Prise en charge préconceptionnelle en médecine générale PDF Download
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Introduction: En France, malgré un taux élevé de fécondité et de natalité. le taux de morbinatalité stagne et est un des plus hauts de l'Union Européenne. La prise en charge préconceptionnelle (PPC) est d'intérêt de santé publique car.elle est un moyen de prévention des risques maternels et foetaux. Objectif: L'objectif de cette étude est d'évaluer la pratique et la perception des Médecins Généralistes du Gard en matière de préconception. Matériel et méthode: Il s'agit d'une étude transversale. Les données ont été collectées à l'aide d'un questionnaire, distribué directement aux médecins lors de fonnations médicales continues. Résultats: 56 Médecins Généralistes ont participé à l'étude. L'intérêt porté à la PPC était de 4.96/10 en moyenne. 58.9% des médecins déclarent en réaliser. Les médecins les plus impliqués dans cette prise en charge étaient les femmes (76.5%), les ruraux (82.3%) et semi-ruraux (60%), ceux exerçant la Gynécologie (76.5%) et ceux de moins de 40 ans (60%). Les médecins ne réalisant pas de PPC déclaraient ne pas le faire majoritairement par manque de connaissances (43.5%), de temps (26.1%) et de demande de la part des patientes (26.1%). Conclusion: Par manque d'information et de fonnation, les médecins généralistes prêtent peu d'intérêt à la PPC et les recommandations ne sont pas toujours suivies. L'amélioration de cette prise en charge passe par une sensibilisation des médecins, mais aussi du grand public
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Introduction: En France, malgré un taux élevé de fécondité et de natalité. le taux de morbinatalité stagne et est un des plus hauts de l'Union Européenne. La prise en charge préconceptionnelle (PPC) est d'intérêt de santé publique car.elle est un moyen de prévention des risques maternels et foetaux. Objectif: L'objectif de cette étude est d'évaluer la pratique et la perception des Médecins Généralistes du Gard en matière de préconception. Matériel et méthode: Il s'agit d'une étude transversale. Les données ont été collectées à l'aide d'un questionnaire, distribué directement aux médecins lors de fonnations médicales continues. Résultats: 56 Médecins Généralistes ont participé à l'étude. L'intérêt porté à la PPC était de 4.96/10 en moyenne. 58.9% des médecins déclarent en réaliser. Les médecins les plus impliqués dans cette prise en charge étaient les femmes (76.5%), les ruraux (82.3%) et semi-ruraux (60%), ceux exerçant la Gynécologie (76.5%) et ceux de moins de 40 ans (60%). Les médecins ne réalisant pas de PPC déclaraient ne pas le faire majoritairement par manque de connaissances (43.5%), de temps (26.1%) et de demande de la part des patientes (26.1%). Conclusion: Par manque d'information et de fonnation, les médecins généralistes prêtent peu d'intérêt à la PPC et les recommandations ne sont pas toujours suivies. L'amélioration de cette prise en charge passe par une sensibilisation des médecins, mais aussi du grand public
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@Depuis la suppression de l’examen prénuptial, les autorités médicales mettent en avant l’intérêt d’une préparation de la grossesse par l’intermédiaire d’une consultation préconceptionnelle. Cette consultation est un outils de prévention et de dépistage qui vient en complément des soins prodigués en prépartum pour sans cesse améliorer la santé de la mère et de l’enfant. Elle est régulièrement réalisée dans les cabinets de médecine générale de Champagne-Ardenne et elle est largement plébiscitée par les sages-femmes libérales.
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CONTEXTE - La consultation préconceptionnelle est reconnue comme un moyen efficace de prévention maternelle et périnatale. Elle est recommandée par les autorités de santé, mais elle est pourtant peu réalisée en France. OBJECTIFS - Objectif principal : comprendre quels peuvent être les éléments inhérents aux patientes pouvant faire obstacle à la réalisation d'une consultation préconceptionnelle en médecine générale. Objectif secondaire : rapporter les motivations, les besoins, les enjeux relationnels mis en jeu et interférant avec la réalisation de cette consultation. METHODE - Etude qualitative, au moyen de 20 entretiens semi-dirigés réalisés dans trois sites en Savoie auprès de femmes enceintes ou venant d'accoucher. RESULTATS - Il existe un manque d'information sur l'existence et l'intérêt de cette consultation. Les femmes n'en ressentent pas le besoin, ne se sentent pas concernées, sont confuses quant au rôle du médecin dans une telle prise en charge. Il existe des peurs à évoquer ce sujet et à consulter pour le seul motif du désir de grossesse. La relation médecin-patiente y joue un rôle majeur. Il existe aussi quelques obstacles organisationnels. Cependant, les motivations et les attentes existent et sont facilement suscitées. CONCLUSION - Il existe des difficultés exprimées par les patientes à consulter lors d'un projet de grossesse. Afin d'améliorer la prise en charge, il semble indispensable de développer des moyens de les informer de l'existence de cette consultation et de son intérêt. D'autre part la qualité de la relation est une condition nécessaire pour aborder le sujet avec sa patiente, susciter son intérêt et son adhésion aux soins préconceptionnels.
Author: Barbara Boruchot Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 288
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Le certificat prénuptial a été supprimé en octobre 2007. Il avait pour but de délivrer au futur couple de parents les principaux messages d'information et de prévention entourant la conception. L'HAS, l'Académie de Médecine et le Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français, attirent donc l'attention des médecins sur l'intérêt d'une consultation préconceptionnelle. Elle doit dorénavant entrer dans une pratique médicale préventive généralisée. Une étude qualitative par entretiens semi-dirigés auprès de 15 médecins généralistes d'Ile de France a permis d'étudier les pratiques en matière de prévention préconceptionnelle et d'analyser la place de celle-ci au sein des consultations à orientation gynécologique. Si la prévention préconceptionnelle est effectuée dans son ensemble au fil des consultations courantes, elle n'est pas systématique et dépend, des médecins d'une part, et des patientes d'autre part. La mise en place d'une consultation préconceptionnelle est reconnue par l'ensemble des médecins interrogés comme un moyen efficace d'amélioration de cette prévention. Les médecins généralistes sont demandeurs de formation sur ce sujet. La mise en place d'une telle consultation implique également de sensibiliser les femmes en âge de procréer et de les inciter à consulter dès qu'elles ont un désir de grossesse. Les médias, l'Assurance Maladie et l'Education Nationale sont autant de médiateurs d'information auprès du grand public pour une plus grande participation.
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L'examen prénuptial a été supprimé en 2007. Véritable outil de santé publique il délivrait aux futurs parents des messages entourant la conception. Objectif principal: Comprendre comment les médecins généralistes ont fait évoluer leur pratique en matière de prévention préconceptionnelle depuis la suppression de l'examen prénuptial. Objectifs secondaires: Rapporter les obstacles rencontrés aujourd'hui et dégager des idées pour améliorer nos pratiques dans ce domaine. Etude qualitative par entretiens semi-dirigés auprès de 14 médecins généralistes des Alpes-de-Haute-Provence. Aujourd'hui la prévention préconceptionnelle est faite au fil des consultations, principalement celles à orientation gynécologique, l'homme n'y trouvant plus aucune place. Souvent aussi ces sujets ne sont abordés qu'en début de grossesse donc trop tardivement pour proposer toute prévention. Les manques d'opportunités, de temps, l'absence de structuration et d'obligation à consulter sont autant d'obstacles qui expliquent cette situation. D'autant que la sensibilisation des médecins à cette prévention est très variable selon les thèmes et que rarissimes sont les femmes qui évoquent leur désir de grossesse avec eux. Une meilleure formation et information des médecins uniformiserait leur pratique. Une consultation dédiée proposée par exemple à 18 ans serait efficace car elle permettrait d'être systématique. Elle pourrait être promue par l'Assurance-maladie via des courriers et des affiches incitant les jeunes adultes à consulter lors d'un projet de grossesse. Ces séances d'information pourraient aussi avoir lieu en centre de planification familiale ou à l'école
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L’infertilité toucherait 80 millions de personnes dans le monde. En France, il touche environ 15% de la population. Un couple sur six consultera pour infertilité. Le recul de l’âge de la femme à la première grossesse qui est passé de 26 à 30 ans, le mode de vie et les facteurs environnementaux dans notre société actuelle ont un rôle majeur dans la fertilité du couple et dans l’évolution et l’augmentation de la demande d’assistance médicale à la procréation. Le but de notre travail sera de déterminer la place du médecin généraliste dans la prévention, la prise en charge initiale et l’accompagnement du couple infertile. Nous avons donc mené une enquête quantitative et descriptive auprès d’un échantillon représentatif de 600 médecins généralistes de la région Picardie par le biais d’un questionnaire. Nous avons obtenu 115 réponses soit 19,1% de participation. Les résultats au questionnaire montrent que les médecins généralistes prennent en charge les patients qui consultent pour infertilité, ils estiment avoir un rôle dans la prévention, la prise en charge initiale, l’accompagnement, le soutien psychologique et l’aide à la réflexion. Il serait ainsi intéressant de permettre au médecin généraliste de suivre des séances de Formation Médicale Continue et de leur permettre d’accéder à un réseau de soin Médecins Généralistes- Gynécologues- centre d’AMP pour une prise en charge optimale. Il serait également intéressant de rendre la consultation préconceptionnelle obligatoire et de sensibiliser d’avantage la population en âge de procréer. Le médecin généraliste a donc un rôle dans la prévention, la prise en charge initiale, l’accompagnement et le soutien psychologique des patients.
Author: Lise Calberg Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 338
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Contexte : pour prévenir la morbidité fœto-maternelle, la prise en charge préconceptionnelle est efficace. Les généralistes, qui suivent au long cours leurs patients, sont alors bien placés pour agir. Des études montrent que les femmes sont demandeuses d’information en préconceptionnel et annoncent plus souvent qu’on ne le pense leur désir de grossesse. Les consultations préconceptionnelles sont peu réalisées et l’acide folique est peu prescrit par les médecins généralistes. Objectif : étudier leurs vécus et ressentis concernant leur pratique en matière de santé périconceptionnelle en général et concernant la recommandation sur l’acide folique en particulier. Méthode : étude qualitative s’appuyant sur des entretiens semi-dirigés auprès de 17 médecins généralistes du calvados. Résultats : en matière de santé périconceptionnelle, le vécu est très variable, d’absent à compliqué. Les ressentis sont multiples, entre ceux qui ne se sentent pas concernés, ceux pouvant éprouver une gêne et ceux qui estiment agir en amont ou en début de grossesse. A propos de l’acide folique, la recommandation semble difficile à mettre en œuvre. Des doutes sur le véritable intérêt de cette supplémentation sont perçus et ce message n’est pas toujours considéré comme étant important.Conclusion : il faut renforcer les connaissances des généralistes sur l’intérêt prouvé de l’acide folique et les amener à considérer la période périconceptionnelle comme une période à part entière. Replacer le généraliste au centre de cette prise en charge aux yeux des femmes semble important. Impliquer les différents professionnels de santé et les structures concernées par la périnatalité semblerait utile.
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Introduction : un couple est considéré comme infertile après 12 mois de rapports sexuels réguliers sans contraception, n'ayant abouti à une grossesse, chez les couples en âge de procréer. 14% des couples français consultent pour un désir d'enfant. Le médecin généraliste est un acteur important de leur prise en charge, via sa pratique de la médecine dans sa globalité. Matériel et méthodes : l’objectif principal de cette étude observationnelle, descriptive, transversale et quantitative, était de déterminer la prise en charge réalisée par les médecins généralistes du sud des Hauts de France lors d’une consultation pour infertilité. 264 questionnaires ont été envoyés par email. Résultats : 110 réponses ont été reçues. 66,4% des médecins réalisaient un examen clinique lors des consultations, et 24,7% réalisaient un examen gynécologique. 79,1% prescrivaient des examens complémentaires. 3,6% des médecins considéraient avoir assez de formation sur le sujet de l’infertilité, et 43,6% en souhaitaient davantage. Discussion : les médecins généralistes suivaient en majorité les recommandations quant à l’interrogatoire à réaliser, ainsi que pour l’examen clinique. Cependant, l’examen gynécologique chez la femme était peu réalisé. Les examens complémentaires à prescrire étaient bien demandés, hormis l’hystérosalpingographie. La plupart des médecins avaient le ressenti de ne pas avoir assez de formation, et les formations en ligne ont été sollicitées pour y remédier. Conclusion : les médecins généralistes du sud des Hauts de France initient correctement les prises en charge en réalisant un bilan de « débrouillage » avant la suite de la prise en charge par les spécialistes.
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L'objectif étant l'évaluation des connaissances des médecins généralistes dans le domaine de la consultation préconceptionnelle,et la détermination si la consultation préconceptionnelle a sa place en médecine générale et l'élaboration d’une fiche courte à destinée aux médecins généralistes sur les points essentiels à évoquer pendant la consultation préconceptionnelle. La méthode utilisée étant l'étude transversale qualitative analytique (entretiens individuels), menée selon une enquête écrite auprès des médecins généralistes des Alpes Maritimes, qui s’organise en trois parties : premièrement, profil des médecins généralistes, deuxièmement leur implication dans la consultation préconceptionnelle, troisièmement un questionnaire qualitatif pour les médecins généralistes sur leurs connaissances des recommandations préconceptionnelles. les résultats sont les suivants, les connaissances des médecins généralistes ne sont pas suffisantes. La consultation préconceptionnelle est d’actualité car la majorité des médecins généralistes reçoivent régulièrement des femmes souhaitant une grossesse. La place de la consultation préconceptionnelle est importante. Les médecins généralistes sont en première ligne pour donner des conseils. Il existe un besoin d’information dans ce domaine. En conclusion la consultation préconceptionnelle a une valeur d’acte de prévention. Lorsque les parents ont un projet d’enfant, le médecin généraliste doit pouvoir être en mesure de donner les conseils adaptés.Une fiche courte sur la consultation préconceptionnelle proposée dans cette thèse pourrait guider les médecins généralistes pendant cette consultation
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Introduction : la consultation préconceptionnelle a un intérêt préventif certain. En France, elle reste peu pratiquée alors que les grossesses sont plus souvent planifiées par les couples. Objectifs : évaluer les connaissances des femmes nullipares sur les soins préconceptionnels en 2016. Évaluer l'interlocuteur et le moment privilégiés par ces femmes pour recevoir les informations sur la santé préconceptionnelle. Méthode : étude descriptive, transversale, et quantitative réalisée de juillet à octobre 2016 auprès de femmes nullipares consultant des forums de discussion sur des sites internet français grâce à un questionnaire électronique. Résultats : 260 réponses ont été recueillies et analysées. Nous avons obtenu 81,3% de bonnes réponses aux questions sur les recommandations professionnelles en période préconceptionnelle concernant l'arrêt des toxiques et l'hygiène de vie. 45% des femmes n'avaient pas connaissance de la supplémentation en acide folique. 53% des femmes nullipares souhaitaient recevoir des informations sur la santé préconceptionnelle, mais uniquement à leur demande dans un cas sur deux. Le médecin traitant était un interlocuteur désigné par 84,2% d'entre elles. Conclusion : les femmes nullipares ont un manque d'informations sur la santé préconceptionnelle et son intérêt. Le médecin généraliste a un rôle à jouer pour sensibiliser les femmes nullipares à une prise en charge en amont de toute conception. Des études ultérieures pourraient être réalisées sur les différentes méthodes de diffusion de l'information par les médecins généralistes sur la santé préconceptionnelle et leurs impacts auprès des femmes nullipares.
Author: Morgane Morice
Author: Morgane Morice
Author: Florie Dupont
Author: Céline Puget Dupanloup
Author: Barbara Boruchot
Author: Adeline Mizony
Author: Thuy-Dung Bui
Author: Lise Calberg
Author: Agathe Herbomel
Author: Jurga Daukantaite-Texier
Author: Claire Pacchioni