Évaluation de la prévalence du syndrome d'épuisement professionnel chez les internes de pédiatrie en période d'épidémie à SARS-COV2 PDF Download

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Évaluation de la prévalence du syndrome d'épuisement professionnel chez les internes de pédiatrie en période d'épidémie à SARS-COV2

Évaluation de la prévalence du syndrome d'épuisement professionnel chez les internes de pédiatrie en période d'épidémie à SARS-COV2 PDF Author: Ludovic Tréluyer
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Languages : fr
Pages : 36

Book Description
Introduction : l'objectif principal de l'étude était d'évaluer la prévalence du syndrome d'épuisement professionnel chez les internes de pédiatrie français durant l'épidémie de coronavirus 2019 (COVID-19). L'objectif secondaire était d'identifier les facteurs associés au syndrome d'épuisement professionnel dans cette population. Matériel et méthodes : une enquête nationale transversale a été réalisée durant la première semaine du mois de mai 2020. Le questionnaire était envoyé à tous les internes de pédiatrie français. La prévalence du syndrome d'épuisement professionnel était évaluée avec la version validée en langue française du Maslach Burnout Inventory - Human Services Survey. Le questionnaire contenait également des items sur les caractéristiques sociodémographiques et la situation professionnelle des internes de pédiatrie. Résultats : trois cent quarante internes ont répondu au questionnaire. La prévalence du syndrome d'épuisement professionnel dans la population était de 37,4% (127/340). Il n'y avait pas d'association entre le syndrome d'épuisement professionnel et les perturbations de l’organisation professionnelle dues à la COVID-19. Le temps de travail hebdomadaire et l’anxiété professionnelle étaient significativement associés au syndrome d'épuisement professionnel. Conclusion : la prévalence élevée du syndrome d'épuisement professionnel est préoccupante chez les internes de pédiatrie et celle-ci ne peut être attribuable à l'épidémie de COVID-19. Des actions de prévention devraient être mises en place.

Évaluation de la prévalence du syndrome d'épuisement professionnel chez les internes de pédiatrie en période d'épidémie à SARS-COV2

Évaluation de la prévalence du syndrome d'épuisement professionnel chez les internes de pédiatrie en période d'épidémie à SARS-COV2 PDF Author: Ludovic Tréluyer
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Languages : fr
Pages : 36

Book Description
Introduction : l'objectif principal de l'étude était d'évaluer la prévalence du syndrome d'épuisement professionnel chez les internes de pédiatrie français durant l'épidémie de coronavirus 2019 (COVID-19). L'objectif secondaire était d'identifier les facteurs associés au syndrome d'épuisement professionnel dans cette population. Matériel et méthodes : une enquête nationale transversale a été réalisée durant la première semaine du mois de mai 2020. Le questionnaire était envoyé à tous les internes de pédiatrie français. La prévalence du syndrome d'épuisement professionnel était évaluée avec la version validée en langue française du Maslach Burnout Inventory - Human Services Survey. Le questionnaire contenait également des items sur les caractéristiques sociodémographiques et la situation professionnelle des internes de pédiatrie. Résultats : trois cent quarante internes ont répondu au questionnaire. La prévalence du syndrome d'épuisement professionnel dans la population était de 37,4% (127/340). Il n'y avait pas d'association entre le syndrome d'épuisement professionnel et les perturbations de l’organisation professionnelle dues à la COVID-19. Le temps de travail hebdomadaire et l’anxiété professionnelle étaient significativement associés au syndrome d'épuisement professionnel. Conclusion : la prévalence élevée du syndrome d'épuisement professionnel est préoccupante chez les internes de pédiatrie et celle-ci ne peut être attribuable à l'épidémie de COVID-19. Des actions de prévention devraient être mises en place.

Prévalence en 2022 du syndrome d'épuisement professionnel (burn-out) chez les internes de médecine générale de Besançon à la suite de la pandémie du COVID-19

Prévalence en 2022 du syndrome d'épuisement professionnel (burn-out) chez les internes de médecine générale de Besançon à la suite de la pandémie du COVID-19 PDF Author: Yasin Toprak
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Languages : fr
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Prévalence en 2022 du syndrome d'épuisement professionnel (burn-out) chez les internes de médecine générale de Besançon à la suite de la pandémie du COVID-19 Contexte : L· évaluation des risques psycho-sociaux du personnel de soins est un enjeu majeur pour une qualité de soins optimale. Ces risques, sïls ne sont pas considérés. peuvent entraîner un épuisement ultime : le burn-out. Le Maslach Burnout lnventory (MBI) permet de calculer un score évaluant le degré de burn-out, cet outil comprend trois dimensions : l'épuisement émotionnel (EE). la dépersonnalisation (DP) et l'accomplissement personnel (AP). Les internes de médecine générale ont vécu la pandémie de coronavirus, il serait intéressant gràce à cet outil. déjà utilisé dans cette population. de comparer leurs degrés de burn-out après l'épidémie. Objectifs : L'objectif principal de l'étude est d'estimer la prévalence, en 2022. du syndrome d'épuisement professionnel (burn-out) chez les internes en médecine générale de la faculté de médecine de Besançon à raide du questionnaire MBI. Les objectifs secondaires sont de rechercher des facteurs de risques du burn-out et des facteurs liés au vécu de la pandémie, de comparer les résultats avec les données de la thèse d'A.Borey et d"analyser les commentaires. Méthodes: réalisation d"une étude épidémiologique descriptive. observationnelle. transversale, monocentrique réalisée par un auto-questionnaire, envoyé par courrier électronique. distribué par fascicule. affiché dans les services de garde et publié sur un groupe de discussion d'internes de médecine générale. Résultats : Le taux de réponse était de 46% (] 07/233). Cinquante-six pour cent des internes présentaient au moins une sous-dimension pathologique au MBl. La sous-dimension EE élevé est présente pour 23%. DP élevé pour 41 %. AP bas pour 13% des internes. Les principaux facteurs associés au burn-out dans notre étude étaient le nombre de garde élevé. le manque de temps consacré à son entourage. le manque de confiance dans ses connaissances théoriques nécessaires à la pratique et le sentiment d'être menacé par le burn-out. Les deux différences significatives entre les internes en burn-out en 2017 et ceux en 2022 sont que ces derniers consacraient plus de temps pour leurs loisirs et ils consommaient plus de drogues autres que le cannabis. cela de manière épisodique et aucun ·n en consommait en continu. Discussion: la prévalence du bum-out diminue depuis 2017. la plupart des conditions défavorables s'amélioreraient. Mais certains facteurs liés au vécu relationnel et lïnquiétude concernant la formation persistaient. Une part encore importante des internes de médecine générale présenterait un bum-out. La crise Covid n'aurait pas eu d"impact par son intensité mais par la conséquence sur la formation et le vécu personnel. La part d'internes en épuisement émotionnel et dépersonnalisation était plus élevée que celle en accomplissement personnel. Selon la théorie de Maslach et Jackson, nous étions probablement dans la phase précoce du bum-out pour notre population étudiée et sa prévalence pourrait augmenter. Il serait intéressant de suivre une population sur toute la durée de l'internat. Le taux de réponse de 46% (n =107) est à prendre en compte pour analyser les résultats. Conclusion : Certains facteurs de burn-out sembleraient ·s améliorer pour les internes mais leurs conditions de travail change proche avec la réforme de la 4ème année.

Syndrome d'épuisement professionnel (burn-out) chez les internes de spécialité hors médecine générale en Franche-Comté en période post-COVID en 2022

Syndrome d'épuisement professionnel (burn-out) chez les internes de spécialité hors médecine générale en Franche-Comté en période post-COVID en 2022 PDF Author: Margaux Raimbault
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Syndrome d'épuisement professionnel (burn-out) chez les internes de spécialité hors médecine générale en Franche-Comté en période post-COVID en 2022. Introduction : En 2019, une étude sur le syndrome d'épuisement professionnel des internes de spécialité hors médecine générale (ISHMG) de l'UFR Santé de Besançon a été réalisée. Après la pandémie de COVID-19, quelle est la prévalence de cette affectation dans cette population ? Quels sont les facteurs associés à l'épuisement professionnel dans cette population? Sont-ils les mêmes que ceux identifiés avant la pandémie 7 Méthodes : Une étude observationnelle, épidémiologique, descriptive. transversale, monocentrique a été menée à l'aide d'un auto-questionnaire adressé aux ISHMG en Franche Comté sur la période de mai à novembre 2022. L'évaluation du syndrome d'épuisement professionnel a été réalisée à partir du Maslach Burnout lnventory (MBI). Résultats/Discussion: Le taux de réponse au questionnaire était de 33% (101/305). Parmi eux, 80,2% étaient en burn-out contre 67,4% avant la pandémie de COVID-19. Les scores pathologiques étaient respectivement de 37,6% pour le score d'épuisement émotionnel (EE), 54,5% pour le score de dépersonnalisation (DP) et 47,5% pour le score d'accomplissement professionnel (AP). Les facteurs ayant un lien statistique avec le burn-out dans notre population étaient le manque de reconnaissance de la part des patients, le manque de temps consacré à l'entourage ainsi qu'aux loisirs, l'envie de quitter sérieusement la médecine, des connaissances théoriques insuffisantes et peu adaptées pour la pratique, la consommation de tabac et de psychotropes, le sentiment de menace par le burn-out et la survenue d'idées suicidaires. Les facteurs de burn-out différents entre la période pré-COVID et post-COVID étaient le nombre de gardes, le reconnaissance de la part des soignants, le sentiment de menace par le burn-out, la consommation de psychotropes, le recours à un psychiatre, la survenue d'idées suicidaires, les tentatives de suicide, le recours aux arrêts de travail et la connaissance des structures d'aide. Le seul facteur associé auburn-out en lien avec la période COVID était la vie personnelle affectée. Conclusion : Le burn-out semble concerner une forte proportion de la population d'ISHMG de Franche-Comté et paraît en augmentation entre la période pré-COVID et post-COVID

Syndrome d'épuisement professionnel et qualité de vie des internes de Médecine Générale de Mayotte et La Réunion

Syndrome d'épuisement professionnel et qualité de vie des internes de Médecine Générale de Mayotte et La Réunion PDF Author: Louis Baratié
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Introduction : Depuis le début de la crise sanitaire du Sars-Cov2, la santé des soignants anime particulièrement le débat public. La prise en charge de ces professionnels représente un réel enjeu de santé publique. Aucun travail n'avait déjà étudié l'épuisement professionnel des internes à Mayotte ni mesuré l'évolution du phénomène à la Réunion. L'objectif principal est d'évaluer la prévalence du syndrome d'épuisement professionnel des internes de médecine générale de la subdivision Océan Indien. Méthode : Il s'agissait d'une étude épidémiologique descriptive de type quantitatif réalisée auprès des internes de médecine générale de Mayotte et La Réunion. L'épuisement était mesuré par le questionnaire Maslach Burnout Inventory, la qualité de vie par le questionnaire WHOQOL-BREF validé par l'OMS et par une échelle visuelle analogique. Le syndrome d'épuisement professionnel était complet si ses trois sous-dimensions étaient atteintes. Résultats : La prévalence du syndrome d'épuisement complet était de 13.6%. L'épuisement bi- et unidimensionnel représentaient respectivement 26.1% et 54.5% de l'échantillon inclus. L'épuisement émotionnel élevé affectait 30.7% des participants, la dépersonnalisation élevée 46.6% et l'accomplissement personnel bas 19.3%. La qualité de vie médiane était de 8.0 [7.0 ; 9.0] selon l'échelle analogique et de 72% [52 ; 80] selon le WHOQOL-BREF5. Conclusion : La prévalence de l'épuisement complet des internes de la subdivision a quasiment doublé entre 2015 et 2021 (respectivement 7% et 13.6%). L'épuisement émotionnel ainsi que la dépersonnalisation ont progressé, tandis que l'accomplissement personnel et la qualité de vie se sont améliorés.