Les téléconsultations en médecine générale et leur contenu PDF Download
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Au cours de l'année 2020 la téléconsultation a connu un essor fulgurant en France consécutivement à la pandémie de la COVID 19. Ce travail décrit le contenu des téléconsultations en médecine générale à travers des variables quantifiables et reproductibles afin de faire un état des lieux de ce mode de pratique. Il s'agit d'une étude épidémiologique, descriptive, observationnelle analysant le contenu de 751 téléconsultations auprès de 24 médecins généralistes d'Ile de France. Le recueil était prospectif via un questionnaire numérique. Les téléconsultations concernaient principalement des femmes (67%), la moyenne d'âge des patients était de 38 ans. On recensait en moyenne 1,28 motifs par séance. Le patient était connu du médecin dans 89% des cas. Les séances étaient en rapport avec une affection aigue dans 51% des cas et duraient moins de 15 minutes pour 87,5% d'entre elles. Le champ de compétence le plus souvent sollicité était les maladies infectieuses. Le principal motif de recours était le renouvellement d'ordonnance (12% des consultations). Un médicament a été prescrit au cours de 67% des séances, un examen complémentaire au cours de 28,5% d'entre elles, un arrêt de travail à l'issu de 26% d'entre elles. Cinq pourcent des téléconsultations ont été orientées vers une structure de soins. Ce travail met en lumière un certain profil de séance. Il est à interpréter dans le contexte historique au cours duquel il a été réalisé. De futurs travaux pourront vérifier cette tendance et analyser la place de la téléconsultation dans la pratique courante du médecin généraliste.
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Au cours de l'année 2020 la téléconsultation a connu un essor fulgurant en France consécutivement à la pandémie de la COVID 19. Ce travail décrit le contenu des téléconsultations en médecine générale à travers des variables quantifiables et reproductibles afin de faire un état des lieux de ce mode de pratique. Il s'agit d'une étude épidémiologique, descriptive, observationnelle analysant le contenu de 751 téléconsultations auprès de 24 médecins généralistes d'Ile de France. Le recueil était prospectif via un questionnaire numérique. Les téléconsultations concernaient principalement des femmes (67%), la moyenne d'âge des patients était de 38 ans. On recensait en moyenne 1,28 motifs par séance. Le patient était connu du médecin dans 89% des cas. Les séances étaient en rapport avec une affection aigue dans 51% des cas et duraient moins de 15 minutes pour 87,5% d'entre elles. Le champ de compétence le plus souvent sollicité était les maladies infectieuses. Le principal motif de recours était le renouvellement d'ordonnance (12% des consultations). Un médicament a été prescrit au cours de 67% des séances, un examen complémentaire au cours de 28,5% d'entre elles, un arrêt de travail à l'issu de 26% d'entre elles. Cinq pourcent des téléconsultations ont été orientées vers une structure de soins. Ce travail met en lumière un certain profil de séance. Il est à interpréter dans le contexte historique au cours duquel il a été réalisé. De futurs travaux pourront vérifier cette tendance et analyser la place de la téléconsultation dans la pratique courante du médecin généraliste.
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Contexte. Le contexte de la pandémie de la COVID-19 a entraîné une croissance spectaculaire des téléconsultations. Objectifs. Explorer le contenu, le déroulement des téléconsultations en médecine générale. Explorer les motivations des patients et recueillir leur satisfaction et leur opinion. Méthodes. Une enquête transversale descriptive a été menée via un questionnaire auto-administré en ligne entre le 22/03/2021 et le 15/05/2021. Diffusion du questionnaire par des médecins volontaires de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Résultats. L'analyse a été faite sur 307 questionnaires. Les répondants étaient en majorité (66.7%) des personnes d'un niveau d'étude supérieur au baccalauréat et 80.1% ont initié une téléconsultation après le premier confinement lié à la pandémie. La satisfaction était très bonne. Les répondants considéraient inchangés la relation médecin-patient (79.2%), la protection des données (81.8%) et l'accès au soin (76.2%). La qualité était jugée moins bonne du fait de l'absence d'examen clinique (55.1%). Les téléconsultations comportaient en moyenne 1.8 motif pour une durée moyenne de 12.6 minutes. Elles étaient réalisées par le médecin habituel (86.6%), comportaient un support vidéo (70.4%), se sont déroulées sans problème technique (91.2%). Une consultation complémentaire a été proposée dans 15.0% des cas. Les répondants ont eu le sentiment d'avoir le choix de la téléconsultation (82.1%). Elle permettrait de prendre en charge le plus souvent un symptôme (41.7%), et le renouvellement d'une ordonnance (25.7%). Les principales motivations ayant conduit à téléconsulter étaient l'argument pratique dans 49.0% des cas, la disponibilité (33.0%) et l'évitement de la salle d'attente (27.0%). Conclusion. La satisfaction était très bonne et la majorité avait l'intention de réitérer la téléconsultation. La téléconsultation était un support intéressant permettant de prendre en charge des actes aussi variés qu'en consultation présentielle. Afin d'optimiser ce service il apparaît nécessaire de continuer d'étudier tous ses aspects. Il serait intéressant de recueillir des données concernant des patients particulièrement insatisfaits.
Author: Laura Assuied Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 0
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A l'ère du COVID 19, la téléconsultation a connu un essor spectaculaire passant du caractère expérimental à une généralisation des pratiques. Pourtant nous manquions de données concernant les circonstances pertinentes d'utilisation en médecine générale. Par ailleurs, la littérature se focalisait sur l'expérience des médecins et peu sur celles des patients. L'objectif de l'étude était d'explorer les situations bio-psycho-sociales adaptées à l'utilisation de la téléconsultation en médecine générale, selon les patients. Puis de confronter ces données avec un travail réalisé en miroir, auprès des médecins généralistes. Méthode : une étude qualitative par entretiens individuels semi-dirigés a été réalisé auprès de patients vivant en Île-de-France, qu'ils aient ou non eu recours à la téléconsultation. Les données ont été analysées selon une méthode inductive générale. Résultats : cette étude a permis d'identifier les prérequis et les situations adaptées à l'utilisation de la téléconsultation. Les patients appelaient à téléconsulter un médecin connu avec lequel ils entretiennent une relation de confiance, pour des situations ne nécessitant pas d'examen physique, dans un environnement approprié. La téléconsultation devait être utilisée de façon ponctuelle, en solution d'appoint, comme une alternative à la consultation présentielle, pilier de la prise en soin. Les patients considéraient leur expérience en santé et leur niveau de littératie en santé comme des déterminants forts du recours à une téléconsultation. Conclusion : la téléconsultation est adaptée lorsqu'elle est le résultat d'une décision partagée entre le patient et son médecin généraliste.
Author: François Lacoin Publisher: VOG VIGOT MALOINE ISBN: 2224102720 Category : Medical Languages : fr Pages : 313
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L’évolution de l’offre de soins sur les territoires (délais pour obtenir un rendez-vous, permanence des soins, etc.) impose d’élaborer de nouveaux cadres pour la prise en soins des patients. La téléconsultation est une des réponses. Ce guide, rédigé par des médecins généralistes fortement impliqués dans leur territoire urbain ou rural et qui ont l’expérience de la téléconsultation et de la régulation médicale au Centre 15, a pour objectif de répondre aux questions que soulève la pratique de la téléconsultation : •Quelles sont les conditions de réalisation optimales d’une téléconsultation ? •Quels patients peuvent bénéficier d’une téléconsultation et pourquel motif ? •Sur quels éléments reposent nos décisions en l’absence d’examenclinique en présence ? •Quels sont les critères de surveillance et quand revoir le patient ? •Comment communiquer avec un patient qui n’est pas physiquement présent ? •Quand refuser une téléconsultation ? Constitué de 50 fiches représentant 50 motifs de consultations courantes, Téléconsultations en médecine générale se veut un outil d’aide à cette pratique pour les médecins.
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Introduction : La télémédecine se développe de plus en plus ces dernières années, favorisée par l'essor du numérique, l'arrivée de générations de médecins et de patients plus connectés. L'arrivée de la COVID-19 a propulsé l'usage des téléconsultations passant de 30000 téléconsultations réalisées en 2018 à 19 millions en 2020. L'objectif de notre étude était de décrire les pratiques de télémédecine, et déterminer les points de non-respect des bonnes pratiques et les facteurs influençant celui-ci Matériel et méthodes : Etude quantitative transversale, interrogeant les médecins généralistes de la région Grand Est entre le 27/04/21 et le 06/06/21. Résultats : 233 réponses. 61,4% des médecins interrogés avaient moins de 50 ans, 77,7% exerçaient en groupe, 36,9% exerçaient en ville, 60% à moins de 15 minutes d'une structure hospitalière, 94% réalisaient moins de 15 téléconsultations par semaine. 12,5% pratiquaient la téléconsultation avant COVID puis 88,7% au début de la crise sanitaire.70% des médecins utilisaient un logiciel agréé de téléconsultation. 18% des médecins utilisaient uniquement la téléphone pour leurs téléconsultations. 13,6% des médecins avaient lu les recommandations HAS sur les bonnes pratiques de la téléconsultation.82,3% des médecins ne souhaitaient pas de formation sur la téléconsultation. Les critères du lieu d'exercice, du temps séparant la structure hospitalière la plus proche, du choix du médecin ou du patient à l'initiative de la téléconsultation, l'explication du remboursement au patient, la pratique actuelle de la téléconsultation, la connaissance de la cotation et du tarif de la téléconsultation, l'information sur la responsabilité encourue sont revenus significatifs ainsi que le nombre de téléconsultations/semaine. Conclusion : A un an de l'apparition de la COVID-19 et de l'essor de la téléconsultation, notre étude retrouve un faible taux des médecins respectant les bonnes pratiques de la téléconsultation. 18% des médecins utilisaient correctement l'outil de téléconsultation et 25,4% avaient de bonnes connaissances de la téléconsultation. 77,9% des participants avaient déjà pratiqué la téléconsultation. Un effet rural a été mis en évidence sur nos analyses bivariées, 26,7 % des urbains utilisaient correctement l'outil de téléconsultation contre 11,8% pour les autres, cet effet se retrouvait pour le critère de connaissance de la téléconsultation avec 35,3% de « bons connaisseurs » chez les urbains contre 18,8% pour les autres. La part des médecins respectant les bons usages tendait à augmenter légèrement pendant que les médecins non respectueux arrêtaient progressivement la pratique de la téléconsultation au cours du temps.
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INTRODUCTION : La crise sanitaire de la Covid-19 a accéléré considérablement la dimension de la télémédecine au Luxembourg. Pour le temps de la pandémie, le Ministère de la Santé a rapidement mis en place la téléconsultation, notamment pour la médecine de premier recours. Suite à cette expérience, il est intéressant de recueillir les opinions et le vécu des médecins généralistes sur cette pratique peu utilisée auparavant. L'objectif principal est d'identifier les apports et les obstacles de la téléconsultation en médecine générale. MÉTHODE : Une enquête qualitative a été menée auprès des médecins généralistes au Luxembourg, avec un total de douze entretiens semi-dirigés. Une analyse de contenu thématique catégorielle a été conduite sur l'intégralité des transcriptions des entretiens. RÉSULTATS : L'analyse de contenu a fait ressortir 137 items différents qui ont été regroupés dans 46 dimensions distinctes, puis celles-ci ont été classées dans 8 thèmes : (A) les expériences des médecins généralistes avec la téléconsultation pendant la pandémie, (B) les expériences face aux plateformes de téléconsultation eSanté et Doctena, (C) les apports de la téléconsultation, (D) les domaines adaptés à la réalisation d'une téléconsultation, (E) les obstacles à la pratique de la téléconsultation, (F) les améliorations proposées par les médecins, (G) les critères de qualité à une bonne pratique de la téléconsultation, (H) la vue des médecins généralistes sur le futur de la téléconsultation au Luxembourg. CONCLUSION : Ce travail a mis en avant les avantages comme les désavantages de la téléconsultation pour la médecine générale au Luxembourg. Des progrès doivent être entrepris au niveau de la technologie, de la législation et de l'information du patient comme du médecin.
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Introduction : La pandémie de Covid-19, ayant débuté en Europe et en France au début de l'année 2020, a favorisé l'essor considérable de la téléconsultation. Plusieurs études menées dans divers pays montrent que cette pratique se généralise, avec une place de choix au sein des nouvelles politiques de santé publique, mais soulève plusieurs problématiques. L'une des principales étant l'absence d'examen clinique. L'objectif de notre étude était de déterminer les motifs les plus propices à l'utilisation de la téléconsultation en médecine générale, du point de vue des médecins et des patients. Cette étude, en miroir médecins-patients, présentait une première partie qualitative qui permettait de dégager les différents motifs de téléconsultation, ainsi qu'une seconde partie quantitative, détaillée dans ce document. Matériel et méthodes : Un questionnaire était adressé par mail, par téléphone, ou par courrier, à l'ensemble des médecins généralistes thésés, installés ou remplaçants, exerçant dans la ville de Marseille ou dans le département du Vaucluse. Les patients étaient inclus soit par le biais d'affiches distribuées aux médecins et affichées en salle d'attente, soit directement sur proposition de leur médecin. Chaque participant notait les 15 motifs de téléconsultation mis en évidence dans la partie qualitative de l'étude selon une échelle de pertinence (allant de 1: motif pas du tout adapté, à 10: motif totalement adapté). Résultats : 131 personnes ont répondu au questionnaire (65 médecins et 66 patients). Les motifs jugés les plus adaptés pour la téléconsultation étaient : prescription et interprétation des examens complémentaires, dossier administratif, contraception et dépistage des IST. Conclusion : Dans cette étude, les motifs semblant les plus propices à la téléconsultation en médecine générale sont ceux ne nécessitant pas obligatoirement un examen clinique, d'autant plus si le médecin généraliste a déjà réalisé antérieurement une consultation en présentiel. Médecins et patients semblent s'accorder sur ces notions.
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Introduction : la téléconsultation est une modalité de consultation intégrée à la pratique des médecins généralistes depuis la pandémie du COVID-19. Sa pratique est quotidienne mais sa fiabilité a peu été étudiée en médecine générale. Méthode Nous avons effectué une étude observationnelle de cohorte prospective sur 2019 et 2020. Après une téléconsultation avec un médecin généraliste d'un centre ipso santé à Paris, sa fiabilité a été évaluée par le médecin via un auto-questionnaire. Les autres données ont été extraites à partir du logiciel de consultation. Résultats : 497 téléconsultations étaient associées à un questionnaire sur un total de 14 102 téléconsultations et 924 questionnaires. La téléconsultation était considérée comme fiable dans 81,2% (752/926) des cas. Sa probabilité d'être fiable était augmentée durant la période de confinement (RR = 1,10 IC95% = [1,03 ; 1,18]), mais sa probabilité de ne pas être fiable était augmentée en cas de motif de consultation urgent (RR = 1,81 IC95% = [1,15 ; 2,86]) ou s'il manquait un élément clinique durant la téléconsultation (RR = 46 ; IC95,yo = [15 ; 145]). Nous n'avons pas mis en évidence d'influence de certains facteurs liée au patient (âge, genre, ALD), au médecin (âge, genre, MSU, mode d'exercice, nombre de téléconsultations, nombre de questionnaires), à la téléconsultation (durée, motif de consultation). Le taux de reconsultation en présentiel était plus faible si la téléconsultation était jugée comme fiable par le médecin, sous 48h (p = 0,003) et sous 7 jours (RR = 0,45 ; 1095% = [0,29 : 0,69] et p
Author: Marion Courtin Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 146
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Introduction Les objets connectés permettent d'analyser les paramètres de santé à distance et de faire de la télémédecine. Sa tarification encourage les médecins généralistes. Les futurs médecins sont habitués au numérique. Objectif Identifier les motivations et les freins des internes de médecine générale à utiliser des objets connectés. Méthodes Enquête qualitative multicentrique par entretiens individuels semi-dirigés menés de Novembre 2017 à Avril 2018, auprès de 15 internes de médecine générale, sélectionnés par échantillonnage en réseau, puis raisonné, jusqu'à saturation des données. Deux investigateurs ont effectué une analyse de contenu thématique. Résultats La définition des objets connectés était globalement méconnue. Aucune formation n'avait été reçue à la faculté. Les internes trouvaient un intérêt dans la télé-expertise et la télésurveillance médicale, mais aucun dans la téléconsultation. L'amélioration de la coordination des soins, l'éducation des patients et de la formation des médecins étaient leurs motivations. Leurs freins étaient le prix de ces outils et la dévalorisation du rôle du médecin généraliste. Les internes étaient nuancés concernant les enjeux de santé publique, juridique et éthique, le rôle du médecin et du patient et la relation. Tous trouvaient nécessaires l'initiation, pendant les stages ambulatoires de l'internat, à ces nouveaux outils. Ils tenaient à conserver une relation présentielle avec leurs patients, pour leur propre santé. Discussion Les professionnels de santé doivent s'approprier ce changement de pratique, pour qu'il soit bénéfique. La formation des internes aux objets connectés et à la télémédecine est indispensable.
Author: Laura Jeanningros Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 0
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La téléconsultation est définie comme une consultation à distance entre un patient et un médecin. Le confinement dû à l'épidémie de coronavirus début 2020 a entrainé l'expansion du nombre de téléconsultations notamment chez les médecins généralistes. Onze familles de situations sont référencées en médecine générale. L'objectif était de décrire la satisfaction des médecins généralistes par rapport à la téléconsultation et en fonction des familles de situations. Une enquête de pratique a été menée à l'aide d'un questionnaire diffusé par l'URPS le 22 juin 2021 et a recueilli 202 réponses. La satisfaction générale est moyenne (5,2/10) avec des différences selon le sexe du médecin ou le logiciel utilisé mais pas selon leur âge ou leur zone d'exercice. Toutes les situations ne semblent pas adaptées à la téléconsultation. Les problèmes de santé aigus non programmés semblaient particulièrement adaptés aux téléconsultations et les problèmes liés au travail ou à la vie familiale étaient jugés les plus satisfaisants à traiter en téléconsultation. La téléconsultation est souvent limitée par la nécessité de l'examen clinique et doit respecter des règles de bonnes pratiques.
Author: Amel Belabbas
Author: Amel Belabbas
Author: Nelly Devillers
Author: Laura Assuied
Author: François Lacoin
Author: Alexandre Carrier
Author: Sandrine Risch
Author: Mélissa Conte
Author: Alexandre Zerah
Author: Marion Courtin
Author: Laura Jeanningros