Etude qualitative sur l'impact social de la pandémie Covid-19 chez les enfants de six à onze ans en Franche-Comté d'après le vécu des enseignantes PDF Download
Are you looking for read ebook online? Search for your book and save it on your Kindle device, PC, phones or tablets. Download Etude qualitative sur l'impact social de la pandémie Covid-19 chez les enfants de six à onze ans en Franche-Comté d'après le vécu des enseignantes PDF full book. Access full book title Etude qualitative sur l'impact social de la pandémie Covid-19 chez les enfants de six à onze ans en Franche-Comté d'après le vécu des enseignantes by Emilie Colnot Breune. Download full books in PDF and EPUB format.
Book Description
Introduction : l'enfance représente une étape fondamentale dans le développement. Le confinement a entraîné la suspension des liens sociaux essentiels à l'épanouissement des enfants, tout comme la perturbation des instances d'éducation et d'apprentissage. Objectif : vécu des enseignantes concernant l'impact social de la pandémie de COVID-19 chez les enfants de six à onze ans en Franche-Comté. Méthode : étude qualitative auprès des enseignantes de Franche comté par entretiens individuels semi-dirigés entre mai et juillet 2023. Résultats : dans notre étude, les enseignantes exprimaient huit champs dans lesquels la pandémie de COVID-19 a eu une répercussion sur la vie sociale des enfants scolarisés en école élémentaire. Leur vécu de cette crise sanitaire et leurs conditions de vie lors du premier confinement ont été divers, impactant différemment leur vie sociale par la suite. Les gestes barrières ont eu un impact sur le moment mais n'ont pas eu de retentissement flagrant sur le long terme. La scolarité a été perturbée au début de cette période, entraînant initialement des difficultés supplémentaires dans leurs apprentissages. Le comportement a été - et est toujours - plus difficile chez certains enfants suite à la pandémie. La socialisation avec le monde extérieur a été limitée au début de cette période, l'allègement des mesures sanitaires a permis de reprendre une vie sociale similaire à celle pré-pandémique. Cette pandémie a entraîné une augmentation de l'exposition aux écrans provoquant des retentissements négatifs sur le long terme chez les enfants. Enfin, cette période a eu des impacts psychiques et physiques sur leur santé. Conclusion : notre étude met en avant l'hétérogénéité des avis des enseignantes à ce sujet. Le début de cette crise sanitaire a été vécu de manière variée pour les enfants, en raison de leurs conditions de vie différentes. Des retentissements à long terme étaient exprimés par les enseignantes telles que des difficultés aux niveaux des apprentissages, aux niveaux des comportements et l'augmentation de l'exposition aux écrans chez les enfants. Des études supplémentaires, au niveau national et s'intéressant à d'autres populations, seraient constructives pour étayer ces résultats.
Book Description
Introduction : l'enfance représente une étape fondamentale dans le développement. Le confinement a entraîné la suspension des liens sociaux essentiels à l'épanouissement des enfants, tout comme la perturbation des instances d'éducation et d'apprentissage. Objectif : vécu des enseignantes concernant l'impact social de la pandémie de COVID-19 chez les enfants de six à onze ans en Franche-Comté. Méthode : étude qualitative auprès des enseignantes de Franche comté par entretiens individuels semi-dirigés entre mai et juillet 2023. Résultats : dans notre étude, les enseignantes exprimaient huit champs dans lesquels la pandémie de COVID-19 a eu une répercussion sur la vie sociale des enfants scolarisés en école élémentaire. Leur vécu de cette crise sanitaire et leurs conditions de vie lors du premier confinement ont été divers, impactant différemment leur vie sociale par la suite. Les gestes barrières ont eu un impact sur le moment mais n'ont pas eu de retentissement flagrant sur le long terme. La scolarité a été perturbée au début de cette période, entraînant initialement des difficultés supplémentaires dans leurs apprentissages. Le comportement a été - et est toujours - plus difficile chez certains enfants suite à la pandémie. La socialisation avec le monde extérieur a été limitée au début de cette période, l'allègement des mesures sanitaires a permis de reprendre une vie sociale similaire à celle pré-pandémique. Cette pandémie a entraîné une augmentation de l'exposition aux écrans provoquant des retentissements négatifs sur le long terme chez les enfants. Enfin, cette période a eu des impacts psychiques et physiques sur leur santé. Conclusion : notre étude met en avant l'hétérogénéité des avis des enseignantes à ce sujet. Le début de cette crise sanitaire a été vécu de manière variée pour les enfants, en raison de leurs conditions de vie différentes. Des retentissements à long terme étaient exprimés par les enseignantes telles que des difficultés aux niveaux des apprentissages, aux niveaux des comportements et l'augmentation de l'exposition aux écrans chez les enfants. Des études supplémentaires, au niveau national et s'intéressant à d'autres populations, seraient constructives pour étayer ces résultats.
Author: David Angonin Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 0
Book Description
Introduction : l'enfance représente une étape fondamentale dans le développement. Le confinement a entraîné la suspension des liens sociaux essentiels à l'épanouissement des enfants, tout comme la perturbation des instances d'éducation et d'apprentissage Objectif : vécu des parents concernant l'impact social de la pandémie de COVID-19 chez les enfants de six à onze ans en Franche-Comté Méthode : Etude qualitative auprès des parents de Franche-Comté par entretiens individuels semi-dirigés entre mai et septembre 2023 Résultats : dans notre étude, les parents exprimaient sept champs dans lesquels la pandémie de COVID-19 a eu une répercussion sur la vie sociale des enfants. L'inégalité d'environnement pendant les confinements a créé des différences de vécus de la crise sanitaire ainsi que dans ses répercussions à long terme. La pandémie a également eu des impacts sur le corps, se manifestant par des troubles somatiques, une prise de poids et des modifications dans les interactions physiques. La sédentarité a augmenté, avec une majoration du temps passé devant les écrans et une diminution des activités physiques. Une augmentation significative des craintes a été observée. Certains parents ont eu la sensation que rien n'avait changé et que leurs enfants avaient retrouvé leur vie d'avant la pandémie. La pandémie a aussi eu un impact sur les apprentissages, tant positifs que négatifs. Après la période de COVID-19, un regain marqué dans les interactions sociales a été observé. Conclusion : Notre étude met en avant l'hétérogénéité des avis des parents à ce sujet. Le début de cette crise sanitaire a été vécu de manière variée pour les enfants, en raison de leurs conditions de vie différentes. Des retentissements à long terme étaient exprimés par les parents telles que des difficultés aux niveaux des apprentissages, aux niveaux des comportements et l'augmentation de l'exposition aux écrans chez les enfants. Des études supplémentaires, au niveau national et s'intéressant à d'autres populations, seraient constructives pour étayer ces résultats.
Book Description
Introduction : la pandémie de COVID-19 a projeté notre pays dans une réalité à laquelle il était loin d'être préparé. Chaque être humain aura été concerné par cette crise sans précédent dans l'histoire. Une des premières mesures urgentes envisagées en France fut la fermeture de toutes les écoles, ne sachant pas encore si les enfants étaient fortement contaminés ou contaminants. Au moment où la France se prépare à affronter la seconde vague de SARS-CoV-2, nous avons mené une étude sur l'impact du premier confinement chez les enfants de maternelle (3 à 6 ans) au niveau du département du Vaucluse à travers le regard des médecins de PMI et des enseignants d'école maternelle. Matériel et Méthode : il s'agit d'une étude transversale descriptive, réalisée à partir de données recueillies par des questionnaires en ligne auprès des médecins de PMI ainsi que des professeurs de maternelle du Vaucluse. Résultats et discussion : si les enfants sont en grande partie épargnés par l'épidémie, ils ont subi les conséquences du confinement et de l'anxiété généralisée. La promiscuité et le rapprochement familial ont engendré une montée des violences intrafamiliales. L'attention, le poids ainsi que le sommeil, trois déterminants essentiels dans le développement d'un enfant de 3 à 6 ans, ont été impactés. Il est retrouvé, à la rentrée de septembre 2020, plus d'enfants porteurs de troubles de l'attention, davantage d'enfants à surveiller au niveau des acquisitions et une majoration d'élèves présentant une difficulté inhabituelle à passer vers le niveau scolaire supérieur. Il faut ajouter à cela des retards de diagnostic et de prise en charge. Ce confinement a accentué les inégalités entre les élèves. L'étude illustre la résilience et la capacité d'adaptation des jeunes enfants, moins impactés que leurs aînés. Les élèves ont trouvé de nombreux avantages au confinement : présence parentale à domicile, disponibilité paternelle accrue, soutien privilégié lors de la réalisation des activités scolaires, diminution de la pression sociale, renforcement du lien d'attachement ; c'est le « confinement-cocoonant ». Au-delà du risque sanitaire, c'est la répétition et l'effet cumulatif des mesures coercitives qui risquent de perturber fortement l'équilibre psychique des parents. Les petits, miroir des grands, pourraient alors être plus touchés dans l'avenir.
Book Description
En 2020, les français ont été confinés en raison de la pandémie à Covid-19, qui a brutalement bouleversé le quotidien de toute la population. Cette étude qualitative a décrit les effets de la pandémie et du confinement de mars 2020 sur les enfants bas-rhinois de moins de 6 ans, et a comparé les vécus des familles selon leur mode de vie. D'une part, la situation a eu un impact important sur les familles. Les enfants ont manifesté des signes évocateurs de mal-être et d'anxiété, ont présenté des troubles du sommeil et ont majoré leur temps passé devant les écrans. Les parents ont admis avoir été plus tendus avec leur enfant. D'autre part, le confinement a été vécu de façon positive pour certaines familles qui y ont vu un temps donné inattendu. Il a alors permis à certains de renforcer les lien familiaux. L'ensemble des familles a donc présenté des troubles au cours du confinement, mais à des degrés différents, certaines familles ayant été plus vulnérables que d'autres face à la situation.
Author: Justine Le Cam Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 89
Book Description
Introduction : Le 11 mars 2020, le Sars-cov2 est décrit comme pandémie par l'OMS. Plusieurs études mettent en évidence que cette épidémie a des conséquences plus importantes tant sur le plan socio-économique, que sanitaire au sein des populations précaires. L'objectif de notre étude était d'étudier l'impact de la Covid 19, au sein de populations en situation de précarité sociale, à partir de l'expérience des professionnels et bénévoles, travaillant au quotidien auprès d'elles. Il s'agissait d'identifier les difficultés rencontrées dans l'organisation de leur prise en charge, mais aussi les leviers permettant de la faciliter. Méthodes : Étude qualitative, réalisée par deux enquêtrices internes en médecine générale. Des entretiens ont été menés auprès de professionnels et bénévoles appartenant au secteur médico-social, entre juillet et septembre 2021. Ils étaient individuels et semi-directifs, élaborés à partir d'un guide d'entretien réalisé au préalable. Retranscription des entretiens, puis analyse selon le modèle de phénoménologie interprétative. Le périmètre de l'étude était la région nantaise. Résultats : Dix entretiens ont été effectués. Notre étude souligne que tous les intervenants du médico-social ont été surpris par cette situation épidémique inédite, mais aussi inquiets des répercussions de cette maladie sur les populations précaires. Les différents acteurs vont ainsi rapidement agir ensemble, pour lutter contre la propagation du virus. Des actions de prévention, de dépistage, mais aussi des propositions d'isolement, vont être mises en place pour ces populations. Malgré toutes ces aides, l'épidémie de la COVID 19 est une expérience douloureuse pour les personnes précaires et les différents intervenants. Elle aura aussi permis une mise en lumière de ces difficultés, ainsi des missions professionnelles se développent, dans un milieu où habituellement, ce sont les associations qui jouent un rôle prépondérant. Conclusion : Notre étude a montré que la pandémie du COVID 19 a été une période éprouvante pour les personnes en situation de précarité. Il a fallu faire face aux craintes vis-à-vis du virus, ainsi qu'aux conséquences néfastes d'une contamination (perte de logement, isolement etc.). Ces problématiques ont été mises en lumière, et rendent ainsi visible la grande précarité aux yeux de la société. Des moyens ont été mis en œuvre pour financer des projets afin de lutter contre ces inégalités. Notre étude soulève cependant des interrogations quant à la prise en charge des personnes précaires, et notamment sur la place du bénévolat et l'investissement des pouvoirs politiques. On peut légitimement se demander, si une fois la période de crise terminée, la précarité restera au centre des programmes de santé publique.
Book Description
La pandémie de COVID-19 est apparue en France au début de l'année 2020. Etant donné la rapide propagation du virus, les services de réanimation ont été rapidement saturé dans certaines régions, nécessitant la mise en place des transferts sanitaires. L'objectif de cette étude est d'évaluer l'impact psychologique du transfert chez les patients atteint d'une forme sévère du COVID-19 et chez leur proche. Nous avons utilisé une méthode qualitative descriptive, en menant des entretiens semi-dirigés par téléphone avec des patients transférés et des proches de patients lorsque les patients acceptaient. Nous avons ensuite mené une analyse descriptive, avec triangulation par deux investigatrices associées. Nous avons contacté la totalité des patients transférés non-décédés pour lesquels un numéro de téléphone était disponible dans la base SI-VIC, soit au total 52 patients. Nous avons pu réaliser 31 entretiens, patient et proche confondus, évaluant 21 situation de transfert. L'analyse thématique des entretiens a mis en évidence 5 thèmes. D'une part, le transfert était perçu comme une chance pour le patient et sa famille, et notre étude révèle qu'il occasionnait un impact psychologique peu marqué. Cependant un certain nombre de difficulté ont pu être rapporté. En effet, il semblerait que la distance provoquée par le transfert soit vécue plus difficilement par les proches que par les patients, et que des nouvelles régulières permettaient d'améliorer le vécu de la distance, l'acceptation ainsi que la bonne tolérance du transfert. De plus, une mauvaise communication aussi bien avec le patient qu'avec la famille, mais également le manque d'anticipation des informations, provoquée par exemple par une annonce du transfert dans certains cas réalisée après le transfert en lui-même, ont été relevée dans cette étude. Pour finir, des problèmes dans l'organisation du transfert ont été rapporté, concernant les affaires du patient et le trajet du retour. L'impact psychologique du transfert sur les patients et leurs proches, tel qu'il est évalué au moment de l'interview, semblait peu marqué. Le transfert a été essentiellement vécu comme une chance, un signe de stabilité de l'état clinique ou une opportunité d'être pris en charge dans des régions moins touchées par l'épidémie de la COVID-19. Le trajet lui-même a été bien vécu et la prise en charge dans l'hôpital d'accueil était considérée comme très satisfaisante.
Book Description
L'année 2020 a été marquée par l'apparition d'une nouvelle souche de coronavirus particulièrement virulente, le Sars-Cov2 ou COVID-19, responsable de la pandémie de syndrome respiratoire la plus meurtrière du XXIème siècle. Afin de limiter la propagation virus et d'éviter la sursaturation de nos systèmes de soins, un confinement national a été instauré en France du 17 mars 2020 au 11 mai 2020 et il a généré un bouleversement de nos modes de vie, notamment par les mesures inédites d'isolement qui en ont découlé. Nous avons réalisé une étude qualitative par IPA afin d'évaluer le vécu et l'impact de ce confinement sur la santé des adolescents. Notre étude met en évidence une altération de la santé avant tout mentale des adolescents et l'apparition d'une détresse émotionnelle chez nombre d'entre eux. Ces conséquences psychologiques néfastes peuvent avoir des effets à long terme sur la santé des adolescents.
Book Description
Introduction : en France, le premier confinement lié au COVID-19 a suscité de nombreuses inquiétudes concernant le risque accru de maltraitance des enfants. Chez les jeunes enfants, le traumatisme crânien est la principale cause de décès lié à la maltraitance. L'hématome sous dural (HSD) est la pathologie la plus fréquemment associée au traumatisme crânien non accidentel (TCNA). Dans une enquête nationale française, nous avons analysé l'impact de la première année de pandémie COVID-19 sur l'incidence des hospitalisations pour maltraitance d'enfants avec HSD, par rapport aux deux années précédentes. Matériel et méthode : cette étude rétrospective, nationale était réalisée à partir des données du PMSI et des codes de la CIM-10 pour les HSD et pour la maltraitance des enfants. Les enfants âgés jusqu'à 24 mois avec un diagnostic de maltraitance et/ou d'HSD étaient inclus suite à une hospitalisation entre le 1er janvier 2018 et le 31 décembre 2020. Nous avons comparé l'incidence de la maltraitance, l'incidence des HSD + maltraitance et les données démographiques pour les années 2018,2019 et 2020. Résultats : il n'y avait pas de différence significative concernant le nombre d'hospitalisations pour maltraitance ou HSD + maltraitance entre 2020 et les années de contrôle 2018/2019. L'incidence d'HSD + maltraitance envers les enfants était plus élevée chez les garçons. Il y avait significativement plus d'hospitalisations en mai 2020 (p=0,01) et moins d'hospitalisations en décembre 2020 (p=0,03), par rapport aux mêmes mois des deux années précédentes. Il y avait une tendance non significative vers une plus faible incidence d'hospitalisations pour maltraitance d'enfant en 2020 par rapport à 2019 (-6,4%) et 2018 (-7,6%). Discussion/Conclusion : en considérant les enfants de moins de 24 mois, l'incidence des hospitalisations en France pour HSD dans le cadre de la maltraitance de l'enfant n'était pas significativement plus élevée en 2020 que lors des deux années précédentes.
Book Description
Les infections invasives à Streptocoque du Groupe A (SGA) sont parmi les plus sévères chez l'enfant. Elles sont responsables d'une grande variété de manifestations cliniques. Parmi les différents facteurs de virulence, la protéine M, codée par le gène emm, joue un rôle majeur dans la pathogenèse des infections à SGA et sert de marqueur épidémiologique de référence pour identifier les souches. Plusieurs facteurs de risques d'infections Invasives à SGA chez l'enfant ont été identifiés et des études récentes suggèrent un lien entre infections à SGA et infection virale respiratoire récente. Au décours de la pandémie de COVID-19, l'hiver 2022 a été marqué par une augmentation sans précédent du nombre de cas d'infections invasives à SGA chez l'enfant dans plusieurs pays. L'objectif de notre étude était d'évaluer l'impact des interventions non pharmaceutiques (INP) mise en place dans la lutte contre le COVID 19 sur l'évolution des infections invasives à SGA. Les objectifs secondaires de cette étude étaient de comparer les caractéristiques cliniques et microbiologiques des patients entre les périodes pré et post INP Méthodes : Une étude observationnelle rétrospective a été menée au Centre Hospitalier Universitaire Robert Debré à Paris incluant tous les enfants âgés de moins de 18 ans avec un diagnostic d'infection invasive à SGA entre le 1er Janvier 2008 et le 31 Mars 2023. Les cas ont été identifiés à partir des prélèvements recueillis au laboratoire de microbiologie de l'hôpital Une analyse de série chronologique interrompue a été ensuite conduite pour évaluer l'impact de la mise en place et levée des interventions non pharmaceutiques. Les caractéristiques cliniques et biologiques des patients ont été obtenus après analyse des dossiers médicaux. Le génotypage des souches a été réalisé dans le laboratoire de Microbiologie. Résultats : Un total de 146 patients avec une infection invasive à SGA a été inclus dans l'étude. Parmi eux, 84 ont bénéficié d'un génotypage bactérien. Avant la pandémie de COVID 19, le nombre d'infections invasives à SGA rapportés au nombre trimestriel d'hospitalisation était relativement stable. Notre étude montre que la mise en place des INP a été associée à une diminution significative du taux d'infections invasives à SGA (-94.6%, IC 950/0 (86.5 à 102.6) ; p
Author: Emilie Colnot Breune
Author: Emilie Colnot Breune
Author: David Angonin
Author: Clément Cézanne
Author: Johannie Durrheimer
Author: Justine Le Cam
Author: Juliette Cheucle
Author: Joane Lenig
Author: Fiorella Caron
Author: Yannis Lassoued
Author: Rajesh Tandon