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EVALUATION DE LA QUALITE DES PRELEVEMENTS GYNECOLOGIQUES PRATIQUES PAR LES MEDECINS GENERALISTES DANS LE DEPISTAGE DU CANCER DU COL UTERIN

EVALUATION DE LA QUALITE DES PRELEVEMENTS GYNECOLOGIQUES PRATIQUES PAR LES MEDECINS GENERALISTES DANS LE DEPISTAGE DU CANCER DU COL UTERIN PDF Author: LAURENCE.. MARTINEAU
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EVALUATION DE LA QUALITE DES PRELEVEMENTS GYNECOLOGIQUES PRATIQUES PAR LES MEDECINS GENERALISTES DANS LE DEPISTAGE DU CANCER DU COL UTERIN

EVALUATION DE LA QUALITE DES PRELEVEMENTS GYNECOLOGIQUES PRATIQUES PAR LES MEDECINS GENERALISTES DANS LE DEPISTAGE DU CANCER DU COL UTERIN PDF Author: LAURENCE.. MARTINEAU
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Dépistages des cancers gynécologiques en médecine générale - Variabilité des pratiques de soins

Dépistages des cancers gynécologiques en médecine générale - Variabilité des pratiques de soins PDF Author: Laurent Rigal
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Actuellement les gynécologues sont en France les professionnels de santé les plus impliqués dans le dépistage des cancers gynécologiques, mais les généralistes, qui voient l'ensemble de la population, sont les mieux placés pour dispenser des soins préventifs à tous et de façon équitable.Ce travail visait à comprendre la variabilité des pratiques de dépistage des cancers gynécologiques (par le frottis cervico-utérin et la mammographie) chez les femmes consultant en médecine générale, en fonction notamment de la position sociale des patientes et de l'organisation du cabinet de leur médecin.Il s'intègre dans une étude menée en 2005-06 sur les principaux soins préventifs destinés aux adultes des deux sexes. Sur une période de deux semaines, toutes les patientes de 50 à 69 ans de 59 généralistes franciliens tirés au sort (taux de participation des généralistes : 39 %) ont été incluses au fil des consultations. Les données ont été recueillies auprès des patients par téléphone et auprès des médecins en face-à-face à leur cabinet. L'essentiel des analyses a été réalisé avec des modèles logistiques mixtes à intercept aléatoire pour tenir compte de la structure hiérarchique des données.Au total, 66,7 % des patients éligibles (n=4106) ont participé à l'étude, sans différence selon le sexe des patients.Même parmi des femmes utilisant le système de santé, on observe des inégalités sociales, mais uniquement concernant le frottis (n=858). Un gradient de dépistage défavorable au bas de la hiérarchie sociale existe pour la profession (indice relatif d'inégalité = 2,3), le niveau d'études (IRI = 2,0) et les revenus (IRI = 3,0). L'analyse des contributions à ces gradients de diverses dimensions de la position sociale (logement, quartier, richesse du foyer, statut vis-à-vis de l'emploi, relations sociales et assurance santé) montre que la richesse du foyer, les caractéristiques du quartier et le type d'assurance santé expliquent entre 20 et 60 % de ces inégalités.L'investissement des généralistes dans le dépistage semble restreint comme en témoignent les taux de renseignement d'une date de dernier frottis ou de dernière mammographie dans les dossiers médicaux (23 % pour le cancer du col utérin et 38 pour le cancer du sein). Les praticiens semblent mieux renseigner les dossiers des patientes du bas de la hiérarchie professionnelle et les dossiers des femmes dont ils savent qu'elles ne sont pas suivies par un gynécologue.L'organisation des consultations apparaît centrale dans notre enquête. La participation des patients à l'étude était meilleure parmi les médecins proposant des consultations sur rendez-vous (OR = 2,12 pour les patients hommes et 3,38 pour les femmes). Cette organisation jouerait aussi sur les pratiques de soins : les médecins ayant des consultations plus courtes s'impliquent moins dans le dépistage du cancer du sein (n=898, OR = 0,65). Ces aspects organisationnels permettent d'expliquer environ un quart de la variabilité des pratiques entre les médecins.Ces résultats devraient inciter les généralistes à investir davantage les dépistages des cancers gynécologiques et peut-être à opérer des changements organisationnels. Ce travail, au croisement de la recherche en médecine générale et de l'épidémiologie sociale, a fait émerger une réflexion sur l'analyse de données provenant de patients suivis sur le long cours par des professionnels de santé. Il ouvre aussi des perspectives sur la mise en place d'interventions pour réduire les inégalités sociales observées dans les patientèles.

Le dépistage du cancer du col de l'utérus en médecine générale

Le dépistage du cancer du col de l'utérus en médecine générale PDF Author: Aurore Couturier
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Languages : fr
Pages : 148

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Introduction : En France, le cancer du col de l'utérus est responsable de 1100 et de 3000 nouveaux cas par an. Un dépistage par frottis cervico utérin trisannuel est recommandé chez les femmes de 25 à 65 ans. La pratique de ce dépistage en médecine générale est influencée par la densité de gynécologues sur territoire. Le but de cette étude est de décrire la stratégie des médecins généralistes de l'Eure et leurs motivations pour maintenir le dépistage du cancer du col utérin face à la pénurie de praticiens. Matériel et Méthode : étude quantitative observationnelle descriptive sur les pratiques des médecins généralistes libéraux installés dans l'Eure. Résultats : 75 médecins inclus, 89,3% pratiquaient les frottis eux-mêmes, avec une moyenne de 4,8 frottis réalisés par mois. Les frottis étaient réalisés à l'initiative du médecin (57%), lors de consultation dédiée (54%). Les facteurs favorisant cette pratique étaient : la réalisation du suivi gynécologique par le généraliste (82%), la relation de confiance médecin-malade (69%) et la proximité/accessibilité du médecin généraliste (69%). Cette activité pourrait augmenter avec la mise en place du dépistage organisé (60%) et l'augmentation de la demande en rapport avec une diminution du nombre de gynécologues (57%). Conclusion : La majorité des médecins généralistes de l'Eure pratiquent eux-mêmes des frottis cervico utérins permettant un maintien du dépistage du cancer du col de l'utérus, défiant ainsi l'absence d'autres effecteurs (gynécologues, sages-femmes). Cependant l'effondrement démographique pourrait balayer tous ces efforts dans les années à venir.

Connaissances des médecins généralistes d’Ile de France sur les nouvelles modalités de dépistage du cancer du col de l’utérus

Connaissances des médecins généralistes d’Ile de France sur les nouvelles modalités de dépistage du cancer du col de l’utérus PDF Author: Imane Hariz
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Languages : fr
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Book Description
Introduction : en France, le cancer du col de l’utérus cause près de 3000 nouveaux cas et plus de 1000 décès par an. En juillet 2019, la HAS a publié de nouvelles recommandations, généralisant le test HPV en première intention chez les femmes de 30 à 65 ans, pouvant être réalisé par le praticien ou en auto prélèvement par les patientes. En cas de test HPV négatif, le délai entre 2 dépistages s’allonge, passant de tous les 3 ans à tous les 5 ans. Matériel et Méthode : cette étude quantitative, observationnelle, descriptive et transversale a été élaborée à partir d’un questionnaire sous forme de cas cliniques adressé à des médecins généralistes d’Ile de France via les réseaux sociaux et des mailing lists. L’objectif était de faire l’état des lieux du dépistage du cancer du col de l’utérus par les médecins généralistes et d’évaluer les facteurs associés à la prescription de l’auto prélèvement. Résultats: 305 réponses (partielles comprises) ont été recueillies. L’échantillon comprenait 84,59% de femmes, 77% avaient moins de 40 ans, 72,13% avaient un exercice libéral. 82,82 % des médecins prati-quaient du suivi gynécologique dans leur exercice; 79,67% déclaraient connaître les dernières recomman-dations de la HAS concernant le dépistage du cancer du col de l’utérus. 65,25% des médecins prescrivaient un frottis cytologique avant 30 ans: en cas de normalité 52,13% proposaient le prochain 3 ans après. Après 30 ans : 40,33% des médecins prescrivaient un test HPV à réaliser au cabinet et 37,38% un auto prélève-ment. En cas de test HPV positif avec examen cytologique réflexe négatif, 50,16% des médecins propo-saient un examen de contrôle 1 an après et 41,31% un test HPV. Lors de l’analyse statistique, deux facteurs sont apparus comme associés de manière indépendante à la prescription d’un autoprélèvement: l’absence de suivi gynécologique de la patiente (OR 0,56 (p= 0,046)) et la réticence de la patiente à l’examen gynécologique (OR 2,57 (p = 0,014)). Conclusion : les dernières recommandations de la HAS concernant le dépistage du cancer du col de l’uté-rus semblent connues et assimilées de la majeure partie des médecins généralistes répondants. De futures études épidémiologiques nous diront si l’auto prélèvement a permis le dépistage des 40% de femmes non ou insuffisamment dépistées selon le rythme des recommandations et d’améliorer ainsi la couverture du dépistage.

Facteurs déterminants l'implication des médecins généralistes des Bouches-du-Rhône dans le dépistage du cancer du col de l'utérus

Facteurs déterminants l'implication des médecins généralistes des Bouches-du-Rhône dans le dépistage du cancer du col de l'utérus PDF Author: Maud Seveno
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Languages : fr
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En France, nous comptons plus de 3000 nouveaux cas par an de cancer du col de l'utérus (CCU), ce cancer est responsable de 1100 décès. Il représente la 11eme cause de cancer et la 12eme cause de mortalité par cancer chez la femme. Le dépistage avec la pratique répétée de prélèvement cervico utérin avec cytologie a permis de réduire, chez les femmes qui le pratiquent, de 50% à 70% l'incidence des CCU grâce à un traitement précoce (baisse régulière de 1% à 2% par an depuis plus de vingt ans). En France, le taux de couverture du dépistage du cancer du col de l'utérus n'atteint pas l'objectif cible de 80% fixé par la loi de Santé Publique du 9 août 2004. En effet, pour l'année 2016 le taux de couverture était évalué à 55.9%. Le médecin généraliste joue un rôle majeur dans la prévention et le dépistage des cancers, quels sont les facteurs qui permettraient d'augmenter l'implication et les pratiques des généralistes ? Cette étude quantitative observationnelle, descriptive et transversale a été réalisée à partir d'un questionnaire standardisé adressé à 612 médecins généralistes des Bouche du Rhône, elle a pour but de décrire l'implication des médecins généralistes des Bouches du Rhône et leurs motivations pour améliorer le taux de dépistage du cancer du col de l'utérus chez les femmes de 25 à 65 ans. 67 médecins ont répondu au questionnaire soit un taux de participation de 11% (faible taux, non représentatif de la population de médecins généralistes des Bouche du Rhône). Les variables quantitatives ont été comparées par le test de Student. Les variables qualitatives ont été comparées via le test du Chi2 lorsque l'effectif était supérieur à 5, et via le test exact de Fisher quand l'effectif était inférieur à 5. Une valeur de p inférieure à 0.05 a été définie comme seuil de significativité statistique. Dans notre étude 46,3% des généralistes interrogés réalisaient des PCU. Ce chiffre est plus faible que dans d'autres départements comme la Normandie ou la Bretagne, cette différence peut être expliquée par la plus forte densité de gynécologues et sage-femme à proximité dans notre région. Dans notre étude, 62,5% des médecins généralistes femmes réalisaient des PCU contre 22,2% des médecins hommes (p = 0,001). Avec la féminisation de la profession médicale, la part de PCU réalisée en médecine générale pourrait augmenter. Les médecins généralistes semblent peu sensibilisés sur le dépistage du cancer du col de l'utérus par PCU, une meilleure sensibilisation des médecins est nécessaire pour augmenter le taux de dépistage, en effet dans cette étude 13,4% des médecins généralistes ne faisaient pas de prévention concernant le dépistage du CCU lors de leurs consultations. Le plan Cancer 2014-2019 prévoit de renforcer le rôle du médecin traitant dans ce dépistage, notamment avec la mise en place du dépistage organisé. Parmi les facteurs qui favoriseraient la pratique du PCU par les médecins traitants on retrouve dans cette étude : une demande de formation évidente, une plus grande rémunération de l'acte et la mise en place d'une consultation dédiée au dépistage. On note également un manque de communication des résultats de PCU lorsqu'il est réalisé par un autre intervenant (reçu par le médecin traitant dans 44% des cas), le DMP et la mise en place du dépistage organisé pourraient également améliorer, via les organismes de gestion des dépistages, une meilleure transmission des résultats au médecin traitant. Il serait intéressant d'étudier l'impact de ces facteurs lors de futurs travaux.

Dépistage Organisé du Cancer du Col de l'Utérus (DOCCU)

Dépistage Organisé du Cancer du Col de l'Utérus (DOCCU) PDF Author: Émilie Peyre
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Languages : fr
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Introduction : en France, le cancer du col de l'utérus (CCU) est le 12ème cancer féminin le plus fréquent avec près de 3000 nouveaux cas par an. Dans ce contexte, la mise en place d'un Dépistage Organisé du Cancer du Col de l'Utérus (DOCCU) a été encouragée par le 3ème plan Cancer. L'objectif principal de cette étude est d'évaluer le ressenti des médecins généralistes des Bouches-du-Rhône vis-à-vis de la mise en place de ce nouveau programme national de dépistage. Méthodes : une étude qualitative par entretiens semi-dirigés, inspirée de la méthode de la théorisation ancrée, a été menée auprès de treize médecins généralistes installés dans les Bouches-du-Rhône, de septembre à novembre 2022. Résultats : les résultats de cette étude tendent à montrer que la mise en place du DOCCU est une notion acquise par la majorité des participants. Ce programme est plutôt bien accueilli par les médecins généralistes car il permet une sensibilisation globale de la société face à la problématique actuelle de santé publique autour du CCU. Le double statut du médecin généraliste en tant que vecteur de l'information auprès des patientes et potentiel réalisateur du prélèvement fait de lui un acteur clé de ce nouveau programme. Un effort d'intégration de la question du dépistage du CCU dans leur exercice quotidien est noté avec une volonté d'harmonisation des pratiques autour des dépistages organisés. Conclusion : bien que le DOCCU soit accepté par la majorité des médecins généralistes, plusieurs stratégies d'amélioration restent à prévoir pour favoriser leur implication dans ce programme. Le développement d'un réseau de soins, le perfectionnement de la formation ou encore la promotion du dépistage à grande échelle par les instances de santé semblent pertinents. Enfin, l'auto-prélèvement vaginal semble être une alternative intéressante à reconsidérer dans le protocole du DOCCU dans les années à venir.

Dépistage du cancer du col de l'utérus

Dépistage du cancer du col de l'utérus PDF Author: Aurélien Bornsztein
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Languages : fr
Pages : 0

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Introduction - En 2018, le cancer du col de l'utérus (CCU) a été responsable de 1117 décès. Même si le dépistage du cancer du col de l'utérus fait partie intégrante de la pratique des médecins généralistes, la mise en pratique de nouvelles recommandations peut être influencée par différents facteurs. En juillet 2019, la HAS publie une actualisation des recommandations de bonne pratique du dépistage du CCU. Cette étude a comme objectif principal d'observer les pratiques des médecins généralistes en matière de dépistage du CCU, un an après la publication de ces nouvelles recommandations. L'objectif secondaire est d'identifier, en interrogeant les médecins généralistes, les facteurs susceptibles de faciliter ou de freiner le changement des pratiques. Matériel et méthodes - Cette étude observationnelle, transversale, descriptive et analytique a été réalisée auprès de 566 médecins généralistes en France. Les données ont été mesurées via un auto-questionnaire en ligne et recueillies du 2 octobre au 18 novembre 2020. Résultats - Près de 8 médecins sur 10 ont déclaré avoir changé leurs pratiques après avoir eu connaissance des recommandations. L'analyse multivariée a permis de mettre en évidence plusieurs facteurs associés au changement des pratiques de ces médecins : l'âge inférieur ou égal à 55 ans (OR = 2.8, [1.4 - 5.8]), le travail en groupe (OR = 3.9, [1.7 - 8.7]) et la réalisation de tests HPV (OR = 8.8, [4.2 - 18.5]). Les médecins ayant modifié leurs pratiques ont cité principalement comme facteurs favorisant le changement : la clarté de la communication reçue, le potentiel bénéfice sur le plan médical amené par les nouvelles recommandations et l'équipement en matériel adapté aux nouveaux gestes. Les freins au changement les plus cités par les médecins n'ayant pas modifié leurs pratiques étaient le manque de clarté des recommandations, les freins propres aux patientes et l'absence de matériel adapté à la pratique des nouveaux gestes. Conclusion - Un an après la publication des recommandations HAS de juillet 2019, une proportion importante des médecins interrogés déclarait avoir changé leurs pratiques après avoir eu connaissance des recommandations. Les résultats de notre étude pourraient mettre en évidence l'importance d'une communication claire des recommandations, du fait de disposer d'un matériel adapté aux nouvelles pratiques et de l'implication des patients dans le processus de changement des pratiques des médecins. Il serait intéressant d'approfondir ces hypothèses auprès d'un plus grand nombre de médecins généralistes et éventuellement sur différents domaines médicaux. Les résultats de ces travaux pourraient être pris en compte dans l'élaboration des processus d'accompagnement de la mise en œuvre des nouvelles recommandations, afin de mieux répondre aux besoins et problématiques des médecins et ainsi favoriser l'adhésion et la mise en pratique de ces recommandations.

Taux de participation au dépistage du cancer du col utérin sur 3 ans

Taux de participation au dépistage du cancer du col utérin sur 3 ans PDF Author: Anissa Kattiyavong-Hindi
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Languages : fr
Pages : 50

Book Description
Introduction : Le frottis cervico-utérin (FCU) est actuellement l'outil de dépistage de référence du cancer du col de l'utérus (CCU). Sa généralisation a permis une nette régression de l'incidence et du taux de mortalité du CCU, mais il subsiste des inégalités de dépistage en France. L'objectif de cette étude était d'évaluer l'influence du sexe du médecin généraliste (MG) et de sa pratique sur le taux de participation au dépistage du CCU. Méthodes : Étude épidémiologique descriptive réalisée sur 2 périodes du 1er mars 2015 au 23 janvier 2017 auprès de 343 MG rattachés à la Caisse Primaire d'Assurance Maladie (CPAM) des Flandres. Un sondage téléphonique chez les médecins inclus a pwwwwwwwwwwwwwwwwwermis de statuer sur la pratique par le médecin du FCU. La base de données de la CPAM a fourni les caractéristiques des MG (sexe, nombre de patientes âgées de 25-65ans et celles ayant un remboursement de FCU, cotation du FCU). Elle a été enrichie par l'indice de défavorisation européen (EDI) et l'offre de soins gynécologiques de l'aire d'installation du MG. Résultats : Le taux de réponse des MG interrogés était de 98,6%. Le taux de participation moyen au dépistage du CCU était de 50,1 %. Ce dernier était plus élevé si le MG était une femme (p=0,0011), qui réalisait (p=0,0058) et cotait les frottis (p=0,0009). Toutefois, cette association n'était plus vérifiée en analyse multivariée pour le sexe du médecin (p=0,0530) et la pratique du FCU (p=0,0822), mais restait significative sur la cotation du frottis (p=0,0007). Conclusion : Le sexe du MG n'influençait pas le taux de dépistage du CCU par FCU de sa patientèle alors que la cotation de l'acte était associée à un meilleur taux de dépistage. Une plus forte implication des MG dans la stratégie de dépistage du CCU par le FCU ou d'autres méthodes (test HPV etc.) est primordiale pour réduire les inégalités de santé.

Place du médecin généraliste dans le dépistage du cancer du col de l'utérus

Place du médecin généraliste dans le dépistage du cancer du col de l'utérus PDF Author: Claire Marie
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Languages : fr
Pages : 188

Book Description
Introduction:Le dépistage du cancer du col de l’utérus permet d’en faire diminuer la mortalité. Cependant il existe à l’heure actuelle des disparités de couverture, en raison du caractère opportuniste de ce dépistage mais également, des insuffisances de l’offre de soins et des facteurs individuels influant le comportement des femmes. Matériels et méthodes: Nous avons étudié la place de la gynécologie dans l’activité de 56 médecins généralistes de l’agglomération dunkerquoise ainsi que les habitudes de suivi gynécologique de leurs patientes regroupées dans un échantillon de 489 femmes, afin de déterminer si le médecin généraliste peut coordonner le dépistage du cancer du col de l’utérus. Résultats:Du côté des médecins, bien qu’une importante proportion effectue des frottis, le manque de formation et de temps, le défaut de matériel et l’absence de demande sont les facteurs limitants de la pratique du FCU en cabinet de médecine générale. La revalorisation de ce geste technique ne semble pas suffisamment motivante pour changer leurs attitudes à l’égard du dépistage du cancer du col utérin. Du côté des patientes et de leur suivi gynécologique, bien que le médecin traitant soit le premier praticien consulté pour l’initiation et le renouvellement de contraception, ou pour un problème de santé d’ordre gynécologique jugé urgent, seulement 19% des femmes font réaliser leur FCU par un omnipraticien. Ces comportements sont liés à un manque d’information voire un manque de confiance sur la capacité du médecin à pratiquer ce geste technique. Conclusion: La levée de certains freins par une meilleure information des patientes sur ce cancer et les compétences de leur médecin traitant en matière de gynécologie d’une part, et par une meilleure formation des médecins généraliste d’autre part, peut, en plus de la mise en place d’un programme organisé national, contribuer à améliorer le dépistage.

Le dépistage du cancer du col de l'utérus

Le dépistage du cancer du col de l'utérus PDF Author: Bernard Blanc
Publisher: Springer Science & Business Media
ISBN: 9782287220838
Category : Medical
Languages : fr
Pages : 184

Book Description
Chaque année, le cancer du col utérin tue environ 1000 personnes en France ; ce qui le place au cinquième rang par sa mortalité et au huitième rang des cancers féminins. S'il n'est pas possible d'éradiquer le cancer du col, une campagne nationale de dépistage doit permettre de réduire de façon très importante sa fréquence. Cet ouvrage détaille l'histoire naturelle du cancer du col, son incidence et sa mortalité, les différents aspects du dépistage : principes généraux, le programme de dépistage français, les différents types de frottis, la recherche et l'apport du test HPV, la conduite à tenir devant un frottis anormal, la place de la colposcopie et le suivi des femmes traitées.