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Impact de l'exposition des enfants aux écrans sur leur temps de sommeil : étude transversale exposés/non-exposés

Impact de l'exposition des enfants aux écrans sur leur temps de sommeil : étude transversale exposés/non-exposés PDF Author: Marie-Pascale Gambotti
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Languages : fr
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Book Description
Introduction : l'expansion fulgurante des écrans ces dernières décennies et leur omniprésence dans notre quotidien et celui de nos enfants, nous fait nous questionner quant à leurs conséquences sur leur santé. De nombreux troubles ont été évalués mais la relation entre l'exposition aux écrans et les troubles du sommeil reste à ce jour peu étudiée. Méthode : nous avons réalisé une étude transversale cas/témoins par le biais d'un questionnaire semi-dirigé auprès de parents d'enfants de 3 à 18 ans consultant pour leur enfant en cabinet de médecine générale (à Sainte-Lucie de Porto-Vecchio) et en centre médico-psychologique (à Porto-Vecchio et Propriano) du mois de février à mai 2020. Cette étude évaluait l'impact de l'exposition aux écrans sur le temps de sommeil total par nuit des enfants. Les enfants étaient répartis en deux populations : les exposés et les non-exposés. La population « exposée » était constituée des sujets ayant un temps d'écran (tous écrans confondus) supérieur ou égal à 2 heures par jour. L'analyse statistique a été faite par un test du khi-deux. Dans un second temps la qualité du sommeil était évaluée par l'intermédiaire de différents critères : l'heure de coucher, l'heure d'endormissement, les réveils nocturnes éventuels et leur nombre, la sensation de fatigue dans la journée. Résultats : la durée moyenne de la nuit était de 8h50 pour les exposés et de 10h10 pour les non-exposés. Après application du test du Khi2 on retrouvait un lien statistiquement significatif (p 0,05) qui montrait qu'une exposition aux écrans d'une durée supérieure ou égale à 2 heures était associée à une diminution du temps de sommeil. On retrouvait pour la qualité du sommeil que le nombre d'heures d'écran modifiait l'heure de coucher ainsi que l'heure d'endormissement avec respectivement des heures de coucher (p

Impact de l'exposition des enfants aux écrans sur leur temps de sommeil : étude transversale exposés/non-exposés

Impact de l'exposition des enfants aux écrans sur leur temps de sommeil : étude transversale exposés/non-exposés PDF Author: Marie-Pascale Gambotti
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Languages : fr
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Book Description
Introduction : l'expansion fulgurante des écrans ces dernières décennies et leur omniprésence dans notre quotidien et celui de nos enfants, nous fait nous questionner quant à leurs conséquences sur leur santé. De nombreux troubles ont été évalués mais la relation entre l'exposition aux écrans et les troubles du sommeil reste à ce jour peu étudiée. Méthode : nous avons réalisé une étude transversale cas/témoins par le biais d'un questionnaire semi-dirigé auprès de parents d'enfants de 3 à 18 ans consultant pour leur enfant en cabinet de médecine générale (à Sainte-Lucie de Porto-Vecchio) et en centre médico-psychologique (à Porto-Vecchio et Propriano) du mois de février à mai 2020. Cette étude évaluait l'impact de l'exposition aux écrans sur le temps de sommeil total par nuit des enfants. Les enfants étaient répartis en deux populations : les exposés et les non-exposés. La population « exposée » était constituée des sujets ayant un temps d'écran (tous écrans confondus) supérieur ou égal à 2 heures par jour. L'analyse statistique a été faite par un test du khi-deux. Dans un second temps la qualité du sommeil était évaluée par l'intermédiaire de différents critères : l'heure de coucher, l'heure d'endormissement, les réveils nocturnes éventuels et leur nombre, la sensation de fatigue dans la journée. Résultats : la durée moyenne de la nuit était de 8h50 pour les exposés et de 10h10 pour les non-exposés. Après application du test du Khi2 on retrouvait un lien statistiquement significatif (p 0,05) qui montrait qu'une exposition aux écrans d'une durée supérieure ou égale à 2 heures était associée à une diminution du temps de sommeil. On retrouvait pour la qualité du sommeil que le nombre d'heures d'écran modifiait l'heure de coucher ainsi que l'heure d'endormissement avec respectivement des heures de coucher (p

Impact de l'exposition aux écrans sur le sommeil et les performances scolaires chez les enfants d'école primaire

Impact de l'exposition aux écrans sur le sommeil et les performances scolaires chez les enfants d'école primaire PDF Author: Nicolas Ringuet
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Languages : fr
Pages : 88

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Les enfants ont de plus en plus accès aux outils numériques. L'objectif était d'isoler des profils d'enfants à risque et d'évaluer les différents comportements face aux écrans en fonction de l'environnement social, familial et des supports visuels disponibles. Nous nous sommes intéressés au retentissement sur le sommeil et les performances scolaires. Matériel et méthodes : Il s'agit d'une étude quantitative par questionnaire. La population cible était des couples parent-enfant scolarisé en école primaire âgé de plus de 6 ans dans le département de la Drôme. Les analyses bivariées ont été réalisées par un test du Chi2 ou d'une régression linéaire. Les analyses multivariées ont été réalisées par une analyse des correspondances multiples. Résultats: Au total, 82 questionnaires ont été analysés. Environ un quart des enfants ont une télévision (TV) dans leur chambre et un tiers ont accès à internet seul. Le temps quotidien d'écrans est inversement proportionnel au temps de sommeil. Les facteurs diminuant le temps de sommeil sonda présence d'une TV dans la chambre (18 minutes en moins), l'accès à internet seul, le fait d'avoir son propre téléphone portable, l'exposition à des contenus déconseillés par le CSA et l'exposition aux JV en particulier aux JV à contenu violent. Les enfants au niveau scolaire moyen ou en difficulté sont plus souvent exposés à des programmes d'action et de téléréalité, ont un téléphone portable, et la TV ·dans la chambre. Les enfants exposés moins de 2h/j aux écrans ont volontiers un bon niveau scolaire, ceux exposés plus de 2h30/j augmentent significativement leur risque de fatigue diurne. Les enfants de foyer monoparental ou au revenu modeste sont plus exposés aux écrans, avec souvent 2 postes de TV ou plus à la maison. Ces enfants ont plus régulièrement une TV dans leur chambre et sont exposés aux écrans après le coucher, ainsi qu'à des programmes de télé-réalité et à des JV au contenu violent. Ils ont volontiers un téléphone portable et accès à internet seul. La durée quotidienne d'écran est supérieure à 2h et ils présentent entre l'arrêt de l'écran et le coucher une latence inférieure à 30 minutes. Ils présentent des difficultés d'endormissement, des réveils nocturnes et des cauchemars. Ces enfants s'exposent à davantage de difficultés de concentration et de fatigue diurne et sont de moins bons élèves que des enfants moins exposés. Conclusion : Devenue un véritable problème de santé publique, l'exposition addictive aux écrans est un frein au bon développement de l'enfant. L'information, la prévention et le repérage des situations à risque par le médecin généraliste ainsi que leur prise en charge coordonnée doit s'intégrer aux éléments clés du suivi habituel de l'enfant.

Lien entre exposition aux écrans et trouble du sommeil chez l'adulte en médecine générale dans le Val-de-Marne

Lien entre exposition aux écrans et trouble du sommeil chez l'adulte en médecine générale dans le Val-de-Marne PDF Author: Tiphaine Vallantin
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Languages : fr
Pages : 69

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On observe depuis une vingtaine d'années une consommation d'écrans quotidienne de plus en plus importante, qui concerne la quasi-totalité de la population des pays dits développés. Leur impact sur le sommeil de l'adulte est probable. D'une part, du fait de la perturbation du cycle nycthéméral par inhibition de la production de mélatonine. D'autre part, par l'effet excitant voire addictif des différents contenus. Il existe de nombreuses études concernant l'impact des écrans sur le sommeil des enfants, beaucoup moins sur le sommeil des adultes. De plus, les études antérieures sont difficilement comparables par manque de définition consensuelle à la fois de la sur-exposition aux écrans et des troubles du sommeil. J'ai réalisé une étude observationnelle transversale, par questionnaires auprès de patients consultant en médecine générale, sur deux sites dans le Val-de-Marne. L'objectif principal était de montrer une corrélation entre surexposition aux écrans et perturbation du sommeil, chez l'adulte la surexposition était définie par le fait de regarder plus de 3 heures d'écrans de loisir par jour et/ou de regarder un écran dans le lit, et la perturbation du sommeil définie par un score > 5 à l'index de qualité du sommeil de Pittsburgh et/ou la consommation régulière de somnifères. 184 patients ont été inclus. Les résultats montraient que 73 % des patients sur-exposés avaient un sommeil perturbé contre 48 % des non sur-exposés, avec une différence significative (OR=2,93, p=0,001). Les patients exposés étaient en moyenne plus jeunes, vivaient davantage seul et étaient peu diplômés. Les patients obèses n'étaient pas davantage exposés. Tous les patients consommant des somnifères avaient un PSQI>5. En analyse secondaire, les filtres à lumière bleue intégrés aux logiciels ne protégeaient pas de façon significative contre les troubles du sommeil (p=0,77). Les patients dont l'exposition professionnelle aux écrans dépassait 5 heures par jour avaient moins de chance de s'exposer plus de 3 heures par jour en loisirs (OR=0,13, p=0,015) et moins de chance de regarder un écran dans leur lit (OR=0,05, p=0,009). Ces patients n'avaient pas davantage de troubles du sommeil par rapport au reste de la population. Il n'y avait pas de lien significatif entre présence d'un écran dans la chambre et trouble du sommeil, comme on peut le voir chez l'enfant. En conclusion, mon étude a montré une forte corrélation entre de la surexposition aux écrans le soir et les troubles du sommeil chez l'adulte consultant en médecine générale. Il est a priori impossible de savoir si cette corrélation est liée à une toxicité des écrans sur le sommeil, à une utilisation des écrans comme une médication auto-sédative chez les patients ayant déjà des troubles du sommeil, ou s'il existe un facteur commun entre ces deux explications. En revanche, l'absence de trouble du sommeil chez les patients exposés plus de cinq heures par jour aux écrans pour des raisons professionnelles oriente vers une toxicité des écrans utilisés le soir et la nuit. Le rapport de l'Anses paru en 2020 sur l'influence des lumières bleues (LED) sur la sécrétion de mélatonine oriente également dans ce sens. Des campagnes de prévention seraient utiles pour préserver le sommeil des français. En cas de plainte d'insomnie en médecine générale, il est utile de se renseigner sur l'exposition aux écrans des patients.

Évaluation du lien entre l'exposition aux écrans chez les jeunes enfants et l'apparition de troubles primaires du langage

Évaluation du lien entre l'exposition aux écrans chez les jeunes enfants et l'apparition de troubles primaires du langage PDF Author: Manon Collet
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Languages : fr
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Contexte : Les enfants sont exposés précocement aux écrans, alors que cet usage peut influencer leur développement psychomoteur. Objectifs : Evaluer le lien entre l'exposition aux écrans avant 2 ans et l'apparition de troubles primaires du langage. Evaluer d'autres facteurs de l'exposition aux écrans. Méthode : Etude cas-témoin en Ille-et-Vilaine par distribution de questionnaires aux parents d'enfants entre 3.5 et 6.5 ans, avec un suivi orthophonique pour les cas. Résultats : 167 cas et 109 témoins ont été inclus. 84.9 % des cas étaient exposés aux écrans avant 2 ans contre 81.1 % des témoins, mais cette différence n'était pas statistiquement significative. Les enfants exposés aux écrans le matin avant l'école multipliaient par 3 leur risque de développer des troubles du langage. Ceux ne discutant pas du contenu de ces écrans avec leurs parents doublaient ce risque. Conclusion : Les risques de l'exposition aux écrans chez les enfants sont confirmés pour les troubles du langage.

Exposition aux écrans des enfants âgés de 12 à 36 mois

Exposition aux écrans des enfants âgés de 12 à 36 mois PDF Author: Ludmila Issaeva
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Languages : fr
Pages : 146

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Peu d'études récentes portent sur le temps passé devant les écrans par les enfants de moins de 3 ans en France. L'objectif principal de la présente étude est de déterminer le temps d'écran des enfants âgés de 12 à 36 mois. L'objectif secondaire est d'en trouver des explications : facteurs sociodémographiques, messages de prévention, temps d'écran des parents, croyances et attitudes de ces derniers face aux écrans. Méthodes Étude observationnelle transversale, descriptive et analytique, auprès de parents d'enfants âgés de 12 à 36 mois, en été 2020, sur 3 sites hospitaliers en Ile-de-France. Des analyses, univariée puis multivariée, ont été réalisées. Résultats Le temps d'écran médian des enfants était de 1 heure par jour. Un tiers des enfants choisissaient seuls le contenu. La majorité était exposée au contenu du site YouTube, peu éducatif et peu commenté par les parents. Seuls 64,9 % des parents avaient reçu une information sur l'exposition aux écrans. L'analyse multivariée montre que le temps d'écran est principalement lié à l'âge de l'enfant, au statut professionnel des mères, au temps d'écran des parents, à la télévision en arrière-plan et à l'utilisation des écrans pour calmer les enfants. La lecture de livres apparait comme un facteur déterminant de moindre exposition aux écrans. Discussion Les professionnels de santé devraient mieux sensibiliser les parents à l'exposition des jeunes enfants aux écrans. Ils devraient les informer des risques de laisser la télévision en arrière-plan et promouvoir la lecture de livres. La très forte corrélation entre l'exposition des enfants aux écrans « pour être calmés » et leur long temps d'écran pose de nombreuses questions.

Etude de l'association entre l'exposition aux écrans et le sommeil chez des enfants de 4 ans scolarisés dans le département de l'Essonne

Etude de l'association entre l'exposition aux écrans et le sommeil chez des enfants de 4 ans scolarisés dans le département de l'Essonne PDF Author: Alexandra Praud
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Languages : fr
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Book Description
Contexte : Chez les adolescents, une exposition excessive aux écrans diminue le temps de sommeil et en altère la qualité. Cependant, les études sont rares chez les moins de 6 ans. De plus, les troubles du sommeil peuvent entraîner des conséquences néfastes sur le fonctionnement cognitif : attention, mémoire, régulation émotionnelle, fonctions exécutives, troubles du comportement, compétences sociales, performances scolaires. L'objectif de ce travail était d'étudier l'association entre le temps total journalier d'exposition aux écrans et la durée et la qualité du sommeil. Matériel et Méthodes : Les pratiques autour de l'exposition aux écrans et les caractéristiques du sommeil des enfants ont été recueillies à partir d'un autoquestionnaire anonyme. Celui-ci a été distribué, par les professeurs, aux parents des enfants de petite section de maternelle des écoles du secteur de la PMI de Massy, puis récupéré dans des enveloppes cachetées. L'association entre le temps d'écran et la durée du sommeil a été étudiée grâce à un modèle de régression linéaire avec imputations multiples. L'association entre le temps d'écran et la fréquence des difficultés d'endormissement a été étudiée grâce à un modèle de régression logistique avec imputations multiples. Les modèles étaient ajustés sur les facteurs de confusion suivants : écrans regardés le soir, existence de règles concernant l'utilisation des écrans, sexe, mode de garde avant l'école, niveau d'études des parents, revenus du foyer et le fait d'être l'ainé. Résultats : Notre population était constituée de 523 enfants. Nous avons observé une diminution significative de la durée du sommeil lorsque le temps d'écran augmentait, lorsque le père avait un niveau d'études supérieur ou égal au baccalauréat et lorsque l'enfant était l'ainé. La fréquence des difficultés d'endormissement ne variait pas significativement avec le temps d'écran mais augmentait avec les revenus du foyer. Néanmoins, lors des analyses bivariées, le temps d'écran était plus important chez les enfants n'ayant pas de difficultés d'endormissement fréquentes. Conclusion : L'association entre l'exposition aux écrans et le sommeil est complexe et met en jeu de nombreuses variables socioéconomiques, environnementales et culturelles. Le rôle des parents est déterminant dans l'éducation à l'utilisation des écrans et l'apprentissage des règles d'hygiène du sommeil.

Impact des écrans sur le sommeil des enfants de 6 à 12 ans, étude réalisée en cabinet de médecine générale en Haute-Garonne

Impact des écrans sur le sommeil des enfants de 6 à 12 ans, étude réalisée en cabinet de médecine générale en Haute-Garonne PDF Author: Juliette Lédée
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Introduction : la lumière bleue produite par les écrans des nouvelles technologies de l'information et de la communication est connue pour perturber le sommeil en déréglant notre horloge interne. Devant l'absence de recommandation française concernant l'exposition aux écrans chez les enfants, nous avons essayé d'établir un lien entre une surexposition aux écrans définie par un temps d'exposition de plus de deux heures par jour et/ou par une utilisation une heure avant le coucher et la présence de perturbations du sommeil chez l'enfant de 6 à 12 ans. Méthode : nous avons réalisé une enquête prospective par questionnaire anonyme auprès de parents d'enfants de 6 à 12 ans, consultant en cabinet de médecine générale du mois de mai à septembre 2017. Ce questionnaire interrogeait les parents sur l'hygiène de sommeil de leurs enfants, leur utilisation des écrans et sur le comportement parental face à l'utilisation excessive des écrans par leurs enfants. Résultats : 154 questionnaires de parents d'enfants de 6 à 12 ans ont été recueillis en Haute-Garonne. 85,1% de ces enfants ne sont pas ou exceptionnellement réveillés la nuit, et 70,2% n'ont pas ou presque jamais de troubles de l'endormissement. Ils sont une majorité (72,8%) à regarder les écrans moins d'une heure par jour en semaine alors qu'ils sont 85,7% à les regarder plus d'une heure le week-end/ les jours de repos. Bien qu'une surexposition aux écrans ne soit pas significativement liée à un trouble du sommeil, il y aurait en revanche un lien entre une quantité de sommeil altérée et la présence d'un écran dans la chambre de l'enfant. La présence d'une tablette notamment semble entraîner des troubles plus fréquents de l'endormissement (p

Exposition aux écrans chez les enfants de 12 à 14 mois en PMI de Loire-Atlantique

Exposition aux écrans chez les enfants de 12 à 14 mois en PMI de Loire-Atlantique PDF Author: Fanny Girard (médecin).)
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Languages : fr
Pages : 162

Book Description
Introduction : L'exposition aux écrans des enfants de moins de 3 ans est associée à des conséquences négatives sur leur santé et leur développement, bien étayées par la littérature. Devant ce constat, le département de Loire-Atlantique a mis en place le livret de prévention « Face aux écrans ». L'objectif principal de cette étude est de réaliser un état des lieux de l'exposition aux écrans des enfants âgés de 12 à 14 mois, consultant en PMI de Loire-Atlantique. L'objectif secondaire est d'évaluer l'impact d'un message de prévention délivré de manière systématique et précoce grâce au livret « Face aux écrans ». Matériel et méthode : Il s'agit d'une étude épidémiologique, descriptive et interventionnelle, menée de décembre 2020 à juin 2021 dans 22 centres de PMI de Loire-Atlantique. A partir du 1er mars 2021, un message de prévention associé à la distribution du livret « Face aux écrans » devait être systématiquement délivré par les professionnels de PMI aux parents d'enfants de 9 à 11 mois inclus. Un auto-questionnaire était distribué à tous les parents d'enfants âgés de 12 à 14 mois. Il évaluait la situation socio-démographique des familles, l'exposition aux écrans des enfants, les connaissances des parents, et les modifications d'habitude à la suite du livret le cas échéant. Résultats : 129 questionnaires ont été analysés. L'âge moyen de début d'exposition est de 6 mois. 50% des enfants sont exposés régulièrement aux écrans (E), en moyenne 234 minutes par semaine soit 33 minutes par jour. 12% n'ont jamais été exposés à un écran. En analyse multivariée, la probabilité pour l'enfant d'être exposé régulièrement aux écrans est augmentée par : l'origine étrangère et l'âge jeune de la mère (p

Utilité d'une campagne de prévention concernant l'exposition aux écrans chez l'enfant de 12 à 18 mois par un SMS systématique

Utilité d'une campagne de prévention concernant l'exposition aux écrans chez l'enfant de 12 à 18 mois par un SMS systématique PDF Author: Clémence Balaud
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Languages : fr
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NTRODUCTION. L'exposition aux écrans et ses dangers chez l'enfant en bas âge sont bien documentés dans la littérature actuelle. Malgré tout, de plus en plus d'enfants y sont exposés précocement avec des programmes inadaptés, des fréquences et des durées importantes. L'objectif était d'évaluer l'utilité d'une campagne de prévention sur l'exposition aux écrans chez l'enfant vosgien de 12 à 18 mois par un SMS systématique envoyé par la Caisse Primaire Assurance Maladie. MÉTHODE. Une enquête par questionnaire téléphonique a été réalisée, 4 à 6 semaines après la réception du SMS, auprès des parents d'enfants vosgiens de 12 à 18 mois enregistrés au Régime Général. RÉSULTATS. 208 parents ont participé à l'étude : 97 % des parents ont jugé ce SMS de prévention utile. 96% d'entre eux recommandaient son envoi systématique à tous les parents d'enfant vosgien de l'âge de 1 an. 62,5 % n'exposaient pas leur enfant aux écrans. Parmi les 37,5 % les y exposant, seuls 4 parents (5 %) ont déclaré diminuer cette exposition suite au SMS. 73 % des parents avaient déjà discuté des écrans avec leur médecin généraliste. Parmi eux 77 % n'ont jamais exposé leurs enfants aux écrans contre 37,5 % chez les parents n'en ayant jamais discuté avec leur médecin généraliste. CONCLUSION. L'étude met en évidence que l'envoi systématique d'un SMS préventif contre l'exposition aux écrans chez tous les enfants vosgiens de 12 à 18 mois a été plébiscitée par les parents. Suite au SMS, seuls quelques parents ont diminué rapidement la fréquence d'exposition aux écrans de leurs enfants. Cependant, il existe une discordance entre la connaissance sur les risques d'une exposition trop précoce et trop importante, et la réalité d'exposition. Une étude plus « interventionnelle », incitant les parents à modifier les habitudes, apparaît comme la suite logique de ce travail.

Exposition aux écrans des enfants de 2 à 6 ans : évaluer l'impact d'une intervention brève donnée aux parents et à leur enfant par un médecin généraliste

Exposition aux écrans des enfants de 2 à 6 ans : évaluer l'impact d'une intervention brève donnée aux parents et à leur enfant par un médecin généraliste PDF Author: Stéphanie Remillieux
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Languages : fr
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Book Description
INTRODUCTION ; Ces dernières décennies, les écrans se sont multipliés dans nos foyers jusqu'à devenir omniprésents dans notre vie quotidienne. Les enfants ne sont pas épargnés par ce phénomène, et ce dès leur plus jeune âge. Or, une surexposition aux écrans peut être à l'origine de troubles neurodéveloppementaux chez le jeune enfant. La prévention primaire du mésusage des écrans effectuée par le médecin généraliste est ainsi essentielle. OBJECTIFS : L'objectif principal était d'évaluer l'impact, à 6-8 semaines, d'une intervention brève concernant les écrans, délivrée en consultation par le médecin généraliste, auprès de parent(s) accompagné(s) de leur(s) enfant(s) âgé(s) de 2 à 6 ans, sur l'exposition des enfants aux écrans à différents moments de la journée (matin avant 11h, aux repas, dans l'heure précédant le coucher et dans la chambre). L'objectif secondaire était d'évaluer la motivation des parents à changer leurs habitudes (inspiré de l'échelle de Prochaska) à la phase initiale et 6 à 8 semaines plus tard. MATÉRIEL ET MÉTHODE: Cette étude est un essai interventionnel prospectif, randomisé. Il a été réalisé de mars à juillet 2019 au sein de quatre cabinets de médecine générale en Lorraine. Un échantillon de 99 couples parent(s)-enfant a été inclus. Ils ont été divisés en deux groupes : l'un bénéficiant de l'intervention brève, et l'autre non. Les données concernant l'exposition aux écrans ont été recueillies par un auto-questionnaire initial dans la salle d'attente du cabinet. Un deuxième questionnaire a été réalisé 6 à 8 semaines plus tard par téléphone ou mail. RÉSULTATS : L'intervention a baissé significativement l'exposition des enfants le matin avant 11h (en moyenne de 1,09 jours soit 34,9 %, p = 0,005), et au cours des repas (en moyenne de 0,80 jours soit 47,1 %, p = 0,046). Pour les enfants des familles n'ayant pas reçu l'intervention, seule l'exposition le matin avant 11h a baissé significativement, mais de manière nettement moindre (en moyenne de 0,93 jours soit 23,7 %, p = 0,019). De plus, si on observe les parents dont les enfants ont amélioré leur exposition entre les deux phases, il semble, pour 78,6% d'entre eux, qu'ils sont encore à même de modifier leurs habitudes, dans le groupe intervention. Pour les parents des enfants les plus exposés (> 50ème percentile), un nombre plus important de sujets semble nécessaire pour parvenir à des conclusions. CONCLUSION : Une intervention brève sur les écrans, réalisée par le médecin généraliste, permet de réduire fortement l'exposition des enfants le matin avant 11h et au cours des repas. De plus les parents ayant modifié leurs habitudes au cours de l'étude semblent encore enclins au changement. C'est donc un outil intéressant, à faire connaitre des praticiens, qui ont un rôle important à jouer dans la prévention des risques liés à l'usage des écrans.