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Prévalence en 2022 du syndrome d'épuisement professionnel (burn-out) chez les internes de médecine générale de Besançon à la suite de la pandémie du COVID-19

Prévalence en 2022 du syndrome d'épuisement professionnel (burn-out) chez les internes de médecine générale de Besançon à la suite de la pandémie du COVID-19 PDF Author: Yasin Toprak
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Book Description
Prévalence en 2022 du syndrome d'épuisement professionnel (burn-out) chez les internes de médecine générale de Besançon à la suite de la pandémie du COVID-19 Contexte : L· évaluation des risques psycho-sociaux du personnel de soins est un enjeu majeur pour une qualité de soins optimale. Ces risques, sïls ne sont pas considérés. peuvent entraîner un épuisement ultime : le burn-out. Le Maslach Burnout lnventory (MBI) permet de calculer un score évaluant le degré de burn-out, cet outil comprend trois dimensions : l'épuisement émotionnel (EE). la dépersonnalisation (DP) et l'accomplissement personnel (AP). Les internes de médecine générale ont vécu la pandémie de coronavirus, il serait intéressant gràce à cet outil. déjà utilisé dans cette population. de comparer leurs degrés de burn-out après l'épidémie. Objectifs : L'objectif principal de l'étude est d'estimer la prévalence, en 2022. du syndrome d'épuisement professionnel (burn-out) chez les internes en médecine générale de la faculté de médecine de Besançon à raide du questionnaire MBI. Les objectifs secondaires sont de rechercher des facteurs de risques du burn-out et des facteurs liés au vécu de la pandémie, de comparer les résultats avec les données de la thèse d'A.Borey et d"analyser les commentaires. Méthodes: réalisation d"une étude épidémiologique descriptive. observationnelle. transversale, monocentrique réalisée par un auto-questionnaire, envoyé par courrier électronique. distribué par fascicule. affiché dans les services de garde et publié sur un groupe de discussion d'internes de médecine générale. Résultats : Le taux de réponse était de 46% (] 07/233). Cinquante-six pour cent des internes présentaient au moins une sous-dimension pathologique au MBl. La sous-dimension EE élevé est présente pour 23%. DP élevé pour 41 %. AP bas pour 13% des internes. Les principaux facteurs associés au burn-out dans notre étude étaient le nombre de garde élevé. le manque de temps consacré à son entourage. le manque de confiance dans ses connaissances théoriques nécessaires à la pratique et le sentiment d'être menacé par le burn-out. Les deux différences significatives entre les internes en burn-out en 2017 et ceux en 2022 sont que ces derniers consacraient plus de temps pour leurs loisirs et ils consommaient plus de drogues autres que le cannabis. cela de manière épisodique et aucun ·n en consommait en continu. Discussion: la prévalence du bum-out diminue depuis 2017. la plupart des conditions défavorables s'amélioreraient. Mais certains facteurs liés au vécu relationnel et lïnquiétude concernant la formation persistaient. Une part encore importante des internes de médecine générale présenterait un bum-out. La crise Covid n'aurait pas eu d"impact par son intensité mais par la conséquence sur la formation et le vécu personnel. La part d'internes en épuisement émotionnel et dépersonnalisation était plus élevée que celle en accomplissement personnel. Selon la théorie de Maslach et Jackson, nous étions probablement dans la phase précoce du bum-out pour notre population étudiée et sa prévalence pourrait augmenter. Il serait intéressant de suivre une population sur toute la durée de l'internat. Le taux de réponse de 46% (n =107) est à prendre en compte pour analyser les résultats. Conclusion : Certains facteurs de burn-out sembleraient ·s améliorer pour les internes mais leurs conditions de travail change proche avec la réforme de la 4ème année.

Prévalence en 2022 du syndrome d'épuisement professionnel (burn-out) chez les internes de médecine générale de Besançon à la suite de la pandémie du COVID-19

Prévalence en 2022 du syndrome d'épuisement professionnel (burn-out) chez les internes de médecine générale de Besançon à la suite de la pandémie du COVID-19 PDF Author: Yasin Toprak
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Prévalence en 2022 du syndrome d'épuisement professionnel (burn-out) chez les internes de médecine générale de Besançon à la suite de la pandémie du COVID-19 Contexte : L· évaluation des risques psycho-sociaux du personnel de soins est un enjeu majeur pour une qualité de soins optimale. Ces risques, sïls ne sont pas considérés. peuvent entraîner un épuisement ultime : le burn-out. Le Maslach Burnout lnventory (MBI) permet de calculer un score évaluant le degré de burn-out, cet outil comprend trois dimensions : l'épuisement émotionnel (EE). la dépersonnalisation (DP) et l'accomplissement personnel (AP). Les internes de médecine générale ont vécu la pandémie de coronavirus, il serait intéressant gràce à cet outil. déjà utilisé dans cette population. de comparer leurs degrés de burn-out après l'épidémie. Objectifs : L'objectif principal de l'étude est d'estimer la prévalence, en 2022. du syndrome d'épuisement professionnel (burn-out) chez les internes en médecine générale de la faculté de médecine de Besançon à raide du questionnaire MBI. Les objectifs secondaires sont de rechercher des facteurs de risques du burn-out et des facteurs liés au vécu de la pandémie, de comparer les résultats avec les données de la thèse d'A.Borey et d"analyser les commentaires. Méthodes: réalisation d"une étude épidémiologique descriptive. observationnelle. transversale, monocentrique réalisée par un auto-questionnaire, envoyé par courrier électronique. distribué par fascicule. affiché dans les services de garde et publié sur un groupe de discussion d'internes de médecine générale. Résultats : Le taux de réponse était de 46% (] 07/233). Cinquante-six pour cent des internes présentaient au moins une sous-dimension pathologique au MBl. La sous-dimension EE élevé est présente pour 23%. DP élevé pour 41 %. AP bas pour 13% des internes. Les principaux facteurs associés au burn-out dans notre étude étaient le nombre de garde élevé. le manque de temps consacré à son entourage. le manque de confiance dans ses connaissances théoriques nécessaires à la pratique et le sentiment d'être menacé par le burn-out. Les deux différences significatives entre les internes en burn-out en 2017 et ceux en 2022 sont que ces derniers consacraient plus de temps pour leurs loisirs et ils consommaient plus de drogues autres que le cannabis. cela de manière épisodique et aucun ·n en consommait en continu. Discussion: la prévalence du bum-out diminue depuis 2017. la plupart des conditions défavorables s'amélioreraient. Mais certains facteurs liés au vécu relationnel et lïnquiétude concernant la formation persistaient. Une part encore importante des internes de médecine générale présenterait un bum-out. La crise Covid n'aurait pas eu d"impact par son intensité mais par la conséquence sur la formation et le vécu personnel. La part d'internes en épuisement émotionnel et dépersonnalisation était plus élevée que celle en accomplissement personnel. Selon la théorie de Maslach et Jackson, nous étions probablement dans la phase précoce du bum-out pour notre population étudiée et sa prévalence pourrait augmenter. Il serait intéressant de suivre une population sur toute la durée de l'internat. Le taux de réponse de 46% (n =107) est à prendre en compte pour analyser les résultats. Conclusion : Certains facteurs de burn-out sembleraient ·s améliorer pour les internes mais leurs conditions de travail change proche avec la réforme de la 4ème année.

Syndrome d'épuisement professionnel (burn-out) chez les internes de spécialité hors médecine générale en Franche-Comté en période post-COVID en 2022

Syndrome d'épuisement professionnel (burn-out) chez les internes de spécialité hors médecine générale en Franche-Comté en période post-COVID en 2022 PDF Author: Margaux Raimbault
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Syndrome d'épuisement professionnel (burn-out) chez les internes de spécialité hors médecine générale en Franche-Comté en période post-COVID en 2022. Introduction : En 2019, une étude sur le syndrome d'épuisement professionnel des internes de spécialité hors médecine générale (ISHMG) de l'UFR Santé de Besançon a été réalisée. Après la pandémie de COVID-19, quelle est la prévalence de cette affectation dans cette population ? Quels sont les facteurs associés à l'épuisement professionnel dans cette population? Sont-ils les mêmes que ceux identifiés avant la pandémie 7 Méthodes : Une étude observationnelle, épidémiologique, descriptive. transversale, monocentrique a été menée à l'aide d'un auto-questionnaire adressé aux ISHMG en Franche Comté sur la période de mai à novembre 2022. L'évaluation du syndrome d'épuisement professionnel a été réalisée à partir du Maslach Burnout lnventory (MBI). Résultats/Discussion: Le taux de réponse au questionnaire était de 33% (101/305). Parmi eux, 80,2% étaient en burn-out contre 67,4% avant la pandémie de COVID-19. Les scores pathologiques étaient respectivement de 37,6% pour le score d'épuisement émotionnel (EE), 54,5% pour le score de dépersonnalisation (DP) et 47,5% pour le score d'accomplissement professionnel (AP). Les facteurs ayant un lien statistique avec le burn-out dans notre population étaient le manque de reconnaissance de la part des patients, le manque de temps consacré à l'entourage ainsi qu'aux loisirs, l'envie de quitter sérieusement la médecine, des connaissances théoriques insuffisantes et peu adaptées pour la pratique, la consommation de tabac et de psychotropes, le sentiment de menace par le burn-out et la survenue d'idées suicidaires. Les facteurs de burn-out différents entre la période pré-COVID et post-COVID étaient le nombre de gardes, le reconnaissance de la part des soignants, le sentiment de menace par le burn-out, la consommation de psychotropes, le recours à un psychiatre, la survenue d'idées suicidaires, les tentatives de suicide, le recours aux arrêts de travail et la connaissance des structures d'aide. Le seul facteur associé auburn-out en lien avec la période COVID était la vie personnelle affectée. Conclusion : Le burn-out semble concerner une forte proportion de la population d'ISHMG de Franche-Comté et paraît en augmentation entre la période pré-COVID et post-COVID

Syndrome d'épuisement professionnel (burn-out) chez les internes en médecine générale

Syndrome d'épuisement professionnel (burn-out) chez les internes en médecine générale PDF Author: Axel Borey
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Pages : 93

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Contexte : Le burn-out fait l'objet de nombreuses recherches sociologiques, psychologiques et médicales. Il a été décrit initialement dans les métiers de la santé. Le Maslach Burnout Inventory (MBI) est un autoquestionnaire prenant en compte trois dimensions : l'épuisement émotionnel (EE), la dépersonnalisation (DP) et l'accomplissement personnel (AP). Il est l'outil le plus utilisé pour l'évaluation du burn-out. Objectifs : Estimer la prévalence du burn-out chez les internes en médecine générale de Besançon en 2017 à l'aide du MBI. Secondairement, nous avons recherché les facteurs associés au burn-out, et collecté l'avis des internes concernant des mesures de prévention ainsi que leurs connaissances des structures d'aide. Méthodes : Étude descriptive épidémiologique transversale réalisée grâce à un questionnaire adressé par voie électronique à tous les internes en médecine générale de Besançon. Résultats : Le taux de réponse est de 58,9 % (129/219). Soixante-et-onze pour cent des internes présentent au moins une sous-dimension pathologique au MBI : 14 % pour I'EE, 45 % pour la DP, 31 % pour l'AP. Les principaux facteurs associés au burn-out apparaissant dans ce travail sont le non-respect du repos de garde ou de la demi-journée de formation personnelle, le recours difficile à un sénior, l'absence de reconnaissance, et le temps libre jugé insuffisant. Par ailleurs, les internes connaissent mal les structures d'aide disponibles et sont majoritairement favorables à plusieurs mesures de prévention. Conclusion : Le burn-out semble atteindre une partie importante d'internes en médecine générale de la faculté de médecine de Besançon. La proportion est légèrement supérieure à une autre étude, réalisée en 2011 auprès des internes de Besançon, ainsi que celles réalisées auprès des médecins généralistes libéraux français.

Syndrome d'épuisement professionnel (burn-out syndrom) chez les internes de spécialité, hors médecine générale en Franche-Comté

Syndrome d'épuisement professionnel (burn-out syndrom) chez les internes de spécialité, hors médecine générale en Franche-Comté PDF Author: Gaëlle Dussouillez
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Contexte: Selon une étude Technologia publiée en 2014, 3,2 millions de Français actifs présentent un risque élevé de développer un burn-out, soit plus de 12% de la population active. En médecine, une enquête réalisée par l'ANEMF, l'ISNAR IMG, l'ISNI a alerté sur l'état de santé mentale des jeunes médecins. De plus, de nombreuses thèses ont été réalisées afin de déterminer la prévalence du burn-out chez les internes de médecine générale en France mais aucune ne s'est intéressée aux internes des autres spécialités. Objectifs : Estimer la prévalence du syndrome d'épuisement professionnel (burn-out) chez les internes de spécialités hors médecine générale de la faculté de médecine de Besançon à l'aide du questionnaire Maslach Burn out lnventory en 2019. Les objectifs secondaires de cette étude étaient de comparer la prévalence du syndrome d'épuisement professionnel chez les internes de médecine générale (IMG) et chez les internes de spécialités hors médecine générale (IHMG), de rechercher les facteurs associés au burn-out chez les IHMG, de connaître l'avis des IHMG sur la mise en place de mesures préventives au burn-out et d'évaluer leurs connaissances des structures d'aide psychologique existantes Méthodes : Etude observationnelle, épidémiologique, descriptive, transversale, monocentrique réalisée au travers d'un auto-questionnaire adressé à tous les internes de spécialité hors médecine générale de Besançon en poste de mai à octobre 2019. Le test utilisé pour évaluer le burn-out et le Maslach Bun out lnventory. Résultats : Le taux de réponse est de 55.6%. La prévalence du burn-out est de 67.4% : 29.6% des internes de spécialité hors médecine générale présentaient un burn-out faible, 25.9% un burn-out moyen et 11.9% un burn out élevé. La prévalence du burn-out des IMG de Besançon d'après l'étude d'Axel Borey est similaire à celle de notre étude. Les facteurs associés au burn-out sont l'absence de reconnaissance par les séniors, les patients et l'équipe soignante, le manque de temps consacré à l'entourage et les loisirs, le manque de connaissances théoriques et le fait d'un choix par défaut de la spécialité choisie. La majorité des internes ne connaissent pas les structures d'aide et souhaiterait la mise en place de mesure de prévention. Conclusion : Le burn-out touche une majeure partie des IHMG de Besançon. Dans l'étude de Begue portant sur les internes de Poitiers en 2016, les IHMG ont été analysés à part, ce qui permet une comparaison possible avec notre étude. La prévalence du burn-out dans leur étude est similaire à la nôtre puisqu'elle est de 66.1%.

Syndrome d'épuisement professionnel (Burn-out) chez les étudiants de médecine du second cycle de la faculté de médecine de Besançon

Syndrome d'épuisement professionnel (Burn-out) chez les étudiants de médecine du second cycle de la faculté de médecine de Besançon PDF Author: Thomas François
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Languages : fr
Pages : 81

Book Description
Contexte : Le burn out est un problème de santé publique. Beaucoup d'études ont démontré qu'une grande partie de la population des internes en médecine y était confronté mais peu ont été faites pour les étudiants du second cycle de médecine. Objectifs : Mesurer la prévalence du burn-out chez les étudiants du second cycle (externes) dans la faculté de Besançon durant l'année scolaire 2018/2019 avec le MBI Test. Dans un deuxième temps nous avons étudié les facteurs associés au burn-out et la connaissance des étudiants du second cycle de médecine concernant les structures de soutien. Méthodes : Étude monocentrique, transversale, descriptive, épidémiologique réalisée à l'aide d'un questionnaire anonyme envoyé par courrier électronique à l'ensemble des externes de l'année scolaire 2018/2019. Résultats: Deux-cent-quatre-vingt-neuf réponses ont été recueillis sur 593 possibles (48.7%). Quatre-vingt-trois pourcents des étudiants ont au moins un burn-out léger. Parmi les facteurs associés nous retrouvons : le manque d'encadrement, le manque de reconnaissance, un temps insuffisant consacré à la famille et aux loisirs. Nous constatons que les externes sont mal informés c'oncernant les structures de soutien. Conclusion : Une grande majorité des externes semblent confrontés au burn out. Il n'y a pas d'autre études réalisées sur ce sujet à Besançon mais ces résultats sont similaires à d'autres études réalisées.

Évaluation de la prévalence du syndrome d'épuisement professionnel chez les internes de pédiatrie en période d'épidémie à SARS-COV2

Évaluation de la prévalence du syndrome d'épuisement professionnel chez les internes de pédiatrie en période d'épidémie à SARS-COV2 PDF Author: Ludovic Tréluyer
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Languages : fr
Pages : 36

Book Description
Introduction : l'objectif principal de l'étude était d'évaluer la prévalence du syndrome d'épuisement professionnel chez les internes de pédiatrie français durant l'épidémie de coronavirus 2019 (COVID-19). L'objectif secondaire était d'identifier les facteurs associés au syndrome d'épuisement professionnel dans cette population. Matériel et méthodes : une enquête nationale transversale a été réalisée durant la première semaine du mois de mai 2020. Le questionnaire était envoyé à tous les internes de pédiatrie français. La prévalence du syndrome d'épuisement professionnel était évaluée avec la version validée en langue française du Maslach Burnout Inventory - Human Services Survey. Le questionnaire contenait également des items sur les caractéristiques sociodémographiques et la situation professionnelle des internes de pédiatrie. Résultats : trois cent quarante internes ont répondu au questionnaire. La prévalence du syndrome d'épuisement professionnel dans la population était de 37,4% (127/340). Il n'y avait pas d'association entre le syndrome d'épuisement professionnel et les perturbations de l’organisation professionnelle dues à la COVID-19. Le temps de travail hebdomadaire et l’anxiété professionnelle étaient significativement associés au syndrome d'épuisement professionnel. Conclusion : la prévalence élevée du syndrome d'épuisement professionnel est préoccupante chez les internes de pédiatrie et celle-ci ne peut être attribuable à l'épidémie de COVID-19. Des actions de prévention devraient être mises en place.

Syndrome d'épuisement professionnel et qualité de vie des internes de médecine générale de l'île de La Réunion

Syndrome d'épuisement professionnel et qualité de vie des internes de médecine générale de l'île de La Réunion PDF Author: Romain Bergonnier
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Languages : fr
Pages : 0

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Le syndrome d'épuisement professionnel est au cœur d'une problématique d'actualité : la souffrance au travail. Les professions d'entraide et en particulier dans le domaine de la santé sont les plus exposées. De nombreuses études concernant les médecins généralistes et internes en France métropolitaine ont déjà été réalisées. Mais aucune étude n'a évaluée ce syndrome dans des subdivisions ultra-marines. L'objectif principal de notre travail est de déterminer la prévalence du syndrome d'épuisement professionnel chez les internes de médecine générale de La Réunion en 2015, et d'identifier les facteurs associés. L'objectif secondaire est d'évaluer la qualité de vie de cette population afin de déterminer s'il existe une corrélation entre ce paramètre et la survenue du syndrome d'épuisement professionnel. Pour cela, nous avons réalisé une étude descriptive, épidémiologique, réalisée par auto-questionnaire qui incluait le Maslach Burnout Inventory pour l'évaluation du syndrome d'épuisement professionnel, le questionnaire WHOQOL- BREF et une échelle visuelle analogique pour l'évaluation de la qualité de vie. Nous avons ainsi déterminé que la prévalence du syndrome d'épuisement professionnel à La Réunion était similaire à celle chez les internes métropolitains. Nous avons pu identifier comme principaux facteurs de risque le sentiment d'être menacé par le syndrome d'épuisement professionnel, la consommation d'antidépresseurs ou la présence récente d'idées suicidaires, le choix par défaut de la médecine générale comme spécialité, l'éloignement familial et une mauvaise intégration à la population locale, ainsi que le sentiment de ne pas avoir une qualité de vie satisfaisante. Nous avons retrouvé comme facteurs protecteurs principaux : L'accompagnement et la reconnaissance des médecins qui encadrent les internes. Pour l'évaluation de la qualité de vie, nous avons pu déterminer qu'elle était corrélée au niveau d'accomplissement personnel et qu'elle varie de façon inverse au degré d'épuisement émotionnel. Ainsi, le syndrome d'épuisement professionnel a une prévalence similaire chez les internes d'outre mer et les internes métropolitains. Des facteurs associés ont pu être identifiés et ouvrent une dimension intéressante pour le dépistage du syndrome d'épuisement professionnel.

Syndrome d'épuisement professionnel et qualité de vie des internes de Médecine Générale de Mayotte et La Réunion

Syndrome d'épuisement professionnel et qualité de vie des internes de Médecine Générale de Mayotte et La Réunion PDF Author: Louis Baratié
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Languages : fr
Pages : 0

Book Description
Introduction : Depuis le début de la crise sanitaire du Sars-Cov2, la santé des soignants anime particulièrement le débat public. La prise en charge de ces professionnels représente un réel enjeu de santé publique. Aucun travail n'avait déjà étudié l'épuisement professionnel des internes à Mayotte ni mesuré l'évolution du phénomène à la Réunion. L'objectif principal est d'évaluer la prévalence du syndrome d'épuisement professionnel des internes de médecine générale de la subdivision Océan Indien. Méthode : Il s'agissait d'une étude épidémiologique descriptive de type quantitatif réalisée auprès des internes de médecine générale de Mayotte et La Réunion. L'épuisement était mesuré par le questionnaire Maslach Burnout Inventory, la qualité de vie par le questionnaire WHOQOL-BREF validé par l'OMS et par une échelle visuelle analogique. Le syndrome d'épuisement professionnel était complet si ses trois sous-dimensions étaient atteintes. Résultats : La prévalence du syndrome d'épuisement complet était de 13.6%. L'épuisement bi- et unidimensionnel représentaient respectivement 26.1% et 54.5% de l'échantillon inclus. L'épuisement émotionnel élevé affectait 30.7% des participants, la dépersonnalisation élevée 46.6% et l'accomplissement personnel bas 19.3%. La qualité de vie médiane était de 8.0 [7.0 ; 9.0] selon l'échelle analogique et de 72% [52 ; 80] selon le WHOQOL-BREF5. Conclusion : La prévalence de l'épuisement complet des internes de la subdivision a quasiment doublé entre 2015 et 2021 (respectivement 7% et 13.6%). L'épuisement émotionnel ainsi que la dépersonnalisation ont progressé, tandis que l'accomplissement personnel et la qualité de vie se sont améliorés.

Analyse du burn out chez les internes de médecine générale sur la base d'une étude comparative entre l'Ile-de-France et le Languedoc-Roussillon

Analyse du burn out chez les internes de médecine générale sur la base d'une étude comparative entre l'Ile-de-France et le Languedoc-Roussillon PDF Author: Marie Thévenet
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Languages : fr
Pages : 350

Book Description
La souffrance au travail est un sujet en plein essor et analysée depuis peu chez les médecins, y compris chez les internes. Les divers travaux réalisés dans cette population retrouvent des niveaux élevés préoccupants d’épuisement professionnel.L’objectif de notre travail est d’étudier la prévalence du burn out chez les internes de médecine générale d’Ile de France et du Languedoc Roussillon, et d’identifier les facteurs prédisposants ou protecteurs. Un questionnaire comprenant le Maslach Burnout Inventory a été transmis aux internes de médecine générale ayant validé au moins un semestre d’internat. Le taux de participation est de 44,84% en Ile de France et de 59,87% en Languedoc Roussillon.23% des internes présentent un épuisement émotionnel sévère, 38,8% une dépersonnalisation sévère et 35,6% un niveau de bas accomplissement personnel. 7,1% présentent un burn out complet sévère et 35,8% une absence totale de burn out.Les internes parisiens paraissent plus épuisés que les montpelliérains, et moins atteints de dépersonnalisation. Un profil d’interne type à risque de burn out sévère est proposé et repose sur une triade : la prise contrariée des congés annuels, le manque de temps pour sa formation et soit la consommation de psychotropes, soit un niveau de responsabilité insuffisant, soit le désir de ne pas refaire médecine.Le burn out existe chez les internes de médecine générale. Il est important de le reconnaître et de le prévenir afin d’éviter qu’ils ne deviennent les médecins « brûlés » de demain.

Epuisement professionnel des internes en médecine

Epuisement professionnel des internes en médecine PDF Author: Hélène Moinet
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Languages : fr
Pages : 124

Book Description
De nombreux travaux ont fait état de l’épuisement professionnel des internes en médecine en France et à l’étranger. L’internat est en effet une période souvent considérée comme éprouvante pour les internes, un passage obligé et critique durant lequel l’étudiant doit pouvoir améliorer ses stratégies d’adaptation face au stress chronique. Ces nouvelles stratégies pourraient l’aider tout le long de son exercice professionnel. Si on peut encore améliorer les facteurs entrant en jeu dans cet épuisement, qu’ils soient liés à l’exercice médical en évolution, à son organisation ou qu’ils soient plus individuels, l’étudiant doit pouvoir repérer ce qu’il peut améliorer lui-même dans son mode de fonctionnement. Cela contribuerait à améliorer le bien-être de l’interne sans perdre de vue que l’épuisement professionnel a des conséquences néfastes sur la qualité des soins et la santé de ces médecins en devenir. L’étude descriptive transversale réalisée à Marseille à partir de 254 auto-questionnaires retrouve un épuisement émotionnel élevé pour 15% des internes. 36% ont un score de dépersonnalisation élevé et 48% un score d’accomplissement personnel bas. Pourtant, l’étude ne retrouve que 29% d’internes à se sentir menacés par le burnout et environ la moitié ne semble pas connaitre les conséquences de ce syndrome sur la santé mentale et physique des étudiants ou médecins atteints. Dans le cadre de la prévention, les internes plus sensibilisés et mieux informés sur ce syndrome devraient pouvoir repérer chez eux-mêmes des signes précoces de cet épuisement. Il est important qu’ils connaissent les facteurs prédisposant principaux rapportés par les études et pressentent les facteurs plus personnels liés à la gestion du stress.