Le déficit en vitamine D, une réalité méconnue en médecine générale : enquête de prévalence de l’insuffisance et de ka carence en vitamine D dans une population adulte d’un groupe médical du Finistère – Revue de la littérature – Recommandations de bonnes pratiques PDF Download

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Le déficit en vitamine D, une réalité méconnue en médecine générale : enquête de prévalence de l’insuffisance et de ka carence en vitamine D dans une population adulte d’un groupe médical du Finistère – Revue de la littérature – Recommandations de bonnes pratiques

Le déficit en vitamine D, une réalité méconnue en médecine générale : enquête de prévalence de l’insuffisance et de ka carence en vitamine D dans une population adulte d’un groupe médical du Finistère – Revue de la littérature – Recommandations de bonnes pratiques PDF Author: Frédéric Peres
Publisher:
ISBN:
Category :
Languages : fr
Pages : 718

Book Description
Contexte : le déficit en vitamine D est trop souvent non dépisté en médecine générale. Or la littérature montre que sa prévalence est élevée et que les conséquences sur l’état de santé sont parfois graves. Il s’agit donc d’un véritable problème de santé publique. La connaissance d’un dosage fiable, à savoir la concentration sérique en 25-OH-vitamine D, modifie l’approche du dépistage. Quelle est la fréquence des déficits en vitamine D dans un cabinet de médecine générale. Méthode : enquête de prévalence du déficit en vitamine D chez des sujets adultes de plus de 18 ans, consultant dans un groupe médical du Sud Finistère. Pendant 22 mois, tous les patients âgés de plus de 18 ans devant bénéficier d’une analyse de sang pour un motif médical varié ont été inclus. Résultats : 777 dosages de concentrations de 25(OH) D (D2+D3) ont été réalisés. Moyenne d’âge = 66 ans, écart type = 16 ans, médiane = 69 ans. Sex ratio = 2,57/1.29,7% des patients avaient une concentration de 25(OH) vitamine D inférieur à 10 ng/mL, 61% inférieure à 20 ng/mL, 84% inférieur à 30 ng/mL. Revue de la littérature : effets osseux et extra-osseux. Discussion et conclusion : la prévalence de l’insuffisance en vitamine D est importante dans une patientèle de médecine générale, même chez des sujets en bonne santé. Le dépistage biologique de l’hypovitaminos D par le dosage de la 25(OH) vitamine D pourrait donc s’intégrer dans tout bilan systématique. Des études complémentaires devront déterminer l’impact de ces nouvelles connaissances, aussi bien en terme de santé publique qu’en terme de bénéfices individuels. Supplémentation : évolution des recommandations de bonnes pratiques.

Le déficit en vitamine D, une réalité méconnue en médecine générale : enquête de prévalence de l’insuffisance et de ka carence en vitamine D dans une population adulte d’un groupe médical du Finistère – Revue de la littérature – Recommandations de bonnes pratiques

Le déficit en vitamine D, une réalité méconnue en médecine générale : enquête de prévalence de l’insuffisance et de ka carence en vitamine D dans une population adulte d’un groupe médical du Finistère – Revue de la littérature – Recommandations de bonnes pratiques PDF Author: Frédéric Peres
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Languages : fr
Pages : 718

Book Description
Contexte : le déficit en vitamine D est trop souvent non dépisté en médecine générale. Or la littérature montre que sa prévalence est élevée et que les conséquences sur l’état de santé sont parfois graves. Il s’agit donc d’un véritable problème de santé publique. La connaissance d’un dosage fiable, à savoir la concentration sérique en 25-OH-vitamine D, modifie l’approche du dépistage. Quelle est la fréquence des déficits en vitamine D dans un cabinet de médecine générale. Méthode : enquête de prévalence du déficit en vitamine D chez des sujets adultes de plus de 18 ans, consultant dans un groupe médical du Sud Finistère. Pendant 22 mois, tous les patients âgés de plus de 18 ans devant bénéficier d’une analyse de sang pour un motif médical varié ont été inclus. Résultats : 777 dosages de concentrations de 25(OH) D (D2+D3) ont été réalisés. Moyenne d’âge = 66 ans, écart type = 16 ans, médiane = 69 ans. Sex ratio = 2,57/1.29,7% des patients avaient une concentration de 25(OH) vitamine D inférieur à 10 ng/mL, 61% inférieure à 20 ng/mL, 84% inférieur à 30 ng/mL. Revue de la littérature : effets osseux et extra-osseux. Discussion et conclusion : la prévalence de l’insuffisance en vitamine D est importante dans une patientèle de médecine générale, même chez des sujets en bonne santé. Le dépistage biologique de l’hypovitaminos D par le dosage de la 25(OH) vitamine D pourrait donc s’intégrer dans tout bilan systématique. Des études complémentaires devront déterminer l’impact de ces nouvelles connaissances, aussi bien en terme de santé publique qu’en terme de bénéfices individuels. Supplémentation : évolution des recommandations de bonnes pratiques.

Prévalence des déficits en vitamine D chez l’adulte

Prévalence des déficits en vitamine D chez l’adulte PDF Author: Amaury de Palmas
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Languages : fr
Pages : 196

Book Description
Objectif : Notre objectif, à travers cette étude, a été d'évaluer la prévalence des déficits en vitamine D dans une population d'adultes sains en région parisienne (Latitude 48°50 Nord). Nous avons, en parallèle, tenté d'évaluer leurs apports alimentaires journaliers en vitamine D et leur degré d'exposition aux UVB solaires ou non. Méthode : Nous avons réalisé une étude rétrospective quantitative dans deux cabinets de médecine générale, de décembre 2007 à juin 2008, en réalisant des dosages en 25 OH vitamine D chez des patients adultes de 18 à 65 ans, en bonne santé. Nous avons exclu ceux atteints de pathologie, les femmes enceintes et ceux à la peau sombre (phototype V et VI). Les patients retenus ont été soumis à un questionnaire portant sur leur alimentation et sur leurs habitus en matière d'exposition solaire. La prévalence des patients carencés et insuffisamment dosés en vitamine D a été étudiée. Nous avons comparé les dosages de nos patients à leurs comportements alimentaires et à leurs expositions aux UVB (290-315 nm). Résultats : Une population de 48 patients a été étudiée (38 femmes, âge moyen 42.3 ans ; 10 hommes, âge moyen 41.4 ans), sur un total de 55 dosages en 25 OH vitamine D prescrits. 3 dosages n'ont pas été réalisés et 4 questionnaires alimentaires n'ont pas été complétés. 36% des patients sont carencés (n=17) et 64% des patients sont insuffisamment dosés en vitamine D (n=30). 1 patient atteint le dosage souhaitable en vitamine D (75nmol/l). 34% (n=16) des patients sont sous les AJR (dosage moyen en vitamine D = 27.97 nmol/l). Tandis que 66% (n=31) des patients sont au dessus des AJR (dosage moyen = 34.32 nmol/l). 72.4% (n=34) des patients ont une exposition solaire 4h/sem. (dosage moyen en vitamine D = 27.65 nmol/l) et 27.6% (n=13) des patients ont une exposition solaire 4h/sem. (dosage moyen = 43.74 nmol/l). Il existe une différence significative entre ces deux groupes exposés/non exposés (p

Déficit en vitamine D chez les sujets de 65 ans et plus en médecine générale dans la région nîmoise

Déficit en vitamine D chez les sujets de 65 ans et plus en médecine générale dans la région nîmoise PDF Author: Christelle Pont
Publisher:
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Category :
Languages : fr
Pages : 141

Book Description
le Défcicit en vitamine D est très fréquent chez le sujet âgé,particulièrement chez les sujets institutionnalisés ou confinés à domicile.Il est d'origine multifactorielle (âge,exposition solaire,pigmentation cutanée,facteurs nutritionnels).Il est notamment responsable d'ostéoporose avec un risque fracturaire majoré et donc un risque accru de handicap fonctionnel.Objectifs :Déterminer la prévalence du déficit en vitamine D dans une population ambulatoire de sujets âgés d'au moins 65 ans,dans la région nîmoise 'évaluée par dosage plasmatique de la 250H vitamine D),définir les facteurs associés au déficit en vitamine D (recueillis par questionnaire) et évaluier les pratiques des médecins généralistes face à une supplémentation en vitamine D.Méthodes : 142 patients (102 femmes et 40 hommes) âgés en moyenne de 77,4 7,5 ans ont été recrutés par leur médecin généraliste.Dans cette population,22,5 % étaient supplémentés en vitamine D.20,4% présentaient un antécédent de fracture ostéoporotique.Résultats : la prévalence du déficit en vitamine D (250HD

Prévalence de l'insuffisance en vitamine D chez l'adulte sain entre 18 et 65 ans dans le Nord-Pas-de-Calais

Prévalence de l'insuffisance en vitamine D chez l'adulte sain entre 18 et 65 ans dans le Nord-Pas-de-Calais PDF Author: Alexandre Wullens
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Languages : fr
Pages : 0

Book Description
Contexte : Le rôle de la vitamine D dans le métabolisme phosphocalcique est bien connu. Des publications récentes montrent que l'insuffisance en vitamine D pourrait être associée à de nombreuses pathologies. Dans ce contexte, l'insuffisance en vitamine D prend une place de plus en plus importante dans les publications médicales. Pourtant, peu d'études s'intéressent à la population des adultes sains. Cette étude s'intéresse à la prévalence de l'insuffisance en vitamine D chez l'adulte sain entre 18 et 65 ans dans le Nord-Pas-de-Calais. Méthode : Il s'agit d'une étude épidémiologique descriptive, prospective et monocentrique dans le Nord-Pas-de-Calais Les sujets ont été accueillis dans les locaux du Centre de Nutrition Clinique Naturalpha, hôpital Saint Vincent de Paul à Lille. 299 sujets ont été inclus entre le 27 janvier et le 26 février 2015. La prévalence a été étudiée aux seuils de 10, 20 et 30 ng/ml. Résultats : 92,26% des sujets présentaient un taux de vitamine D strictement inférieur à 30 ng/ml. 75,08% présentaient un taux de vitamine D strictement inférieur à 20 ng/ml et 27,95% présentaient un taux de vitamine D strictement inférieur à 10 ng/ml. Au seuil de 20 ng/ml, 4 facteurs de risques ont été identifiés : l'âge (OR ajusté 0,97, p = 0,012), le sexe masculin (OR ajusté 3,84 ; p = 0,0001), les vacances en région ensoleillé (OR ajusté 0,48, p = 0,03) et la prise de compléments vitaminiques sur ordonnance (OR ajusté 0,2, p = 0 ,002). Conclusion : L'insuffisance en vitamine D chez l'adulte sain est fréquente et très souvent sévère. Pourtant elle est peu connue du grand public et des professionnels de santé. A partir des facteurs de risques retrouvés dans cette étude, une stratégie de dépistage et de supplémentation systématique pourrait être mise en place, notamment chez les médecins généralistes. Agir sur la population des adultes sains, c'est se donner la possibilité de limiter la survenue et les complications de nombreuses pathologies tout en assurant un équilibre nutritionnel.

Utilisation de la vitamine D chez l'adulte en médecine générale. Approche qualitative par la méthode des focus groups

Utilisation de la vitamine D chez l'adulte en médecine générale. Approche qualitative par la méthode des focus groups PDF Author: Sidonie Michelet
Publisher:
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Category :
Languages : fr
Pages : 296

Book Description
La @vitamine D a fait ces dernières années l’objet de plus en plus de recherches qui ont conclu à une panoplie d’actions autres que celle bien connue dans le métabolisme osseux. Le déficit en vitamine D, ainsi mis en cause dans de nombreuses pathologies, concernerait un milliard d’individus de par le monde et peut être considéré comme un problème de santé publique. Malgré cette prévalence élevée de l’hypovitaminose D, il n’existe pas en France de recommandations officielles de bonne pratique chez l’adulte dans ce domaine en dehors du cadre d’une ostéoporose avérée. Ce travail, basé sur des groupes de discussion, a été de faire le point avec des médecins généralistes traitants sur leur connaissance de la vitamine D, les stratégies thérapeutiques qu’ils emploient et les difficultés qu’ils rencontrent afin d’en retirer des conséquences pratiques permettant des améliorations. L’analyse de cette étude a montré une méconnaissance des rôles de la vitamine D autres qu’au niveau osseux. Les indications du dosage sanguin et les schémas de supplémentation tout comme le risque de surdosage et ses effets restent flous pour la plupart des médecins qui souhaitent voir publier des référentiels et bénéficier de séances de formation continue sur ce thème. Enfin, le caractère secondaire accordé à la vitamine D peut être à l’origine d’un désintérêt du médecin et participer à l’inobservance du traitement par le patient

Pertinence du dosage de la vitamine D en médecine générale

Pertinence du dosage de la vitamine D en médecine générale PDF Author: Jonathan Levy
Publisher:
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Category :
Languages : fr
Pages : 126

Book Description
CONTEXTE L’insuffisance en vitamine D a été maintes fois documentée. Sa prévalence concerne environ 80% de la population générale et ses conséquences sont notables. On note, cependant, une augmentation permanente des prescriptions de son dosage plasmatique malgré une étude récente de la HAS qui suggère le faible intérêt coût/efficacité de cette pratique. Nous proposons ici d’évaluer l’intérêt d’une supplémentation systématique en vitamine D sans tenir compte du niveau d’insuffisance préalable. METHODE Réalisation d’une étude pilote ambulatoire, prospective, monocentrique, effectuée entre décembre 2012 et juillet 2013, dans un cabinet de médecine générale, en Seine-Saint Denis. Notre avons inclus 110 patients. Au cours d’une consultation de médecine générale, nous leur avons proposé un dosage plasmatique pré-thérapeutique systématique de la vitamine D. Nous les avons randomisés en 2 groupes. Un 1er (groupe A) recevant un protocole de supplémentation adapté aux résultats du dosage et respectant les recommandations du GRIO. Un second (groupe B) recevant une dose fixe de 100000 UI/mois (une prise/mois durant 4 mois) sans tenir compte du résultat du dosage initial. Nous avons réalisé à l’issue de chaque protocole et pour tous les patients un second dosage de la vitamine D. Nous avons ensuite comparé les 2 groupes. RESULTATS Les 110 participants ont été répartis en 2 groupes de 56 et 54 patients (groupe A et groupe B). 74 patients ont effectué au moins le 1er prélèvement sanguin (39 vs 35). Seuls 45 patients ont poursuivi le protocole jusqu’à son terme (24 vs 21) dont 23 femmes (12 vs 11). Le taux d’insuffisance moyen de 86%, tous groupes confondus, lors du dosage initial (dont 9% de carence) est comparable aux études antérieurs. Une différence significative, quant à la prévalence, est toutefois observée entre les 2 groupes : 77% pour le groupe A vs 97% pour le groupe B. Au terme de l’étude, cette différence disparaît : 25% pour le groupe A vs 24% pour le groupe B. L’étude ne révèle pas de différence significative entre les 2 groupes après supplémentation. Par ailleurs, dans notre essai, un IMC faible (

Enquête sur l'attitude et la prise en charge de l'hypovitaminose D chez le sujet de plus de 75 ans par des médecins généralistes libéraux suivant une formation médicale continue en île de France

Enquête sur l'attitude et la prise en charge de l'hypovitaminose D chez le sujet de plus de 75 ans par des médecins généralistes libéraux suivant une formation médicale continue en île de France PDF Author: Claire Tarnaud
Publisher:
ISBN:
Category :
Languages : fr
Pages : 150

Book Description
Ces dernières années, de nombreuses études ont mis en évidence l’existence d’une carence importante en vitamine D au sein de la population âgée. Le déficit en vitamine D a des effets délétères désormais reconnus et admis par les commissions d’experts. Il nécessite un traitement substitutif dont la posologie est actuellement revue à la hausse. Nous avons donc voulu comprendre pourquoi malgré toutes les nouvelles recommandations concernant la prise en charge du déficit en vitamine D chez le sujet âgé, il persistait encore une telle hypovitaminose D. Dans ce but nous avons interrogés 93 médecins généralistes libéraux suivant tous une formation médicale continue en Ile de France. Par le biais d’un questionnaire remis en mains propres, nous nous sommes intéressés à leurs modalités de prise en charge du déficit vitaminique D chez le sujet âgé. Chaque questionnaire contenait 13 questions fermées à réponses multiples. Cette étude à été réalisée entre septembre 2010 et mai 2011. Nos résultats ont montré que 79,5% des médecins interrogés sont conscients de la réalité de cette hypovitaminose D qui touche la personne âgée, et ils y portent majoritairement un réel intérêt. En ce qui concerne la prise en charge de ce déficit, 52,6% des médecins ne supplémentent qu’en cas d’un déficit plasmatique en vitamine D inferieur à 20 ng /ml et que 55,9% donnent une supplementation vitaminique inférieure ou égale à 800 UI /j au long cours. Uniquement 24,7% des médecins supplémentent systématiquement le sujet de plus de 75 ans. Nous avons établis un lien statistiquement significatif entre les années d’exercice de la médecine et l’application des dernières recommandations médicales : 50% des médecins exerçant la médecine depuis moins de 20 ans débutent une supplémentation pour un dosage plasmatique en vitamine D inférieur ou égale à 25 ng/ml et 50% d’entre eux administrent une posologie supérieure ou égale à 1000 UI /j de vitamine D pour un traitement d’entretien. Chez les médecins exerçant depuis plus de 20 ans les pourcentages sont respectivement de 28% et de 25,7%. Il a également été mis en évidence une participation significativement plus importante de la jeune génération de médecins aux formations médicales. Notre enquête a montré que la prise en charge de l’hypovitaminose D en médecine courante n’est pas optimale. Cette enquête apporte un élément de réflexion quant au bon déroulement et à l’acquisition des connaissances au cours des formations médicales continues.

Le déficit en vitamine D chez les 18-65 ans consultant en médecine générale en Île-de-France

Le déficit en vitamine D chez les 18-65 ans consultant en médecine générale en Île-de-France PDF Author: Sarah Enser
Publisher:
ISBN:
Category :
Languages : fr
Pages : 292

Book Description
L’hypovitaminose D, connue au siècle dernier en raison du rachitisme qu’elle pouvait engendrer, est toujours d’actualité. Elle provoque à long terme une déminéralisation osseuse, parfois responsable d’ostéoporose et de fractures. Elle pourrait également favoriser l’apparition de cancers, augmenter le risque d’infections, de maladies inflammatoires, et de maladies cardiovasculaires. L’objectif principal de notre étude était de montrer que le déficit en vitamine D concerne une large partie de la population adulte, âgée de 18 à 65 ans, consultant en médecine générale. Le second objectif était d’identifier certains facteurs de risque d’hypovitaminose D. Nous avons réalisé une étude rétrospective au sein de plusieurs cabinets de médecins généralistes maîtres de stage à la faculté Paris Diderot, en enquêtant auprès d’eux puis en leur demandant les résultats de leurs cinq derniers dosages de vitamine D ; 326 patients ont été inclus. Nos résultats montrent que le nombre de patients atteints d'une hypovitaminose D est considérable : 96 % sont carencés, et 48,8 % présentent un déficit sévère. Nous avons trouvé un lien significatif entre l’hypovitaminose D et le port de vêtements couvrants ; ainsi qu’avec le phototype foncé, la saison hivernale et l’IMC élevé. Mais aucun lien n’a pu être établi pour le sexe, l’âge, et le motif de prescription. Si la supplémentation des enfants et des sujets âgés fait aujourd'hui consensus, la conduite à tenir chez l'adulte reste à préciser. Étant donné les dépenses de santé non négligeables engendrées par l’hypovitaminose D, nous proposons soit de supplémenter systématiquement sans dosage préalable tous les patients, soit de supplémenter uniquement les patients ayant un facteur de risque d’hypovitaminose D et de dépister les autres patients. Ces stratégies devront être évaluées par de nouvelles études médico-économiques.

Intérêt d'un dépistage systématique d'une carence en vitamine D en médecine générale dans la population picarde

Intérêt d'un dépistage systématique d'une carence en vitamine D en médecine générale dans la population picarde PDF Author: Johann Villain
Publisher:
ISBN:
Category :
Languages : fr
Pages : 102

Book Description
Introduction : Malgré le déficit probable en vitamine D dans nos régions, peu d’études ont été réalisées sur l’importance de son déficit et son impact. Le but de cette étude était d’estimer la prévalence de la carence en vitamine D en Picardie et son lien avec des pathologies saisonnières. Matériels et méthodes : 103 patients de médecine générale ont été inclus dans une étude épidémiologique descriptive, prospective de Janvier à Avril 2011. Etaient inclus tous les patients nécessitant un dosage biologique. Etaient exclus les patients aux antécédents de chirurgie bariatrique, bénéficiant d’une corticothérapie au long cours, d’un traitement amincissant ou anticonvulsivant. Résultats : 96% de la population présentait un déficit en vitamine D. La concentration moyenne était de 15,3 ± 6,7 μg/L. 100% des patients de moins de 40 ans présentait une déficience, pour les 40-60 ans 93% et pour les plus de 60 ans 98%. Parmi les patients déficitaires, 23% présentait une carence, 75% avait une insuffisance et 4% un taux normal. 22 % des patients déficitaires de plus de 60 ans avait comme antécédent une fracture du col fémoral. Parmi les patients consultant pour une plainte somatique : 14 avaient une asthénie, 12 un syndrome viral, 7 une arthralgie, 5 une pathologie cardio-vasculaire et 3 des troubles psychologiques. Discussion : Ces résultats concordent avec de nombreuses études mais peu étaient régionales. Il serait opportun d’organiser une prévention par la supplémentation systématique sans réalisation d’un dosage préalable. Conclusion : Cette thèse pourrait encourager la réalisation d’autres études afin de mieux cibler les dosages de vitamine D, de traiter efficacement les patients carencés et d’envisager la prévention de certaines pathologies.

Prévalence de la carence en vitamine D dans la population de la région de Meaux

Prévalence de la carence en vitamine D dans la population de la région de Meaux PDF Author: Anna Mielczarska-Semblat
Publisher:
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Category :
Languages : fr
Pages : 114

Book Description
Le déficit en vitamine D est fréquent mais souvent sous-estimé et sous-traité. La vitamine D joue un rôle substantiel dans le métabolisme osseux, protège de l'ostéomalacie et participe à la prévention des fractures dans l'ostéoporose. Cette étude prospective évalue la prévalence de la carence en vitamine D dans la population de la région de Meaux. Elle a été menée dans le Centre Hospitalier de Meaux et concerne 95 patients admis du 27 janvier au 26 février 2009. Chaque patient a bénéficié d'un bilan sanguin: vitamine D, PTH, calcium et phosphore. Le recueil des données cliniques comprenait : âge, sexe, motif d'hospitalisation, mode d'habitation et traitements. Chez 90 personnes (95 %) la concentration de 25(OH)D était inférieure à 30 ng/ml, soit chez tous les hommes, et chez 92 % des femmes. Chez 29 personnes (31 %) la concentration de 25(OH)D était au-dessous du seuil de détection soit inférieure à 7,0 ng/ml et ceci indépendamment du sexe et de l'âge. Parmi les 5 femmes non carencées, 3 recevaient une supplémentation en cholécalciférol. Par ailleurs, la supplémentation était souvent insuffisante : sur les 18 patients traités, 15 (83 %) restaient tout de même carencés. Il faut aussi souligner que des sous-groupes très variés étaient concernés par le déficit et pas uniquement des individus considérés « à risque ». Cette étude confirme la très forte prévalence du déficit en vitamine D dans la population étudiée et suggère la nécessité de réévaluer les pratiques de prévention et de traitement du déficit en vitamine D, en particulier en médecine générale.