’HAS concernant la prise en charge de la fièvre chez l’enfant datent de 2005. Il a été décidé de réaliser une étude qualitative pour analyser les pratiques des médecins généralistes face à une fièvre chez le jeune enfant et les freins éventuels à l’application des recommandations. Il s’agit d’une étude qualitative par entretiens individuels semi-dirigés auprès de douze médecins de SOS Médecins. Bien que la plupart des médecins de SOS Médecins ne connaissent pas précisément les recommandations, leurs pratiques y sont conformes. La prescription d’antibiotiques de façon probabiliste est négligeable. Les médecins de garde, en cas de doute sur l’origine de la fièvre, préfèrent demander l’avis d’un spécialiste et faire hospitaliser l’enfant. Le paracétamol est prescrit en première intention par tous les médecins. Les médecins de SOS Médecins, qui ont été pour la plupart sensibilisés à la pédiatrie au cours de leur formation initiale, se sentent à l’aise pour prendre en charge les enfants de moins de 3 ans, et leurs pratiques sont conformes aux données actuelles de la science.

Les enfants et nourrissons avec de la fièvre pris en charge par SOS médecins Bordeaux entre avril 2007 et mars 2012

Les enfants et nourrissons avec de la fièvre pris en charge par SOS médecins Bordeaux entre avril 2007 et mars 2012 PDF Author: Cyril Fourcade
Publisher:
ISBN:
Category :
Languages : fr
Pages : 152

Book Description
La fièvre est un des motifs les plus fréquents de consultations en médecine générale chez les enfants et nourissons. Peu d'études concernent la prise en charge en soins primaires des enfants et nourissons fébriles. Objectif : Décrire les caractéristiques sociodémographiques et cliniques des enfants et nourissons dont le motif d'appel de SOS médecins Bordeaux était la fièvre d'avril 2007 à mars 2012. Etudier de manière exploratoire le taux et les facteurs de risque de recours aux urgences (caractéristiques sociodémographiques et cliniques) des enfants et nourrissons dont le motif d'appel de SOS Médecins Bordeaux étaient la fièvre de juillet 2011 à mars 2012. Matériel et méthodes : Etude descriptive à partir de la base de données de SOS Médecins Bordeaux incluant les patients entre 3 mois et 12 ans dont le motif d'appel était la fièvre. Résultats : Dans la population d'étude de 111832 patients, les rhinopharyngites et les pathologies ORL, étaient les diagnostics les plus fréquents avec respectivement 18,3% et 57,4% des diagnostics. Les infections sévères représentaient 1% des diagnostics et les fièvres isolées 10,8%. Dans la sous-population de 20521 patients inclus entre juillet 2011 et mars 2012, le taux de recours aux urgences était de 0,95%. Les facteurs de risque de recours aux urgences retenus en analyse multivariée étaient la présence d'une infection sévère (RC = 61,2 IC 95% [42,2-88,8], p

Démarche diagnostique face à une fièvre aiguë isolée de l'enfant de 3 à 36 mois en médecine générale

Démarche diagnostique face à une fièvre aiguë isolée de l'enfant de 3 à 36 mois en médecine générale PDF Author: Mayalen Sorel
Publisher:
ISBN:
Category :
Languages : fr
Pages : 0

Book Description
Introduction : avant l'introduction de la vaccination contre Haemophilus en 1992 et le Streptococcus pneumoniae en 2000, les bactériémies occultes représentaient la deuxième cause de fièvre aiguë isolée. Il semblait alors justifié d'adopter une attitude diagnostique et thérapeutique maximale devant ce symptôme. Actuellement, le risque de bactériémie occulte est inférieur à 1% chez un enfant présentant une fièvre aiguë isolée bien tolérée, ce qui a incité les médecins à changer leur attitude. Cependant, il n'existe pas de recommandation française actualisée depuis la généralisation de la vaccination à tous les enfants. Objectifs : analyser la pratique des médecins généralistes face à ce motif de consultation, entre l'attitude maximaliste des recommandations américaines comprenant une analyse d'urine et une NFS dépistant les bactériémies et l'attitude minimaliste des britanniques, qui se concentre sur l'analyse d'urine. L'objectif secondaire est de mettre en avant les déterminants de la prescription d'examens complémentaires qu'ils soient objectifs ou subjectifs. Matériel et méthodes : étude descriptive de la prise en charge des fièvres aiguës isolées par des médecins généralistes installés et remplaçants en Gironde, via un questionnaire portant sur le dernier cas vu au cabinet envoyé à 1543 généralistes installés et 782 remplaçants. Résultats : le taux de participation a été de 6,2% pour les médecins installés et 16% pour les remplaçants. Soit un total de 220 questionnaires reçus. Notre enquête a montré que les médecins généralistes adoptent une attitude ambulatoire, avec observation de l'enfant (80%) sans réalisation d'examen complémentaire. L'intensité et la durée de la fièvre sont des déterminants de la prescription d'examen complémentaire. Au contraire les médecins ont déclaré ne pas prendre en compte l'âge de l'enfant ou son statut vaccinal. Chez le nourrisson à risque (fièvre >39°C évoluant depuis plus de 24 heures) seuls 21% des enfants ont bénéficié d'une analyse d'urine, 45% des médecins déclarent attendre 72 heures avant de réaliser des examens complémentaires, et passé ce délai 67% réalisent une NFS et 98% une analyse d'urine. Cette étude laisse suggérer que l'analyse d'urine n'est pas prescrite assez rapidement, alors que le bila! n sanguin semble sur-prescrit. Les critères subjectifs étudiés (peur d'une bactériémie occulte, incertitude diagnostic, compréhension des parents, connaissance de l'enfant) n'entraînent pas plus de prescriptions d'examen complémentaire mais un suivi plus rapproché de l'enfant. Conclusion : la démarche diagnostique devant une fièvre aiguë isolée au cabinet de médecine générale est controversée. Le médecin généraliste tient cependant une place primordiale dans le diagnostic des rares infections bactériennes potentiellement sévères. Cette prise en charge passe en premier lieu par la réalisation d'une analyse d'urine compte tenu de l'épidémiologie actuelle des bactériémies occultes dans l'ère post vaccination prevenar. Il serait donc intéressant qu'une recommandation française actualisée soit publiée.

Enfants et fièvre de moins de 48 heures

Enfants et fièvre de moins de 48 heures PDF Author: Clément Mialanne
Publisher:
ISBN:
Category :
Languages : fr
Pages : 150

Book Description
Introduction : La fièvre de l'enfant est une source d'inquiétude qui amène les parents à consulter souvent avant 48 heures d'évolution. La surcharge du planning des médecins généralistes, en partie liée à la précocité de ces consultations, entraîne des difficultés pour recevoir les parents et peut être à l'origine d'une certaine insatisfaction. L'éducation parentale, au cours d'une consultation, pourrait limiter ces situations. C'est pour cela que j'ai décidé de m'intéresser aux regards que les médecins généralistes portent sur le concept d'autonomisation parentale dans la fièvre de l'enfant. Matériels et méthodes : Il s'agit d'une étude qualitative avec réalisation d'entretiens semi-dirigés auprès de douze médecins généralistes de trois départements de la région Centre. Une analyse thématique des données a été réalisée après retranscription des verbatims. Résultats : L'autonomisation parentale, dans la fièvre de l'enfant, est majoritairement considérée comme importante pour les médecins généralistes mais cependant, des réticences et des facteurs déterminants dans la décision d'autonomisation ont été abordés. Une autre vision a été mise en évidence : celle des médecins paternalistes, qui la considèrent impossible. Discussion : L'autonomisation parentale entre dans le cadre de l'éducation diagnostique, privilège jusque-là réservé aux médecins. Une piste permettant de favoriser cette démarche, serait d'établir des recommandations pour les médecins dans la prise en charge de la fièvre. Une autre, serait d'élaborer une fiche explicative guidant les parents dans l'évaluation de la gravité de la fièvre, afin de les aider à consulter au bon moment.

Fièvre aiguë de l'enfant de moins de six ans

Fièvre aiguë de l'enfant de moins de six ans PDF Author: Agnès Galoisy-Finance
Publisher:
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Category :
Languages : fr
Pages : 366

Book Description
Nous évaluons, grâce à deux études portant sur la fièvre de l'enfant de moins de six ans, d'une part les connaissances et les comportements des parents et d'autre part, la position des professionnels sur ces attitudes parentales et les conseils que ceux-ci prodiguent. Les résultats montrent une prise en charge de la fièvre relativement bonne, malgré quelques erreurs. Ces erreurs correspondent aux "points faibles " des informations délivrées par les médecins. Cependant, la phobie de la fièvre persiste. Elle est sous-tendue par une méconnaissance des risques réels de la fièvre. Ceci aboutit à des recours aux soins inadaptés, notamment en terne de fréquence et de délai. Cette " fever phobia " est présente également à minima chez les médecins. Il faut donc éduquer les parents, améliorer leurs connaissances pour diminuer leur angoisse et modifier leurs comportements. Il faut également sensibiliser les médecins sur l'importance de délivrer une information médicale claire, ciblée et actualisée. Ceci nécessite une mise à jour régulière de leurs connaIssances. Nous proposons une fiche de conseils, destinée aux parents, sur la fièvre et sa prise en charge.

La prise en charge, en cabinet de médecine générale, d'une fièvre isolée évoluant depuis plus de 48 heures chez l'enfant entre 3 et 36 mois, sans antécédent particulier

La prise en charge, en cabinet de médecine générale, d'une fièvre isolée évoluant depuis plus de 48 heures chez l'enfant entre 3 et 36 mois, sans antécédent particulier PDF Author: Tifanie Benacin
Publisher:
ISBN:
Category :
Languages : fr
Pages : 190

Book Description
Introduction : la fièvre est le motif le plus fréquent de consultation en pédiatrie. Dans 20% des cas, aucune cause n'est retrouvée. Les pratiques des médecins généralistes varient en fonction des caractéristiques de l'enfant, de la fièvre, mais également de l'expérience et du ressenti personnel du praticien. Leur enjeu est d'exclure, de façon la plus fiable possible, une infection bactérienne sévère (IBS). Nous proposons donc ici, d'analyser les pratiques déclarées des médecins généralistes face à une fièvre isolée, évoluant depuis plus de 48 heures chez un enfant âgé de 3 à 36 mois sans antécédent particulier, afin d'affiner l'arbre décisionnel. Méthodes : Nous avons réalisé une étude quantitative descriptive transversale incluant 210 médecins généralistes d'Ile-de-France, qui ont répondu à un questionnaire sur leur prise en charge théorique et sur un cas réel de fièvre isolée évoluant depuis plus de 48h chez un enfant âgé de 3 à 36 mois. Résultats : les trois prises en charge les plus pratiquées sont : le retour à domicile avec surveillance parentale (66,7%), la réévaluation de l'enfant au cabinet (64,8%) et la prescription d'examens complémentaires (43,8%). Seulement trois médecins généralistes réalisent une bandelette urinaire. Les examens complémentaires sont surtout prescrits en fonction de l'impression personnelle du médecin (69,5%) et les caractéristiques de la fièvre (66,6%). Lorsqu'un examen complémentaire est prescrit, l'examen cytobactériologique des urines (ECBU) est prescrit dans 96,1% des cas, une biologie dans 61,9% des cas et une radiographie du thorax dans 30,2% des cas. 70% des médecins généralistes peuvent être amenés à prescrire une antibiothérapie probabiliste et 82,9% d'entre elles sont prescrites en fonction des résultats de la biologie. Il apparaît, de manière significative, que les médecins mieux formés en pédiatrie, en prescrivent moins (p

Prise en charge symptomatique de la fièvre chez l'enfant de moins de 6 ans

Prise en charge symptomatique de la fièvre chez l'enfant de moins de 6 ans PDF Author: Sylvain Michel
Publisher:
ISBN:
Category :
Languages : fr
Pages : 258

Book Description
En janvier 2005, l'AFSSAPS a élaboré et diffusé aux médecins généralistes des recommandations sur la prise en charge de la fièvre chez l'enfant. Etant données les possibles conséquences de sa mauvaise prise en charge, il était intéressant d'évaluer la pratique des médecins et de la comparer aux nouvelles recommandations, par le biais d'un questionnaire envoyé à 237 généralistes de Midi-Pyrénées pendant l'été 2005. 166 réponses ont été exploitables. Cette étude montre que globalement cette prise en charge est satisfaisante : 100 % des médecins prescrivent du paracétamol, 40% des médecins ont comme objectif principal l'amélioration du confort de l'enfant, 90% des médecins préconisent d'hydrater et découvrir l'enfant. Mais, encore 84% des médecins traitent trop systématiquement la fièvre et 69% pratiquent l'alternance médicamenteuse en première intention, ce qui ne suit pas les recommandations de l'AFSSAPS. Pour améliorer ces résultats, favoriser l'appropriation de ces recommandations par le médecin généraliste doit être un objectif prioritaire.

Prise en charge ambulatoire de la fièvre chez les nourrissons de moins de 3 mois

Prise en charge ambulatoire de la fièvre chez les nourrissons de moins de 3 mois PDF Author: Azalaïs Guilloit
Publisher:
ISBN:
Category :
Languages : fr
Pages : 148

Book Description
Introduction : La fièvre est un motif fréquent de consultation chez les nourrissons de moins de 3 mois. Cette population est classiquement considérée comme étant plus à risque d'infections bactériennes sévères et invasives. Il est recommandé la réalisation d'un bilan comprenant au minimum une analyse d'urines et un bilan sanguin. La seule étude réalisée exclusivement en milieu ambulatoire dans cette population a montré une application très aléatoire des recommandations. Objectif : L'objectif principal de l'étude était l'analyse descriptive des pratiques professionnelles des médecins généralistes et pédiatres libéraux en région Bretagne. Les objectifs secondaires étaient l'estimation du taux d'adressage aux urgences pédiatriques à travers des cas cliniques, le taux de prescription d'examens complémentaires et enfin une analyse comparative en sous-groupes. Matériels et Méthodes : Il s'agissait d'une enquête épidémiologique observationnelle, descriptive et transversale, réalisée au moyen d'un auto-questionnaire anonyme, élaboré via la plateforme Lime Survey et diffusé par courriel aux médecins généralistes, SOS médecins et pédiatres libéraux bretons. Il se composait de 3 parties : caractéristiques générales, pratiques en consultation et cas cliniques. Les données ont été analysées avec le logiciel R Commander de façon descriptive et comparative. Résultats : 294 questionnaires complets ont été analysés. 92,7 % des participants déclaraient toujours adresser aux urgences les nourrissons fébriles de moins d'un mois, 66,3 % pour les nourrissons âgés d'1 à 2 mois et 30,6 % entre 2 et 3 mois. 80,1 % des participants adressaient aux urgences le nourrisson du premier cas clinique, âgé de 24 jours, contre 89,1 % pour le nourrisson du second cas clinique, âgé de 2 mois. Outre l'âge du nourrisson, la clinique et notamment un état général conservé et la présence d'un point d'appel à l'examen étaient des facteurs importants dans la décision d'adressage aux urgences ou de prise en charge ambulatoire. 56,1 % des praticiens déclaraient n'avoir jamais fait réaliser d'examens complémentaires en laboratoire de ville en cas de fièvre chez un nourrisson de moins de 3 mois. L'analyse d'urines était l'examen le plus souvent demandé (42,5 %) devant la CRP et la NFS. La prescription ou non d'un bilan complémentaire en cas de prise en charge ambulatoire était très liée à la présence ou non de signes d'appel cliniques. Conclusion : La majorité des praticiens de notre étude adressent les nourrissons fébriles de moins de 3 mois aux urgences pédiatriques. Les nourrissons pris en charge en ambulatoire ne bénéficient pas toujours d'un bilan complémentaire, en désaccord avec les recommandations. Compte tenu des difficultés manifestes de réalisation d'examens complémentaires en laboratoire de ville, l'adressage aux urgences pour réalisation du bilan initial et courte surveillance semble actuellement être un bon compromis.

Fièvre de l'enfant âgé de trois mois à deux ans

Fièvre de l'enfant âgé de trois mois à deux ans PDF Author: Sandrine Jouannetaud Garnier
Publisher:
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Category :
Languages : fr
Pages : 264

Book Description
Objectifs : Déterminer quelles sont les inquiètudes et les motivations de parents d'enfants âgés de trois mois à deux ans qui présentent une fièvre, qui poussent à consulter aux urgences pédiatriques de l'Hôpital Mère-Enfant de Limoges. Population et méthodes : Etude propective de 75 questionnaires remplis par des parents d'enfants âgés de trois mois à deux ans présentant une fièvre, avant et après la consultation aux urgences pédiatriques. Résultats : 49% des parents connaissent la définition de la fièvre. 46% des parents traitent la fièvre uniquement par paracétamol. 56% des parents consultent directement aux urgences pédiatriques. 74% des parents sont rassurés par une réalisarion d'examens complémentaires aux urgences. 75% des parents sont rassurés après la consultation aux urgences pédiatriques, contre 57% après la consultation en médecine générale. Conclusion : Notre étude a permis de constater que les parents de jeunes enfants sont très inquiets en cas de fièvre, et n'ont pas forcément les réactions approprièes. Ils sont cependant rassurés par une consultation aux urgneces pédiatriques, et par la réalisation d'examens compléméntaires. Le rôle du médecin généraliste surtout, mais aussi du médecin urgentiste, est d'éduquer les parents sur cette prise en charge, dans le but de les rassurer, mais aussi de désencombrer le système de soins.

Education des parents face à l'hyperthermie du nourrisson

Education des parents face à l'hyperthermie du nourrisson PDF Author: Julie Fatous
Publisher:
ISBN:
Category :
Languages : fr
Pages : 90

Book Description
L’éducation des parents de nourrissons prend une part importante dans la pratique des médecins généralistes. Par ailleurs, la fièvre est le symptôme le plus fréquent chez les jeunes enfants. Nous avons décidé d’étudier le rôle du médecin généraliste dans l’éducation des parents concernant la fièvre du nourrisson. Méthodes : Nous avons réalisé deux études. La première étude était l’évaluation des conseils donnés par les médecins aux parents, par un questionnaire envoyé à 100 médecins généralistes tirés au sort dans le département du Nord. La seconde étude était l’évaluation des connaissances des parents et la source de l’apprentissage de cette prise en charge : étude prospective dans laquelle nous avons interrogé les parents d’enfants de 3 à 12 mois consultant aux urgences du Centre Hospitalier de Douai pour hyperthermie. Résultats : Les 51 médecins ayant répondu affirmaient aborder le sujet de la prise en charge de la fièvre du nourrisson en prévention pour 80 % d’entre eux. Les conseils éducatifs donnés aux parents étaient conformes aux recommandations dans la majorité des cas, par contre les consignes de consultation à l’hôpital devant une fièvre n’étaient pas correctes. Dans la seconde enquête, le traitement de la fièvre était connu par les 30 parents inclus, cependant ils affirmaient avoir été informés majoritairement par leur entourage. On notait une inquiétude non justifiée traduite par des consultations rapides aux urgences, chez des enfants n’ayant pas de signes de gravité. Conclusion : L’éducation des parents sur la prise en charge de l’hyperthermie à domicile fait partie intégrante de la pratique courante des médecins généralistes mais les messages ne sont pas toujours adaptés. Les connaissances des parents semblent bonnes, mais on note des consultations rapides aux urgences fréquentes chez des enfants ne présentant pas de signes de gravité. Une formation des médecins généralistes tendrait à uniformiser le discours et à améliorer les messages transmis aux parents. On pourrait proposer aux médecins d’utiliser le carnet de santé comme support et comme base d’éducation et de discussion.