La vaccination antigrippale chez les internes de médecine générale PDF Download
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Contexte. La vaccination antigrippale est recommandée chez les professionnels de santé. L'objectif d'une couverture vaccinale d'au moins 75% n'est pourtant pas atteint. Cette étude s'intéressait aux freins à la vaccination antigrippale chez les internes en médecine générale de la faculté de médecine de Lille. L'objectif était d'améliorer la couverture vaccinale dans cette population. Méthode. Etude épidémiologique, descriptive, quantitative réalisée par auto questionnaire de 16 questions fermées élaboré sur Limesurvey®. La diffusion a été effectuée par mail en octobre 2015. Résultats. 348 questionnaires ont été complétés, soit un taux de réponse de 59.2%. En 2014, 48.56% des internes étaient vaccinés. 64.3% d'entre eux envisageaient de se vacciner en 2015. 30.46% des internes ne s'étaient jamais vaccinés. Les motivations à la vaccination étaient : la protection du patient (72%), la protection personnelle (64%), la protection de l'entourage (47.7%). Les freins identifiés étaient : manque de temps (76.5%), oubli (60.6%) et accès au vaccin difficile par l'intermédiaire de la médecine du travail. En 2014-2015, il existait un lien significatif entre passage d'un vaccinateur mobile et vaccination antigrippale : 21.3% des vaccinés contre 4.5% des non vaccinés (p
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Contexte. La vaccination antigrippale est recommandée chez les professionnels de santé. L'objectif d'une couverture vaccinale d'au moins 75% n'est pourtant pas atteint. Cette étude s'intéressait aux freins à la vaccination antigrippale chez les internes en médecine générale de la faculté de médecine de Lille. L'objectif était d'améliorer la couverture vaccinale dans cette population. Méthode. Etude épidémiologique, descriptive, quantitative réalisée par auto questionnaire de 16 questions fermées élaboré sur Limesurvey®. La diffusion a été effectuée par mail en octobre 2015. Résultats. 348 questionnaires ont été complétés, soit un taux de réponse de 59.2%. En 2014, 48.56% des internes étaient vaccinés. 64.3% d'entre eux envisageaient de se vacciner en 2015. 30.46% des internes ne s'étaient jamais vaccinés. Les motivations à la vaccination étaient : la protection du patient (72%), la protection personnelle (64%), la protection de l'entourage (47.7%). Les freins identifiés étaient : manque de temps (76.5%), oubli (60.6%) et accès au vaccin difficile par l'intermédiaire de la médecine du travail. En 2014-2015, il existait un lien significatif entre passage d'un vaccinateur mobile et vaccination antigrippale : 21.3% des vaccinés contre 4.5% des non vaccinés (p
Author: Louis Rachou Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 0
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D'après une étude de 2013, un interne sur deux en médecine générale à Angers n'a jamais été vacciné contre la grippe lors de son internat malgré des recommandations validées. L'objectif principal de ce travail est d'explorer les raisons pour lesquelles les internes se vaccinent ou non contre la grippe. Sujets et Méthodes : c'est une étude qualitative réalisée par focus groupe à l'automne 2017 à la faculté de médecine d'Angers avec 3 groupes d'Internes en stage SASPAS. Le guide d'entretien n'a pas été modifié entre les 3 groupes. L'analyse des données a été triangulée. Résultats : l'accès au vaccin était inégal entre les internes selon leur lieu de stage. L'accessibilité est meilleure à l'hôpital qu'en ville par le biais de la médecine du travail qui réalise des campagnes de vaccination, favorisant l'observance. Les internes sont pourtant globalement favorables à la vaccination et à être vaccinés. Certains s'organisent seuls, d'autres sont pris en charge par leurs maîtres de stage. Les internes reconnaissent une certaine efficacité vaccinale se traduisant par une protection totale ou une diminution des symptômes, les incitant à se vacciner. Ceux qui sont réticents au vaccin se voient encore comme patient avant d'être professionnel de santé. A noter que les connaissances sur le vaccin sont erronées, entrainant des craintes chez les internes, se répercutant sur leurs patients. Les internes se protègent aussi bien pour eux-mêmes que pour leurs familles ou leurs patients, pour assurer la permanence des soins et un revenu financier stable. Conclusion : les internes de médecine générale souhaitent se vacciner contre la grippe et adhérer aux recommandations des autorités de santé ainsi qu'aux propositions de leur employeur. Cependant, le taux de couverture vaccinale reste bas, ne dépassant pas 50%. La modification de l'accès au vaccin est nécessaire avec la mise en place d'un recours simplifié et lisible pour les cas hospitalier et ambulatoire. Il permettrait d'éviter le sentiment d'abandon des internes par les autorités de santé quant à leur protection vaccinale. La formation médicale initiale accordée à la vaccination antigrippale reste un enseignement à développer en le centrant sur l'appropriation des arguments de santé publique nécessaires pour convaincre les patients, mais également les internes, à se faire vacciner.
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La vaccination antigrippale est un moyen sûr et efficace de prévention de la grippe et de ses complications. Cette efficacité est moindre chez les personnes âgées et immunodéprimées. Les internes sont plus à risque de contracter la grippe que les adultes de la population générale. Ils peuvent transmettre la grippe à leurs patients. La vaccination des soignants et donc des internes est recommandée en France comme dans de très nombreux pays. Cependant les taux de vaccination des soignants hospitaliers sont faibles. Très peu d'études se sont intéressées aux internes. Nous avons étudié les déterminants, les motivations et les freins à la vaccination des internes en médecine générale de Haute-Normandie. Le taux de participation à notre enquête était de 79,3 %, et l'échantillon était représentatif de l'ensemble des internes de médecine générale de Haute-Normandie. Le taux de vaccination était de 60,8 %. Les internes se faisaient plus vacciner que les autres professionnels de santé hospitaliers, mais moins que les médecins généralistes. Les internes en stage ambulatoire étaient moins bien vaccinés que ceux en stage hospitaliers (p
Author: Sara Mahmoud Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 61
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· Introduction : La vaccination antigrippale annuelle est recommandée pour tous les professionnels de santé ainsi que les étudiants en médecine. La couverture vaccinale de ce vaccin reste cependant insuffisante. Ce travail a pour objectif d'étudier les déterminants de la vaccination antigrippale des internes de médecine générale. Méthode : Une étude transversale par auto-questionnaires électroniques comprenant 34 items a été réalisée auprès de l'ensemble des internes de médecine générale du DMG de l'université Paris Sud en juin 2016. Une analyse descriptive ainsi qu'une analyse multivariée ont été réalisées afin d'identifier les déterminants de la vaccination anti grippale des internes. Résultats: 106 internes ont participé. 61,3% [51,9-70,7] des internes ont déclaré avoir été vaccinés contre la grippe cette année, par la médecine du travail (38,4%), un-e co interne (26,1%) ou leur MSU (18,4%). La motivation principale était de se protéger soi même (50,7%), suivie de protéger les patients (40,0%). 74,5% des internes estimaient que le vaccin antigrippal était efficace pour se protéger soi-même contre la grippe et 88,7% pour limiter la transmission de la grippe aux patients. 30,4% des internes estimaient que l'organisation de la vaccination antigrippale n'était pas adaptée à leurs contraintes de travail et 38,6% n'avaient pas échangé sur la vaccination antigrippale avec leur responsable de stage. En analyse multivariée, les deux facteurs significativement associés à la vaccination antigrippale sont le fait d'avoir, sur le lieu de stage, une organisation adaptée de la vaccination OR=5,4 [1,3-21,9]; p=0,018 et d'avoir échangé avec son responsable de stage sur ce sujet OR= 3,59 [1,08-11,9]; p= 0,036. Conclusion : Bien que les internes de médecine générale ne semblent pas réticents à la vaccination antigrippale, on observe une faible couverture vaccinale, qui pourrait alors être en lien avec des facteurs d'ordre organisationnels. La mise en en évidence de ce frein représente un levier à expérimenter pour tenter d'augmenter la couverture vaccinale de ces étudiants.
Author: Antoine Le Louarn Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 120
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La vaccination antigrippale est un moyen efficace de prévention de la grippe et de ses complications. Les internes comme les autres professionnels de santé sont en première ligne, ils risquent de la contracter et de la transmettre aux patients. Cette vaccination est recommandée à tous les professionnels de santé, donc aux internes. L'objectif de l'OMS est une couverture vaccinale d'au moins 75% dans les populations cibles. Cette étude s'intéresse à la couverture vaccinale des internes de médecine générale de Basse-Normandie lors de l'hiver 2018-2019. L'objectif étant d'améliorer la couverture vaccinale de cette population. Par une étude épidémiologique descriptive, prospective et quantitative menée entre octobre et décembre 2018, nous avons étudié cette couverture vaccinale et avons regardé l'incidence des connaissances. 141 questionnaires ont été complétés, soit un taux de réponse de 53,4%. 87 % des interrogés s'étaient fait vacciner lors des trois dernières années. Parmi eux, 58 % n'ont pas été incités à se faire vacciner, 29 % l'ont été par le service dans lequel ils travaillent, 15 % par l'entourage et 11 % par la médecine du travail. 88 % des IMG avaient l'intention de se vacciner et les motivations à cette vaccination étaient : protéger les patients (93 %), se protéger (73 %) et protéger l'entourage (63 %). Les principaux freins identifiés étaient : l'oubli, le manque de temps (50 %). 58% jugeaient leurs connaissances peu satisfaisantes. Les IMG de Caen se vaccinent correctement contre la grippe. Une information plus importante sur les différents lieux de stage ainsi qu'un rappel sur les indications et l'utilité de la vaccination antigrippale seraient nécessaires.
Author: Antoine Le Louarn Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 0
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La vaccination antigrippale est un moyen efficace de prévention de la grippe et de ses complications. Les internes comme les autres professionnels de santé sont en première ligne, ils risquent de la contracter et de la transmettre aux patients. Cette vaccination est recommandée à tous les professionnels de santé, donc aux internes. L'objectif de l'OMS est une couverture vaccinale d'au moins 75% dans les populations cibles. Cette étude s'intéresse à la couverture vaccinale des internes de médecine générale de Basse-Normandie lors de l'hiver 2018-2019. L'objectif étant d'améliorer la couverture vaccinale de cette population. Par une étude épidémiologique descriptive, prospective et quantitative menée entre octobre et décembre 2018, nous avons étudié cette couverture vaccinale et avons regardé l'incidence des connaissances. 141 questionnaires ont été complétés, soit un taux de réponse de 53,4%. 87 % des interrogés s'étaient fait vacciner lors des trois dernières années. Parmi eux, 58 % n'ont pas été incités à se faire vacciner, 29 % l'ont été par le service dans lequel ils travaillent, 15 % par l'entourage et 11 % par la médecine du travail. 88 % des IMG avaient l'intention de se vacciner et les motivations à cette vaccination étaient : protéger les patients (93 %), se protéger (73 %) et protéger l'entourage (63 %). Les principaux freins identifiés étaient : l'oubli, le manque de temps (50 %). 58% jugeaient leurs connaissances peu satisfaisantes. Les IMG de Caen se vaccinent correctement contre la grippe. Une information plus importante sur les différents lieux de stage ainsi qu'un rappel sur les indications et l'utilité de la vaccination antigrippale seraient nécessaires.
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Introduction : La grippe est une maladie courante, évoluant par épidémie. De nos jours le moyen de prévention le plus efficace est la vaccination antigrippale (VAG). Elle est recommandée en France dans certains groupes de population à risque et dans certaines professions, comme les professionnels de santé. Dans ces groupes, l'objectif de 75% de couverture vaccinale (CV) fixé par l'OMS est rarement atteint. Notre enquête réalise un état des lieux de la VAG déclarée des internes de médecine générale (IMG) et des étudiants en maïeutique (EM) de l'université de Nancy et évalue leurs perceptions et attitudes concernant leur propre VAG. Méthode : Une enquête transversale à visée descriptive et analytique évaluant les perceptions et les attitudes des IMG et des EM concernant leur propre VAG a été réalisée du 27 septembre au 2 novembre 2017 par auto-questionnaire anonyme, à l'aide du logiciel Survey Monkey. Résultats : 269 des IMG et 47 des EM ont répondu au questionnaire, soit respectivement un taux de réponse de 45,2% et 97,9%. Au cours des hivers 2015, 2016 et 2017, la CV antigrippale déclarée était respectivement de 37,9%, 49,4% et 56,5% chez les IMG et de 17%, 12,8% et 14,9% chez les EM. Les raisons incitant à la vaccination étaient les mêmes chez les IMG et les EM. Il s'agissait principalement de la protection des patients (influence forte pour 73,7% des IMG et 67,4% des EM), de la protection de l'entourage (influence forte pour 60,9% des IMG et 47,8% des EM) et de la protection personnelle (influence forte pour 46,6% des IMG et 39,1% des EM). Les principales raisons de non vaccination dans les deux populations étaient l'oubli (influence forte pour 30,5% des IMG et 37,8% des EM) et le manque de temps (influence forte pour 24,8% des IMG et 37,8% des EM). Les campagnes de vaccination ou une convocation par la médecine du travail apparaissaient comme les mesures les plus efficaces d'incitation à la VAG. Les étudiants nancéiens en santé se sentent concernés par la VAG à 91,8% pour les IMG et 83% pour les EM. Conclusion : Les taux de CV antigrippale des étudiants restent bien en deçà des objectifs de l'OMS. D'après les étudiants, des campagnes de vaccination, une accessibilité facilitée et des mesures proactives par la médecine du travail amélioreraient leur CV. L'obligation vaccinale serait-elle envisageable et acceptée ?
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Introduction : la grippe est responsable d'épidémies saisonnières touchant entre 2 et 6 millions de personnes par an en France. La vaccination antigrippale, part essentielle dans la prévention de cette maladie, concerne les professionnels de santé avec un objectif de couverture de 75%. L'objectif principal était d'estimer le taux de couverture vaccinale antigrippale parmi les internes de médecine générale de l'université Médecine Sorbonne lors de la campagne vaccinale 2017-2018. Méthode : étude quantitative épidémiologique descriptive transversale, par auto-questionnaires anonymes de 14 questions fermées. Recueil des questionnaires en main propre entre janvier et avril 2018. Analyse statistique avec les logiciels Stata 13.1 et Excel. Résultats : 149 IMG ont répondu au questionnaire (33 % des IMG). La couverture vaccinale était de 69,8 %. 59,7 % des étudiants avaient reçu une proposition de vaccination antigrippale. Les principaux modes de recours à la vaccination antigrippale étaient : un confrère (16,8 %), la médecine du travail (16,1 %), soi-même (10,7 %), une équipe mobile de vaccination (9,4 %). 58,4 % des IMG étaient favorables à l'obligation vaccinale. Un lien significatif a été retrouvé entre la vaccination antigrippale et l'âge (p
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Introduction : la grippe est un problème majeur de santé publique, la vaccination son meilleur moyen de prévention. La couverture vaccinale (CV) des populations visées par les recommandations est toujours inférieure à l'objectif de 75 % fixé par l'OMS. Professionnels de santé et futurs promoteurs de la vaccination, les internes de Médecine Générale (IMG) sont doublement concernés. Notre étude réalise un état des lieux des connaissances des IMG d'Ile-de-France (MF) sur la grippe et son vaccin. Matériel et Méthodes : une étude descriptive, quantitative a été réalisée du 3 au 7/10/16 auprès des IMG d'IdF par auto-questionnaire. Résultats : 253 ont répondu, soit 14 %. Leurs connaissances théoriques sont insuffisantes avec une moyenne de 6,4 réponses justes sur 16 questions. Le niveau de connaissance n'est pas différent en fonction du semestre d'étude ou des habitudes vaccinales. Seulement 15 % connaissent plus de 3 recommandations sur 8 pour la vaccination antigrippale et 42 % connaissent plus de 2 recommandations sur 7 pour la prescription d'antiviraux. Seulement 26 % des internes se font toujours vacciner, les principales motivations d'une part étant la protection des patients (77 %), et leur protection personnelle (67 %). Et les principaux freins d'autre part étant le manque de temps (47 %), d'opportunités (35 %) et penser ne pas en avoir besoin (24 %).11 % ont des croyances erronées sur le vaccin. 94 % sont pour l'ajout de formations. Conclusion : les connaissances sur la grippe et la CV des IMG d'IdF sont insuffisantes. Il apparaît nécessaire de renforcer leur formation et de développer leurs aptitudes à la communication sur la vaccination.
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Contexte : les nudges ont été proposés comme un outil efficace pour promouvoir la vaccination des professionnels de santé. Pour être efficaces, ils doivent correspondre aux besoins de la population cible et être acceptables. Objectif : évaluer l'efficacité et l'acceptabilité d'un nudge dans la promotion de la vaccination antigrippale des internes en médecine. Méthode : les hypothèses sont qu'un nudge «opt-out » serait efficace, mieux accepté lorsqu'appliqué à des patients qu'à des pairs et que l'exposition préalable au nudge et le fait d'être vacciné augmenteraient son acceptabilité et le sentiment d'autonomie des internes. Les internes ont été répartis dans deux groupes expérimentaux : « nudge » et contrôle. Le nudge consistait à proposer aux internes un rendez-vous pour un vaccin antigrippal, en laissant le choix de le refuser ou de le reporter. Résultats : l'analyse a porté sur 260 internes. La couverture vaccinale des internes du groupe nudge était plus élevée que dans le groupe contrôle. Les internes trouvaient très acceptable d'utiliser ce nudge pour inciter leurs pairs et les patients à se faire vacciner. L'acceptabilité était meilleure chez les internes exposés au nudge et chez les vaccinés. Les internes estimaient que le nudge ne réduisait pas leur contrôle sur le choix de se faire ou non vacciner. Conclusion : un nudge «opt-out » pour promouvoir la vaccination antigrippale des internes est efficace et très bien accepté. Cela suggère que cette approche pourrait compléter d'autres interventions de promotion vaccinale et être étendue à d'autres catégories de professionnels de santé et à la population générale, mais il faut tenir compte des implications éthiques de cette méthode.
Author: Justine Ruta
Author: Justine Ruta
Author: Louis Rachou
Author: Cécile Perrot
Author: Sara Mahmoud
Author: Antoine Le Louarn
Author: Antoine Le Louarn
Author: Clémence Cordonnier
Author: Alexis Vaspard (François, Claude, Gilles)
Author: Bernadette Verrat
Author: Ilaria Serati