Prise en charge de l'asthme de l'adulte chez les maîtres de stage universitaire en médecine générale en région Rhône-Alpes PDF Download
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L'asthme est un problème de santé publique qui touche 4 millions de personnes, et qui est responsable de 900 décès par an en France. Le risque de décès étant lié à un mauvais contrôle de l'asthme, le médecin traitant apparaît en première ligne dans la prise en charge des patients asthmatique. L'objectif principal de notre étude était de réaliser un état des lieux de la prise en charge et de l'éducation thérapeutique de l'asthme adulte par les médecins généralistes en région Rhône Alpes. Notre objectif secondaire était de comparer en sous-groupes cette prise en charge, dans notre population, afin d'identifier d'éventuels facteurs pouvant l'influencer. Cette étude transversale, observationnelle a été diffusé par questionnaire aux 407 M.S.U de la région Rhône Alpes. La participation s'est étendue d'aout 2018 à octobre 2018. Sur les 141 réponses analysées nous avons constaté que la prise en charge de l'asthme dans notre population étudiée était globalement conforme aux recommandations de la SPLF avec néanmoins quelques disparités lors de l'analyse en sous-groupe. Cependant, l'éducation thérapeutique (ETP) dans la pathologie asthmatique reste encore perfectible. En effet, 50,3% (n=50,3%) des M.S.U déclaraient que l'éducation thérapeutique était une source de difficulté dans la prise en charge de l'asthme et 67,4% (n=95) déclaraient que l'ETP était compliquée à réaliser en cabinet. Il semble donc nécessaire d'apporter des outils supplémentaires et une meilleure visibilité des moyens déjà disponibles aux médecins généralistes, pour pouvoir améliorer la réalisation de l'éducation thérapeutique qui apparaît comme un point essentiel dans la prise en charge de l'asthme.
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L'asthme est un problème de santé publique qui touche 4 millions de personnes, et qui est responsable de 900 décès par an en France. Le risque de décès étant lié à un mauvais contrôle de l'asthme, le médecin traitant apparaît en première ligne dans la prise en charge des patients asthmatique. L'objectif principal de notre étude était de réaliser un état des lieux de la prise en charge et de l'éducation thérapeutique de l'asthme adulte par les médecins généralistes en région Rhône Alpes. Notre objectif secondaire était de comparer en sous-groupes cette prise en charge, dans notre population, afin d'identifier d'éventuels facteurs pouvant l'influencer. Cette étude transversale, observationnelle a été diffusé par questionnaire aux 407 M.S.U de la région Rhône Alpes. La participation s'est étendue d'aout 2018 à octobre 2018. Sur les 141 réponses analysées nous avons constaté que la prise en charge de l'asthme dans notre population étudiée était globalement conforme aux recommandations de la SPLF avec néanmoins quelques disparités lors de l'analyse en sous-groupe. Cependant, l'éducation thérapeutique (ETP) dans la pathologie asthmatique reste encore perfectible. En effet, 50,3% (n=50,3%) des M.S.U déclaraient que l'éducation thérapeutique était une source de difficulté dans la prise en charge de l'asthme et 67,4% (n=95) déclaraient que l'ETP était compliquée à réaliser en cabinet. Il semble donc nécessaire d'apporter des outils supplémentaires et une meilleure visibilité des moyens déjà disponibles aux médecins généralistes, pour pouvoir améliorer la réalisation de l'éducation thérapeutique qui apparaît comme un point essentiel dans la prise en charge de l'asthme.
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Cette thèse a pour objectif principal d'améliorer la prise en charge globale du patient asthmatique par le médecin généraliste. Au cours de ce travail, plusieurs sujets sont abordés : - l'impact épidémiologique de l'asthme ; - l'évaluation clinique et spirométrique de la maladie asthmatique ; - le traitement médicamenteux ; - les facteurs environnementaux ; - l'éducation du malade asthmatique. Pour essayer de comprendre certaines lacunes dans la prise en charge du patient asthmatique, cette thèse s'appuie sur certains travaux et études, dont l'étude URCAM réalisée en juin 2001, auprès d'un échantillon de la population francilienne de 10 à 44 ans. Cette étude permet de montrer certains problèmes dans la prise en charge de cette maladie respiratoire, comme : - une attitude face à la crise d'asthme parfois inadaptée ; - la réalisation des examens complémentaires qui parfois fait défaut ; - l'importance d'un traitement médicamenteux couplé à une bonne éducation du patient asthmatique ; - une prise en charge adaptée des facteurs environnementaux, en particulier le tabac. En conclusion, ce travail montre qu'un nombre important de patients asthmatiques restent gênés dans leur quotidien malgré un traitement thérapeutique adapté, d'où l'importance de l'éducation de l'asthmatique et de la formation médicale continue du médecin.
Author: Marie Giroud (auteure en médecine).) Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 0
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Objectif principal : Évaluer la fréquence de prescription des chambres d'inhalation (CI) par les médecins généralistes et pneumologues, chez l'adulte en contexte d'exacerbation d'asthme en ambulatoire. Objectifs secondaires : identifier les caractéristiques des prescripteurs de CI, identifier les facteurs favorisants et les freins à l'usage des CI et évaluer la pratique de l'éducation thérapeutique par les répondants. Méthode : Étude observationnelle transversale, descriptive, réalisée entre novembre et décembre 2022. Un questionnaire était envoyé par mail, avec relance à 1 mois, aux médecins généralistes (4 693) et aux pneumologues (268), hospitaliers et libéraux, de la région Auvergne Rhône-Alpes (AURA). Le questionnaire portait sur les données démographiques des médecins et sur la prise en charge de l'exacerbation de l'asthme chez leurs patients adultes. Le questionnaire était clôturé 6 semaines après sa mise en ligne. Résultats : Le questionnaire a été diffusé à 4961 praticiens, 304 questionnaires (6%) ont été analysés. Quarante et un pour cent des participants (n=125) rapportaient prescrire une chambre d'inhalation pour les exacerbations d'asthme de leurs patients adultes, dont 26 pneumologues (54% des pneumologues) et 99 médecins généralistes (39% des médecins généralistes). Les chambres d'inhalation étaient significativement plus prescrites par les praticiens de plus de 45 ans. Il n'a pas été trouvé d'autre différence en analyse multivariée entre les prescripteurs et les non prescripteurs. Le principal facteur favorisant la prescription de CI semblait être la facilité d'administration des traitements (67,8% des participants). Le principal inconvénient était l'encombrement du dispositif (51,3% des participants). Quatre-vingts pourcent des participants vérifiaient la technique de prise des traitements par les patients. Trente-cinq pour cent des médecins avaient connaissance d'une structure d'éducation pour l'asthme dans leur territoire d'exercice. Conclusion : Dans cette étude, 41 % des médecins interrogés disaient prescrire des aérosols doseurs avec CI dans l'exacerbation d'asthme de l'adulte. Une étude interventionnelle comparant l'utilisation de la chambre d'inhalation versus les autres dispositifs, dans la prise en charge ambulatoire de l'exacerbation asthmatique de l'adulte, semble intéressante pour promouvoir son utilisation.
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INTRODUCTION : L'asthme est un problème de santé publique dans lequel le médecin traitant intervient en première ligne. Notre objectif était de réaliser un état des lieux de la prise en charge de l'asthme de l'adulte et de l'adolescent par les médecins généralistes en Franche-Comté. METHODE : Nous avons réalisé une enquête par questionnaire électronique auto-administré auprès des médecins généralistes titulaires du DES exerçant en Franche-Comté. RESULTATS : Nous avons analysé 51 questionnaires au terme de la période d'inclusion du 21 août au 1er octobre 2021. La moitié des médecins interrogés se sentaient en difficulté concernant la prise en charge thérapeutique, mais aussi pour évaluer le contrôle de la maladie et réaliser le suivi du patient asthmatique. Les outils actuellement disponibles pour l'évaluation du contrôle n'étaient pas souvent utilisés. Un tiers des praticiens suivaient déjà les recommandations très récentes de la GINA concernant la prise en charge thérapeutique des stades 1 et 2. La réalisation d'un plan d'action personnalisé n'était que rarement réalisée. CONCLUSION : Notre étude montre que la prise en charge de l'asthme par les médecins généralistes doit rester une préoccupation en terme de formation médicale initiale et continue, notamment à travers la diffusion des recommandations et des outils d'aide à la prise en charge disponibles. Il est également souhaitable de renforcer le rôle des médecins généralistes dans la démarche éducative du patient asthmatique.
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Contexte : Le plan d'action personnalisé écrit (PAPE) a pour objectif de guider le patient dans l'autogestion de son asthme et des exacerbations. Des études qualitatives ont identifié dix-huit facteurs entravant sa mise en oeuvre en soins primaires. En France, les données sur l'utilisation du PAPE par les médecins généralistes sont restreintes et les principaux facteurs limitant sa prescription n'ont pas encore été étudiés. Objectif : Faire un état des lieux des facteurs limitant la prescription du PAPE par les médecins généralistes français dans le cadre de la prise en charge de l'asthme chez l'adulte. Méthode : Réalisation d'une étude descriptive transversale auprès des médecins généralistes libéraux exerçants dans le département des Yvelines via un questionnaire anonyme en ligne. Résultats : Parmi les 91 médecins inclus dans l'étude, 6 ont prescrit un PAPE au cours de la consultation. Huit facteurs limitants étaient majoritairement évoqués par les 85 médecins qui n'ont pas prescrit de PAPE. 90% des médecins ont évoqué au moins l'un des trois facteurs suivants : le manque de familiarité avec le PAPE, le manque de formation théorique et pratique et l'absence de modèle de PAPE accessible durant la consultation. La moitié des médecins ont manqué de temps au cours de la consultation. Les autres facteurs fréquemment rapportés étaient le nombre de tâches liées à la charge du patient, l'irrégularité du suivi, la difficulté de rétroaction et la difficulté à programmer un changement de pratique. Conclusion : En médecine générale, l'utilisation du PAPE est limitée par le manque de temps en consultation et par une faible sensibilisation des médecins au PAPE et à ses modèles disponibles en ligne.
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Introduction : l'asthme est une maladie dont la prévalence augmente au cours des années, entraînant un surcoût pour la société, directement lié à son bon suivi. Malheureusement, d'après plusieurs études, celui-ci est souvent incomplet. L'objectif était de mettre en évidence ces obstacles empêchant les bonnes pratiques de suivi d'un patient asthmatique par un médecin généraliste Méthode : il s'agit d'une étude qualitative par théorisation ancrée menée auprès de médecins généralistes des Côtes-d'Armor par entretiens semi-dirigés Résultats : la saturation des données fut obtenue au bout de 10 entretiens auprès de médecins avec des profils différents. Parmi les multiples obstacles, étaient retenus surtout le manque de temps, présent à tous les stades du suivi, le défaut d'éducation thérapeutique et la difficulté d'acceptation des patients. L'asthme était souvent banalisée par les patients et médecins et était fréquemment un motif de consultation secondaire, évoqué rapidement en fin de consultation. Un défaut de formation était évoqués avec d'anciens schémas décisionnels et de trop nombreuses spécialités médicamenteuses. La pollution atmosphérique n'avait été que peu mentionnée, dû à la patientèle rurale et semi-rurale. Discussion : les techniques de prise médicamenteuse étaient souvent mal comprises de leurs patients et beaucoup se reposaient sur les pharmaciens pour l'enseignement. Une mauvaise éducation initiale compliquait la suite de l'ensemble de la prise en charge. Chez aucun des médecins, les plans d'action écrits n'étaient utilisés chez l'adulte. Les services ambulatoires d'éducation thérapeutique étaient soit absents de la région soit méconnus des médecins.
Author: Marie Levalois-Phelouzat Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 200
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Depuis 2004, les recommandations de l’HAS préconisent un suivi de l’asthme centré sur l’évaluation du contrôle de la maladie, en définissant trois niveaux de contrôle : optimal, acceptable et inacceptable. Malgré une diffusion large de ces recommandations auprès des professionnels de santé, près de 60% des patients présentent encore à l’heure actuelle un asthme insuffisamment contrôlé. Dans ce contexte, l’objectif de notre travail est de faire un état des lieux des pratiques des médecins généralistes concernant l’évaluation du contrôle de l’asthme chez leurs patients adultes. Notre étude a été réalisée auprès de 294 médecins généralistes exerçant en libéral sur le plateau caennais, sous la forme d’un questionnaire adressé par voie postale. L’adhésion des médecins généralistes aux recommandations de l’HAS est modérée avec seulement 57,4% des médecins qui connaissent la classification en trois degrés de contrôle de l’asthme et 36,1% qui l’utilisent. Un médecin sur cinq la juge d’ailleurs non adaptée à la pratique de médecine générale de ville. De plus, l’évaluation du contrôle de l’asthme n’est pas encore réalisée de façon optimale. Même si près de 90% des médecins généralistes utilisent au moins cinq des sept critères cliniques et paracliniques recommandés, certains restent sous évalués comme le retentissement de l’asthme sur l’activité physique et professionnelle des patients ainsi que la mesure systématique du DEP. Enfin, le recours aux EFR et aux consultations spécialisées avec un pneumologue est également insuffisant. Une amélioration des pratiques semble donc nécessaire pour optimiser la prise en charge des patients asthmatiques.
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Le médecin généraliste est bien souvent en première ligne de la prise en charge des maladies asthmatiques, pour le dépistage initial, la mise en oeuvre du traitement continu ou le traitement des épisodes aigus, sans compter le rôle important que joue le médecin pour l'accompagnement et la formation des asthmatiques et de leur entourage à la prise en charge de leur maladie. Si la physiopathologie et la biochimie de l'asthme sont de mieux en mieux comprises, il persiste encore de grandes inconnues dans cette maladie chronique de plus en plus fréquente. L'évolution de l'affection reste en partie imprévisible, nécessitant d'établir en permanence de nouvelles hypothèses évolutives. Ainsi ce guide pratique a le double objectif d'aider chaque médecin à comprendre, diagnostiquer, traiter l'asthme, et à éduquer les patients. (Somabec).
Author: Stéphanie Vincent Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 304
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L'asthme affectant plus de 4 millions de personnes en France témoigne d'un réel enjeu de santé publique. Malgré les recommandations, sa prise en charge reste insuffisante. Les recours urgents pour asthme reflètent un contrôle insuffisant de la maladie, souvent dû à un suivi médical et une éducation thérapeutique inappropriés en ambulatoire. L'objectif de l'étude était d'évaluer la prise en charge des adultes asthmatiques admis aux urgences du CHU de Caen pour une crise d'asthme. Le choix de la méthode s'est porté sur deux études descriptives complémentaires. Une première, rétrospective, évaluait la prise en charge l'asthme aigu aux urgences et la deuxième, prospective, évaluait le suivi et la prise en charge en ambulatoire au long cours des patients asthmatiques. Les critères d’inclusions comprenaient des patients âgés de 18 à 45 ans admis aux urgences du CHU de Caen pour exacerbation d'asthme. Les données ont été recueillies à l’aide des dossiers médicaux archivés et d’un questionnaire. Dans la première étude, 117 patients ont été admis sur un an. 16% avaient une crise sévère. 47,9% ont bénéficié d'un DEP à leur arrivée. 94,9% ont reçu une aérosolthérapie par β2 mimétiques et 53,8% une corticothérapie systémique. 25% des patients ont été hospitalisés. Dans la seconde étude, 24 patients asthmatiques connus ont été inclus sur 6 mois. 19 patients étaient suivis pour leur asthme en ambulatoire. 45,8% n'avaient jamais bénéficié d'EFR et 37,5% ignoraient le principe du DEP. 91,7% avaient un asthme non contrôlé selon l'ACT. L’impact sur la qualité de vie était de 4/10. Une amélioration des pratiques semble nécessaire pour optimiser la prise en charge des patients asthmatiques.
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L'asthme est une maladie multifactorielle et présentant de nombreuses formes cliniques, ce qui complique sa prise en charge, rendant difficile une uniformité du discours qui en découle. Elle constitue, de ce fait, un problème de santé publique reconnu. Parmi l'ensemble des objectifs d'amélioration de cette maladie, il paraît évident que l'éducation thérapeutique doit occuper une place centrale, comme c'est le cas dans d'autres maladies chroniques (diabète, insuffisance surrénale, HTA ...). Les différentes recommandations mettent l'accent sur cet élément, pourtant, sur le terrain, il peine à être bien mis en œuvre. Nous avons mis en place, pour cela, une étude descriptive, faisant intervenir le médecin généraliste, acteur essentiel de la prise en charge, et le patient asthmatique. Ont été inclus 64 patients entre 15 et 59 ans ayant consulté leur médecin en Ile-de-France, entre septembre et octobre 2009. Il ressort de cette étude un mauvais contrôle de l'asthme dans 60% des cas, un traitement de fond mal adapté, un oubli du traitement dans près de 70% des cas. Le plan d'action, ainsi que les outils d'apprentissage du traitement sont mal connus et mal véhiculés. Seule la moitié des patients sont suivis par un pneumologue. De façon générale, plus un patient est mal contrôlé, moins bien il est éduqué. Seulement 12,5% des patients connaissent l'existence des écoles de l'asthme. En revanche, ils savent reconnaître la survenue d'une crise dans 97% des cas, et prennent à peu près bien le traitement initial en cas de crise. Mais ce résultat prête à confusion. On peut raisonnablement conclure que l'éducation thérapeutique est un élément essentiel de la prise en charge de l'asthme, et qu'elle est encore insuffisante. Il faudrait, selon nous, travailler sur plusieurs axes : communication et diffusion de l'information, généralisation des plans d'action et des outils éducatifs, ouverture de nouvelles écoles de l'asthme et uniformisation (réseau) de leur discours, sensibilisation des acteurs de santé et du patient. La loi HPST, les formations universitaires en éducation thérapeutique et même une revue dédiée à ce thème sont d'ores et déjà de bons indicateurs allant dans ce sens.
Author: Anne-Laure Godet
Author: Anne-Laure Godet
Author: Nathalie Wajnapel-Menasce
Author: Marie Giroud (auteure en médecine).)
Author: *. *
Author: Muriel Demonfaucon
Author: Florent Samson
Author: Marie Levalois-Phelouzat
Author: Bertrand Dautzenberg
Author: Stéphanie Vincent
Author: Oury Estegassy