Obstacles à la prescription et au suivi de l'auto-surveillance glycemique chez les patients diabétiques de type 2 insulinotraités selon les médecins généralistes du Val de Marne PDF Download

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Obstacles à la prescription et au suivi de l'auto-surveillance glycemique chez les patients diabétiques de type 2 insulinotraités selon les médecins généralistes du Val de Marne

Obstacles à la prescription et au suivi de l'auto-surveillance glycemique chez les patients diabétiques de type 2 insulinotraités selon les médecins généralistes du Val de Marne PDF Author: Saliha Djefel-Abdoun
Publisher:
ISBN:
Category :
Languages : fr
Pages : 214

Book Description
INTRODUCTION : La pratique de l'auto-surveillance glycémique (ASG) est utile et recommandée chez les patients diabétiques de type 2 insulinotraités. Pourtant on constate actuellement que sa pratique est loin d'être optimale. L'objectif principal de notre étude est de quantifier les obstacles à la prescription et au suivi de l'ASG chez cette population de diabétiques. L'objectif secondaire est d'évaluer les solutions pour son optimisation. MATERIELS ET METHODE : Nous avons réalisé une étude descriptive transversale, quantitative, réalisée à l'aide d'un questionnaire anonyme adressé par voie postale aux médecins généralistes exerçant dans le Val de Marne. RESULTATS : Le taux de participation à l'enquête était de 16,80%. Les obstacles à la gestion de l'ASG les plus souvent rapportés comme freins majeurs étaient: absence du carnet glycémique en consultation : 80,33% (IC95% :73%-87%), non réalisation de l'ASG par le patient: 55,74% (IC95% :47%-65%), manque de temps pour le médecin généraliste : 54,10% (IC95% : 45%-63%). Les solutions pouvant optimiser la gestion de l'ASG étaient: lecteurs glycémiques sans piqûre : 84,9% (IC95% :78%-91%), délégation de certains points du suivi de l'ASG aux IDE : 84,75% (IC95% :78%-91%), et en plus faible proportion la mise en place du dossier médical partagé : 49,2% (IC95% :40%-58%), une rémunération plus adaptée 44,07% (IC95% :35%-53%) et des outils d'aide à la décision pouvant être associés à une télésurveillance : 42% (IC95% :33%-51%).CONCLUSION : La difficulté d'observance de l'ASG par les patients et le manque de temps du médecin généraliste en consultation semblent nuire au suivi de l'ASG. Le recours aux outils issus des nouvelles technologies et à la coopération avec les IDE pourraient contribuer à l'optimisation de la gestion de l'ASG.

Obstacles à la prescription et au suivi de l'auto-surveillance glycemique chez les patients diabétiques de type 2 insulinotraités selon les médecins généralistes du Val de Marne

Obstacles à la prescription et au suivi de l'auto-surveillance glycemique chez les patients diabétiques de type 2 insulinotraités selon les médecins généralistes du Val de Marne PDF Author: Saliha Djefel-Abdoun
Publisher:
ISBN:
Category :
Languages : fr
Pages : 214

Book Description
INTRODUCTION : La pratique de l'auto-surveillance glycémique (ASG) est utile et recommandée chez les patients diabétiques de type 2 insulinotraités. Pourtant on constate actuellement que sa pratique est loin d'être optimale. L'objectif principal de notre étude est de quantifier les obstacles à la prescription et au suivi de l'ASG chez cette population de diabétiques. L'objectif secondaire est d'évaluer les solutions pour son optimisation. MATERIELS ET METHODE : Nous avons réalisé une étude descriptive transversale, quantitative, réalisée à l'aide d'un questionnaire anonyme adressé par voie postale aux médecins généralistes exerçant dans le Val de Marne. RESULTATS : Le taux de participation à l'enquête était de 16,80%. Les obstacles à la gestion de l'ASG les plus souvent rapportés comme freins majeurs étaient: absence du carnet glycémique en consultation : 80,33% (IC95% :73%-87%), non réalisation de l'ASG par le patient: 55,74% (IC95% :47%-65%), manque de temps pour le médecin généraliste : 54,10% (IC95% : 45%-63%). Les solutions pouvant optimiser la gestion de l'ASG étaient: lecteurs glycémiques sans piqûre : 84,9% (IC95% :78%-91%), délégation de certains points du suivi de l'ASG aux IDE : 84,75% (IC95% :78%-91%), et en plus faible proportion la mise en place du dossier médical partagé : 49,2% (IC95% :40%-58%), une rémunération plus adaptée 44,07% (IC95% :35%-53%) et des outils d'aide à la décision pouvant être associés à une télésurveillance : 42% (IC95% :33%-51%).CONCLUSION : La difficulté d'observance de l'ASG par les patients et le manque de temps du médecin généraliste en consultation semblent nuire au suivi de l'ASG. Le recours aux outils issus des nouvelles technologies et à la coopération avec les IDE pourraient contribuer à l'optimisation de la gestion de l'ASG.

L'auto surveillance glycémique des patients diabétiques de type 2 suivis en médecine générale

L'auto surveillance glycémique des patients diabétiques de type 2 suivis en médecine générale PDF Author: Anne-Sophie Rosiaux-Rougeaux
Publisher:
ISBN:
Category :
Languages : fr
Pages : 44

Book Description
Introduction : En France, plus de 2,3 millions de personnes sont atteintes de diabète, soit 3,8% de la population générale. La prescription de l’auto surveillance glycémique (ASG) est-elle correctement effectuée et adaptée ? Le remboursement du matériel d’ASG est-il encore pertinent ? Méthode : Réalisation d’une étude quantitative réalisée auprès de 52 patients diabétiques de type 2 suivis par des médecins généralistes de la région Picarde. Résultats :4 patients sur 13 avec un traitement insulinosécréteur ne possédaient pas de lecteur de glycémie ; ainsi que 8 patients ayant une hémoglobine glyquée supérieure à 7%. 22 lecteurs sur 32 sont prescrits par les médecins traitants qui recommanderaient 1 à 3 contrôles glycémiques dans la semaine, tandis que les patients en réaliseraient en moyenne 7. 80% des patients sans lecteur trouveraient une amélioration de leur diabète contre 75% des patients avec. Les raisons d’effectuer ou de limiter l’ASGseraient respectivement de vérifier l’efficacité du traitement et/ou d’agir devant la glycémie et l’oubli et/ou le non remboursement du matériel. Discussion : Les médecinstraitants prescrivent à bon escient le lecteur glycémique et suivent les recommandations de la HauteAutorité de Santé.Une ambigüité apparaît lors des réactions face aux chiffres de glycémie. L’utilisation du lecteur est détournée de ces objectifs principaux.Les médecins généralistes n’accompagneraient pas toujours l’explication de l’utilisation du lecteur, souvent réalisée par l’infirmière. Conclusion :Le lecteur glycémique est prescrit principalement aux patients insulinorequérants et/ou sous insulinosécréteur. La majorité des patients avait un diabète bien équilibré. Le non remboursement du matériel apparaîtrait comme un frein à la pratique de l’ASG. Faut-il prescrire le lecteur de glycémie avec des séances systématiques d’éducation thérapeutique du patient.

Acceptabilité de l’autosurveillance glycémique par les médecins généralistes français dans le diabète de type 2 non insulinodépendant

Acceptabilité de l’autosurveillance glycémique par les médecins généralistes français dans le diabète de type 2 non insulinodépendant PDF Author: Noémie Studer
Publisher:
ISBN:
Category :
Languages : fr
Pages : 196

Book Description
Objectif : Dégager les principaux facteurs d'acceptabilité et de résistance des médecins généralistes vis à vis de la prescription d’autosurveillance glycémique chez des patients diabétiques de type 2 non insulinotraités. Méthodes : l’étude s’appuyait sur un 1er volet qualitatif et un 2ème épidémiologique et quantitatif utilisant un questionnaire auprès d'un échantillon de 293 médecins généralistes. Conclusion : Dans le cadre précis du diabète de type 2 non insulinotraité il ressort de cette étude une diversité des perceptions et des pratiques. Les médecins se sont finalement peu positionné « très favorable » ou « très défavorable » à l’ASG. En analyse multivariée, deux caractéristiques socioprofessionnelles influençaient toujours significativement cette pratique de soins : les médecins jeunes avaient une moins bonne perception de l’ASG que les médecins plus âgés : OR 0.95 avec p=0.004 ; et les médecins implantés en urbain avaient une moins bonne perception de l’ASG que les médecins ruraux : OR 2.32 avec p=0.007 (après prise en compte des facteurs suivants : sexe, âge, lieu d’exercice et formation). L’étude a également mis en évidence un certain nombre de difficultés de moyens dans leurs pratiques dont la prise en compte pourrait servir de socle à une démarche d’optimisation de l’utilisation de l’ASG.

Évaluation des freins à l'instauration de l'insulinothérapie chez les patients diabétiques de type 2 naïfs en insuline en Pays de Loire

Évaluation des freins à l'instauration de l'insulinothérapie chez les patients diabétiques de type 2 naïfs en insuline en Pays de Loire PDF Author: Louise Seguineau de Préval Bachoumas
Publisher:
ISBN:
Category :
Languages : fr
Pages : 73

Book Description
Contexte : le diabète de type 2 représente un problème de Santé Publique, en 2010 la prévalence mondiale du diabète était estimée à 10% chez les adultes de plus de 25 ans selon l'OMS. L'étude UKPDS a révélé l'intérêt d'un équilibre glycémique précoce sur les complications cardio-vasculaires, or l'étude ENTRED 2007-2010 révèle que 44% des patients inclus avait un diabète déséquilibré et l'étude ENTRED 2001-2003 montre plus spécifiquement un retard à l'instauration de l'insulinothérapie. Ce retard peut en partie être lié à l'insulino-résistance psychologique des patients. Objectif : Le but de l'étude est d'évaluer par le questionnaire ITAS les appréhensions des patients diabétiques de type 2 des Pays de Loire, afin de trouver des leviers pour faciliter le passage à l'insuline. Matériel et Méthode : étude quantitative observationnelle descriptive par le biais d'un questionnaire patient, sur la période de novembre 2015 à mai 2017. Seuls les patients diabétiques de type 2 avec au moins deux traitements antidiabétiques oraux et une HbA1c supérieure ou égale à 8% ou les patients ayant plus deux de médicaments quel que soit leur taux d'HbA1c ont été inclus. Analyses statistiques par les tests de corrélation de Pearson et de Spearman et par le test t de student. Résultats : Les items du score ITAS ont été regroupés en sous scores concernant le vécu de la maladie, l'insuline et le champ social. Nous avons inclus 50 patients, le score moyen ITAS est de 61.6 (+/- 9.77), cette appréhension prédomine sur le vécu de la maladie avec un score à 20,52 (+/-2.873). Le type de suivi médical (par un généraliste ou un diabétologue ou hospitalier) n'influe pas sur les scores ITAS, mais le fait de bénéficier d'un traitement injectable ou d'une surveillance glycémique permettent une diminution des appréhensions des patients. Les patients en couple s'inquiètent plus que les patients célibataires des hypoglycémies. Il semble exister un pic d'appréhension à l'insulinothérapie quand le diabète évolue depuis 5 à 10 ans avec un score ITAS moyen à 65.93 (+/- 10.7). Conclusion : l'appréhension des patients porte essentiellement sur le vécu de la maladie, elle peut être diminuée par l'instauration d'un traitement injectable et par la surveillance glycémique. Elle est majeure entre 5 et 10 ans d'évolution de la maladie, il serait donc intéressant de débuter tôt dans la maladie l'éducation des patients sur l'histoire naturelle du diabète et sur l'insulinothérapie. Le suivi par un généraliste ne représente pas un frein pour les patients, validant les recommandations HAS de 2013 qui placent le généraliste au centre de la prise en charge.

Autosurveillance glycémique

Autosurveillance glycémique PDF Author: Patricia Rousseaux
Publisher:
ISBN:
Category :
Languages : fr
Pages : 302

Book Description
Contexte : L’auto surveillance glycémique (ASG) n’a pas démontrée d’efficacité en terme de morbi-mortalité, chez les patients diabétiques de type 2 sans traitement insulinique. Elle reste largement prescrite. Quelles sont les perceptions chez les médecins généralistes de l’ASG ? Quel est son vécu chez les patients qui ont eu une prescription d’ASG ? Méthode : Une analyse phénoménologique a été menée, avec entretiens individuels pour les patients, recrutés par effet boule de neige et raisonné, et focus groups pour les médecins généralistes, par recrutement raisonné. Les entretiens ont été menés jusqu’à saturation des données. Résultats : L’ASG participait à l’éducation du patient dans le sens où cela lui permettait de repérer les signes évoquant une hypoglycémie ou de comprendre l’origine d’un malaise. Elle permettait au patient de reconnaître les aliments hyperglycémiants. Cela n’améliorait pas pour autant les règles hygiénodiététiques sur le long terme. Les patients pensaient se prendre en charge par le simple fait de se piquer, sans remettre en cause leur hygiène de vie. Le patient utilisait le lecteur de glycémie pour aider le médecin à adapter son traitement. L’ASG permettait de rassurer les patients équilibrés. Elle était source d’angoisse, de culpabilité, et de sentiment d’impuissance chez les patients déséquilibrés. Elle pouvait même engendrer des comportements obsessionnels. Elle diminuait donc la qualité de vie chez ces patients. Il y avait trop peu d’échange entre le médecin traitant et son patient. Conclusion : Les médecins ne définissaient pas l’utilité de l’ASG. Les patients ne pouvaient pas définir l’utilité de l’ASG. Elle apparaissait souvent comme un outil éducatif déconnecté d’un projet éducatif négocié.

Prescription de l'activité physique chez les patients diabétiques de type 2 par les médecins généralistes en Guyane

Prescription de l'activité physique chez les patients diabétiques de type 2 par les médecins généralistes en Guyane PDF Author: Stéphanie Dranebois
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ISBN:
Category :
Languages : fr
Pages : 0

Book Description
OBJECTIF - Évaluer les pratiques, les freins et les facteurs favorisant la prescription de l'activité physique (AP) chez les patients diabétiques de type 2 (DT2) par les médecins généralistes en Guyane française. MATÉRIEL ET MÉTHODES - Une étude descriptive a été réalisée sous forme de questionnaire de mai à août 2019 et a interrogé de 152 médecins généralistes en Guyane concernant leur pratique de la prescription d'AP chez les patients DT2. RÉSULTATS - 73 médecins généralistes ont été inclus. La prescription de l'AP (orale ou écrite) comme choix thérapeutique non médicamenteux dans la prise en charge du DT2 est pratiquée par 74% des médecins généralistes interrogés. Cependant, 37% seulement des médecins ont déclaré le faire dans le cadre des recommandations de la Haute Autorité de Santé et du décret, seuls un tiers en connaissaient l'existence. La majorité des médecins sont intéressés par une formation (90.4%) car seuls 11% ont été formés. Le manque de structures adaptées à l'AP et le manque de connaissance des patients DT2 sur l'intérêt de l'AP sont apparus comme des freins importants. Les principales mesures sollicitées étaient la collaboration entre les professionnels de santé et le développement des réseaux sport santé. Parmi les médecins interrogés 57.5% ne connaissaient pas le métier d'enseignant en AP adaptée. Selon 55% des médecins une indemnisation par la sécurité sociale des frais liés à la prescription permettrait l'adhésion à la pratique de l'AP. CONCLUSION - Le médecin généraliste est un acteur principal dans la prise en charge du DT2 et l'AP apparait comme une thérapeutique non médicamenteuse indispensable. Cependant il apparait important de développer la formation des médecins généralistes à l'application des règles de prescription de l'AP, des structures d'accueil adaptées aux patients, et la collaboration entre les différents acteurs dans le cadre d'un dispositif sport-santé. Par ailleurs l'éducation thérapeutique du patient doit être développée afin d'améliorer l'adhésion des patients à la pratique de l'AP. Le financement des coûts liés à la prescription de l'AP permettrait probablement l'amélioration de l'adhésion des patients.