Influence des aides incitatives sur l’installation de médecins généralistes en zones sous-dotées PDF Download

Author: Benjamin Brabant
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Introduction : La France dispose d’un effectif de médecins généralistes élevé mais il existe des inégalités de répartition sur le territoire. Il en résulte de réelles difficultés d’accès aux soins primaires pour de nombreux français. Les secteurs mal desservis définissent les zones sous-dotées (zones déficitaires et zones de revitalisation rurale). Pour réguler la répartition des professionnels de santé, les pouvoirs publics ont développé des mesures incitatives, essentiellement sous la forme d’aides financières directes (prime à l’activité) ou indirectes (exonérations fiscales et aides diverses des collectivités territoriales). But de l'étude : Evaluer la part des incitations financières dans le choix d’installation de médecins généralistes en zones sous-dotées, leur mise en œuvre et leurs répercussions sur l’activité professionnelle. Méthode : Enquête qualitative à partir d’entretiens téléphoniques semi-dirigés, incluant 19 médecins généralistes installés entre 2006 et 2013 en zone sous-dotée. L’analyse des données issues des transcriptions est basée sur la théorie ancrée. Résultats : Les aides incitatives sont recommandées comme mesures favorisant l’installation dans les zones sous-dotées par la majorité des médecins interrogés. Elles constituent un des principaux motifs d’installation. Elles permettent une amélioration des conditions d’exercice professionnel. Il existe un défaut d’information sur ces aides et des obstacles à leur obtention. Conclusions : Les aides incitatives permettent l’installation de médecins généralistes en zones sous-dotées. Elles jouent un rôle d’incitation à l’installation et parfois de maintien d’activité dans ces zones. Cependant, il existe un effet d’aubaine difficilement contrôlable. Bien qu’insuffisantes pour corriger les inégalités de répartition des ressources soignantes, toujours criantes depuis leur création, elles représentent une réelle opportunité pour exercer en soins primaires en contribuant à atténuer les disparités et en améliorant les conditions d’exercice professionnel des bénéficiaires. Enfin, le manque d’efficience des aides ressortant de l’étude et résultant surtout d’un défaut d’information, est un frein à leur efficacité qu’il convient de corriger.

Author: Claire Laforêt
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Pages : 264

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Contexte : Le Limousin est concerné par le phénomène préoccupant de désertification médicale. Les zones rurales moins bien dotées contrastent avec les zones urbaines plus attractives. Pour lutter contre ces inégalités d'accès à la santé, l'État propose des mesures incitatives à l'installation. Méthode : Il s'agit d'une étude observationnelle épidémiologique descriptive déclarative menée auprès des médecins généralistes installés dans des zones sous-dotées et des médecins remplaçants en Limousin entre le 02 mars et le 02 août 2017 à l'aide d'un questionnaire. L'objectif principal est d'évaluer l'impact qu'ont les mesures incitatives sur le choix du lieu d'installation. L'objectif secondaire est d'apporter des solutions pouvant rendre les zones sous-denses plus attractives. Résultats : 35 médecins remplaçants et 53 médecins installés ont participé. 65,9 % d'entre eux connaissent mal ces aides. Ils sont 53,4 % à penser que la création des MSP influence positivement l'installation, 47,7 % à approuver le développement de la télémédecine, 73,9 % à être favorable à l'augmentation du numerus clausus, 21,6 % à penser que la forfaitisation de certains actes est attractive et 13,6 % à estimer que les aides financières sont suffisantes pour susciter une installation. La présence des services de proximité, qu'ils soient médicaux ou publics, ainsi qu'une organisation de la permanence des soins optimale sont capitales pour la majorité des répondants. Conclusion : Le développement des MSP et de la télémédecine est à encourager. Des stages d'immersion et différentes formations doivent être proposées afin de potentialiser leur attractivité. Le maintien des services de proximité est primordial.

Author: Ambre Hebert
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Contexte et objectif : la désertification médicale et son impact sur l'accès aux soins de la population, notamment dans nos zones rurales, est un enjeu majeur de notre politique de santé publique. Depuis les années 2000, les politiques locales, régionales et nationales ont proposés des mesures incitatives financières et structurelles afin de pallier le manque de médecins dans nos territoires sous dotés. Notre objectif principal était de déterminer la proportion d'installation et collaboration, entre 2014 et 2018, ayant bénéficié de mesures incitatives dans le département des Landes. Les objectifs secondaires étaient d'une part de déterminer le niveau de connaissance et d'influence des aides dans le choix d'installation et d'autre part de préciser les facteurs déterminants et les modalités à l'installation. Méthodes : il s'agissait d'une étude descriptive transversale auprès de 63 médecins. Les participants avaient répondu à un questionnaire, en ligne ou en version papier. Les questions portaient sur les informations personnelles de formation, sur les modalités d'installation et enfin sur les aides existantes. Résultats : le taux de réponse était de 86% (n=54). On distinguait deux groupes. Celui des non-bénéficiaires qui concernait des médecins installés en territoire attractif du secteur Sud des landes. On constatait pour leur part, une grande méconnaissance et indifférence vis à vis des mesures incitatives existantes. Le second groupe, des bénéficiaires, avaient tous eu connaissance des aides avant installation et avaient tous bénéficié du dispositif ZRR. Ils étaient implantés en secteur sous doté du département et considéraient les aides comme importantes dans leur décision d'installation. Les facteurs communs à tous les répondants étaient l'influence du lieu de formation et de remplacement ainsi que l'attrait pour l'exercice en groupe. CONCLUSION : les mesures incitatives présentent un intérêt dans le recrutement des jeunes médecins généralistes dans les déserts médicaux mais ne sont pas déterminantes à elles seules. Afin d'attirer dans ces zones, il serait intéressant d'accentuer l'attractivité du territoire, d'y valoriser la formation ainsi que le remplacement et de réviser les aides actuellement nombreuses et souvent méconnues.

Author: Gaël Concastie
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Depuis 2004, les pouvoirs publics tentent d'inciter les médecins généralistes à s'installer en zone fragile par la proposition d'aides diverses aux étudiants et médecins généralistes. Nous avons réalisé une étude observationnelle rétrospective dont l'objectif principal était d'évaluer l'influence des aides du conseil régional de Lorraine, pour la réalisation de stages d'internat en zones déficitaires ou fragiles, afin d'y favoriser de futures installations. METHODES : Ont été sollicités, à l'aide du fichier de l'association des internes en médecine générale (RAOUL-IMG), des internes et des remplaçants de médecins généralistes, ayant effectué leur internat à la faculté de médecine de Nancy. Ils ont répondu à un questionnaire informatique envoyé par mail. RESULTATS : Au total, 126 réponses ont été reçues et analysées. Un tiers des répondants ont déclaré ne pas connaitre les aides proposées. La complexité des aides et de leur obtention avait aussi un effet limitant. Les facteurs influençant les lieux d'installation étaient par ordre décroissant (>50 % de réponses) : l'exercice en groupe, les relations avec les confrères, le lieu de travail du conjoint, les maisons de santé pluri-professionnelles (MSP). Une étude par régression logistique de 95 des répondants ayant effectué au moins un stage ambulatoire de médecine générale, a permis de mettre en évidence un lien statistiquement significatif, entre la réalisation du stage ambulatoire en zone déficitaire favorisée par les aides du conseil régional, et l'installation ou le projet d'installation en zone fragile. Aucun des facteurs (sexe, statut marital, enfant) ne semblait influencer le choix du projet d'installation. DISCUSSION : A l'étranger, ce type d'aide avait surtout un effet d'aubaine, et son effet positif sur le long terme était faible. L'incitation doit reposer aussi sur la création d'enseignements pour expliquer et rassurer les internes sur l'installation en ambulatoire. Il est important de poursuivre le développement des MSP. La création de la région Grand Est va nécessiter de redéfinir les différentes zones fragiles du territoire et d'uniformiser les aides locales existantes. La télémédecine est une piste à suivre pour désenclaver les zones rurales éloignées. CONCLUSION : Notre étude a révélé un manque d'information et de communication vis-à-vis des aides proposées, mais a mis en évidence une influence significative des aides du conseil régional pour la réalisation des stages ambulatoires de l'internat de médecine générale en zone fragile et le projet d'installation réelle ou future dans ces zones.

Author: Victor Cantiran
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Introduction : la Dordogne est un département particulièrement touché par la désertification médicale. Il n'existe que peu d'études sur les mesures prises pour attirer les médecins dans des zones sous-dotées telle que la Dordogne. Méthodes : recueillir l'opinion des médecins généralistes nouvellement installés en Dordogne sur les moyens mis en œuvre pour augmenter l'attractivité de ce département. Résultats : 53 médecins sur 81 ont répondu (65%). La réalisation d'un stage d'interne en médecine générale en Dordogne est la donnée qui a été jugée comme ayant le plus grand impact sur l'installation. Les mesures d'aide jugées positivement sont la ZRR (49% d'impact positif), les aides associatives (47% d'impact positif). Il semble que les médecins à diplôme étranger sont plus sensibles aux aides des collectivités locales. Discussion : l'attractivité d'un territoire est multifactorielle et aucune aide ne peut à elle seule influencer un choix d'installation dans une région donnée. Les mesures financières semblent avoir peu d'impact sur l'attractivité d'un territoire à l'exception de la ZRR. Il paraît nécessaire de prioriser les stages ambulatoires dans les zones sous-dotées en passant par le recrutement de maîtres de stage universitaire. Le regroupement des professionnels semble également une voie à explorer. Enfin, il apparaît que les collectivités locales ont un rôle important à jouer.

Author: Elvire Martinez-Valentin
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Introduction : En France, la demande de soin croissante fait face à la baisse du temps médical disponible associée à une répartition géographique inégale des médecins généralistes. Pour y répondre, l'État soutient l'installation en zone sous-dotée par des incitations financières et par le développement de stages ambulatoires. Alors que 55% de la population iséroise vit en zone sous-dotée, le Département de l'Isère a mis en place le Dispositif Isère Médecin (DIM). L'objectif de cette étude était d'évaluer les déterminants à l'installation des médecins en zone sous-dotée Iséroise chez les signataires du DIM, ainsi que l'influence de ce dispositif. Matériels et méthode : Étude qualitative réalisée à partir d'entretiens semi-dirigés chez des médecins bénéficiaires du DIM, installés ou ayant pris un engagement avec une commune ou un cabinet. Résultats : Quatorze entretiens semi-dirigés ont été réalisés. Des déterminants décisionnaires communs dans l'installation ont été retrouvés : les déterminants personnels, la dynamique de l'équipe médicale et un début d'exercice comme collaborateur. La combinaison des déterminants décisionnaires et de l'influence du DIM dans la création du projet d'installation a distingué trois profils de médecins : un profil urbain, un profil rural et un profil de collaborateur. Conclusion : Les jeunes médecins généralistes ne sont pas une population homogène. Le Dispositif Isère Médecin peut initier, accompagner et sécuriser des projets d'installation. Un accompagnement personnalisé en fonction du profil dans l'élaboration du projet d'installation pourrait favoriser l'implantation et le maintien de médecins en zone sous-dotée. Faciliter l'accès aux études de santé de jeunes issus de territoires fragiles et développer les transports en commun pourraient être d'autres pistes.

Author: Romain Foucault
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Introduction : la lutte contre l'inégalité de répartition des médecins sur le territoire est un enjeu majeur pour le gouvernement depuis plusieurs années. De nombreuses aides ont déjà été mises en place afin de palier à ces inégalités. Mon travail a consisté à étudier ces mesures incitatives à l'installation en zone sous-dotée par une étude observationnelle transversale dont l'objectif principal était d'évaluer les connaissances des internes de médecine générale d'Amiens sur ces aides. L'objectif secondaire était d'apprécier l'attractivité de celles-ci. Méthode : il a été réalisé une étude quantitative sur l'ensemble des internes de la faculté d'Amiens de la promotion 2017/2018 par le biais d'un questionnaire informatique. Résultats : au total, 111 internes ont répondu de novembre 2017 à février 2018. Les aides financières pour les étudiants en médecine étaient connues par 59.1% des internes, la mieux connue étant le CESP avec 97.3% des répondants. En revanche, seul 36.9% des internes étaient informés sur les aides à l'installation et au maintien de l'activité. Ces mesures étaient pourtant fortement appréciées par les différentes promotions d'internes. La meilleure mesure selon les internes amiénois était le Contrat d'Aide à l'Installation des Médecins. Les mesures incitatives n'avaient pas influencé le choix d'installation pour 81.1% des répondants bénéficiant ou souhaitant bénéficier d'une aide. Discussion : cette étude a montré que les internes de médecine générale d'Amiens étaient peu informés vis-à-vis des mesures incitatives à l'installation, alors qu'ils avaient un avis favorable sur celles-ci. Après avoir pris connaissance des aides via le questionnaire, ils étaient intéressés pour en bénéficier lors de leur future installation. Les mesures nécessitant le moins d'engagement suscitaient le plus d'intérêt. Il a été retrouvé un effet d'aubaine lié à ces mesures pour ces internes ayant déjà prévu au préalable de s'installer en zone sous-dotée. Conclusion : ces mesures incitatives paraissent encore méconnues mais attractives pour les internes de médecine générale. Un renforcement de la communication sur ses aides est à poursuivre pour les années à venir. Bien qu'insuffisantes pour corriger les inégalités de répartition des médecins généralistes sur le territoire français, elles permettent d'améliorer les conditions d'exercice professionnel des bénéficiaires et d'accélérer leur installation.

Author: Clémentine Briffoteau
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Introduction: pour endiguer la désertification médicale, les autorités de santé ont créé des mesures incitatives visant médecins généralistes et étudiants. L’objectif principal de notre travail a été d’étudier l’attractivité des mesures incitatives à l’installation des médecins généralistes primo-installés en Picardie. Après un état des lieux des connaissances de ces aides, nous avons évalué leur efficience comme solution pour accroître le nombre d’installations dans la région. Méthode : une étude quantitative, transversale et descriptive réalisée chez les médecins généralistes primo-installés en Picardie de mai 2019 à avril 2021 via un questionnaire en ligne. Résultats : parmi 137 médecins généralistes ayant répondu, 52,6% bénéficiaient d’une ou plusieurs aides mais moins de 20% ont été influencés dans leur choix d’installation. Les mesures les plus attractives étaient à 48,9% l’exonération de l’impôt sur le revenu et à 31,4% le Contrat d’Aide à l’Installation des Médecins. Discussion : si les généralistes Picards primo installés connaissaient les aides et les jugeaient attractives, elles les influençaient toutefois peu dans leur choix. Les déterminants à l’installation étaient en effet multifactoriels et ne se résumaient pas à de seules considérations financières. La connaissance trop tardive des aides diminue néanmoins leur rôle incitatif. Conclusion : la majorité des primo-installés est peu influencée par ces mesures certes attractives mais jugées peu incitatives comme déterminant principal à l’installation. Elles ne semblent pas en mesure d’accroître les installations en Picardie.

Author: Pauline Lemoine
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Avec une baisse des effectifs des médecins généralistes, l'offre de soins de premier recours en France devient problématique. Les inégalités de répartition des praticiens se creusent. Les jeunes médecins généralistes rejettent le modèle d'exercice de leurs ainés. L'âge de la première installation recule. Face aux déserts médicaux, les gouvernements tentent d'apporter des solutions avec les mesures incitatives à l'installation mais celles-ci sont critiquées. Afin d'identifier les facteurs déterminants le lieu d'installation des médecins généralistes et de recueillir leur opinion sur les mesures incitatives, une étude descriptive, observationnelle et transversale a été réalisée entre le 7 janvier et le 9 mars 2014. Un questionnaire électronique commun à deux autres travaux relatifs aux problèmes de démographie médicale a été diffusé aux médecins généralistes lillois ayant passé l'Examen Classant National entre 2004 et 2008, tous modes d'exercice confondus. 310 réponses ont été collectées. Il apparait que la famille était au coeur de la décision du lieu d'installation (compatibilité avec le travail du conjoint, établissements scolaires, services de proximité). Les facteurs professionnels prépondérants étaient la proximité d'un établissement de soin et une opportunité professionnelle (reprise de cabinet, association, poste dans une maison de santé pluridisciplinaire (MSP)). La connaissance de l'offre de soin du secteur était également importante. La plupart des médecins avait entendu parler des mesures incitatives. Les aides logistiques et fiscales étaient les plus citées comme incitant à l'installation. Les principaux freins à leurs recours étaient la priorité laissée à la vie familiale et le sentiment de perte de liberté. Les MSP pourraient augmenter le nombre d'installations de même qu'une meilleure formation théorique à l'installation et davantage de stages ambulatoires. Un tiers des médecins pensaient que les mesures incitatives n'avaient pas d'influence sur les installations. Ainsi, les facteurs privés, environnementaux et professionnels, semblent plus déterminants pour le choix du lieu l'installation que les mesures incitatives qui restent controversées.

Author: Alexandre Samadi
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Introduction : l'objectif de notre travail était d'identifier les principaux déterminants favorisant l'installation des médecins dans les territoires sous-denses. Matériel et méthode : nous avons conduit une étude quantitative au travers d'un questionnaire anonyme et auto-administré, adressé aux médecins installés depuis 2017 dans 3 territoires recouverts de zones sous-denses : l'Ariège, le Gers et le Comminges. Résultat : 38 questionnaires furent analysés, les principaux déterminants retrouvés étaient : la possibilité de s'installer dans un groupe de professionnels, avoir des opportunités professionnelles pour le/la conjoint(e) et maintenir une proximité avec la famille et/ou le territoire d'origine. Le parcours de l'internat et l'origine personnelle influençaient fortement le lieu d'installation. Les aides financières revêtaient une importance secondaire. Discussion : les facteurs assurant un environnement de travail propice au maintien de l'équilibre entre vie familiale et vie professionnelle apparaissent prioritaires par rapport aux critères financiers. Augmenter la part de médecins formés issus de territoires sous-denses et y développer l'accueil des internes sont des leviers d'action efficaces. Ces résultats convergent avec les travaux déjà réalisés sur le sujet. Conclusion : cette étude confirme l'importance d'agir pour l'amélioration des conditions de travail ainsi que dans la formation des médecins généralistes pour favoriser leur installation en zones sous-denses.