Etat des lieux des prescriptions de dispositifs intra-utérins par les médecins généralistes, sages-femmes et gynécologues obstétriciens et médicaux de Bourgogne-Franche-Comté PDF Download
Are you looking for read ebook online? Search for your book and save it on your Kindle device, PC, phones or tablets. Download Etat des lieux des prescriptions de dispositifs intra-utérins par les médecins généralistes, sages-femmes et gynécologues obstétriciens et médicaux de Bourgogne-Franche-Comté PDF full book. Access full book title Etat des lieux des prescriptions de dispositifs intra-utérins par les médecins généralistes, sages-femmes et gynécologues obstétriciens et médicaux de Bourgogne-Franche-Comté by Pauline Guéniat. Download full books in PDF and EPUB format.
Book Description
Si le DIU est actuellement reconnu comme méthode de contraception de première intention par les sociétés savantes il reste à ce jour peu prescrit. En effet, en France seulement 25% des femmes en âge de procréer utilisent cette méthode. De nombreuses réticences persistent quant à leur utilisation. De plus devant une multitude de modèles de DIU et l'absence de réelles directives quant au choix du modèle, la prescription de DIU peut apparaître comme délicate.Objectifs. L'objectif de cette étude d'évaluation des pratiques était d'obtenir un état des lieux des prescriptions actuelles de DIU par les médecins généralistes, sages-femmes et gynécologues-obstétriques et médicaux de la région de Bourgogne-Franche-Comté. L'objectif secondaire était de proposer un guide pratique et simple d'aide à la prescription d'un DIU.Matériels et Méthodes. Nous avons réalisé un questionnaire en ligne, diffusé aux professionnels de santé par différents moyens (URPS, ordre des sages-femmes, réseaux sociaux, mailing liste). Sur 2800 envois, un total de 390 réponses a été obtenu, soit un taux de participation de 14 %. Résultats. Outre une certaine hétérogénéité des prescriptions de DIU entre les différents praticiens, cette étude a permis d'identifier trois principales idées reçues erronées. Les notions d'antécédent de grossesse extra utérine, de nulliparité et de consommation tabagique sont encore pour beaucoup, considérées comment des contre-indications (toutes spécialités confondues). Chez les médecins généralistes, les praticiens qui semblent prescrire le plus fréquemment cette contraception sont ceux ayant bénéficié de la meilleure formation dans le domaine gynécologique (semestre en centre agréé, participation au DU de gynécologie/obstétrique), la gente féminine, les praticiens exerçant en milieu urbain et les praticiens ayant le plus d'expériences (>10 ans de pratique).Conclusion. La prescription d'un DIU devrait actuellement être une pratique courante. Tout médecin généraliste se doit d'être compétent pour ce type de prescription.Cependant, pour la plupart des médecins généralistes de Bourgogne, cette prescription reste un acte épisodique, une fois par an majoritairement. De fausses idées persistent toujours.Pour répondre à cette difficulté de formation, nous avons produit un logigramme dans l'intention de le diffuser aux médecins généralistes de Bourgogne-Franche-Comté.
Book Description
Si le DIU est actuellement reconnu comme méthode de contraception de première intention par les sociétés savantes il reste à ce jour peu prescrit. En effet, en France seulement 25% des femmes en âge de procréer utilisent cette méthode. De nombreuses réticences persistent quant à leur utilisation. De plus devant une multitude de modèles de DIU et l'absence de réelles directives quant au choix du modèle, la prescription de DIU peut apparaître comme délicate.Objectifs. L'objectif de cette étude d'évaluation des pratiques était d'obtenir un état des lieux des prescriptions actuelles de DIU par les médecins généralistes, sages-femmes et gynécologues-obstétriques et médicaux de la région de Bourgogne-Franche-Comté. L'objectif secondaire était de proposer un guide pratique et simple d'aide à la prescription d'un DIU.Matériels et Méthodes. Nous avons réalisé un questionnaire en ligne, diffusé aux professionnels de santé par différents moyens (URPS, ordre des sages-femmes, réseaux sociaux, mailing liste). Sur 2800 envois, un total de 390 réponses a été obtenu, soit un taux de participation de 14 %. Résultats. Outre une certaine hétérogénéité des prescriptions de DIU entre les différents praticiens, cette étude a permis d'identifier trois principales idées reçues erronées. Les notions d'antécédent de grossesse extra utérine, de nulliparité et de consommation tabagique sont encore pour beaucoup, considérées comment des contre-indications (toutes spécialités confondues). Chez les médecins généralistes, les praticiens qui semblent prescrire le plus fréquemment cette contraception sont ceux ayant bénéficié de la meilleure formation dans le domaine gynécologique (semestre en centre agréé, participation au DU de gynécologie/obstétrique), la gente féminine, les praticiens exerçant en milieu urbain et les praticiens ayant le plus d'expériences (>10 ans de pratique).Conclusion. La prescription d'un DIU devrait actuellement être une pratique courante. Tout médecin généraliste se doit d'être compétent pour ce type de prescription.Cependant, pour la plupart des médecins généralistes de Bourgogne, cette prescription reste un acte épisodique, une fois par an majoritairement. De fausses idées persistent toujours.Pour répondre à cette difficulté de formation, nous avons produit un logigramme dans l'intention de le diffuser aux médecins généralistes de Bourgogne-Franche-Comté.
Book Description
Contexte : La contraception est un motif de recours fréquent en médecine générale. La France est un des pays où le taux de contraception est le plus élevé au monde, pourtant le nombre d'interruptions volontaires de grossesse reste stable. En France, 20% des femmes utilisent un dispositif intra-utérin pour leur contraception, mis en place le plus souvent par un gynécologue. Matériel et méthode : Analyse des pratiques des médecins généralistes et des gynécologues de Loire-Atlantique concernant la prescription et la pose des DIU par la réalisation d'un questionnaire téléphonique. Résultats : L'offre contraceptive en médecine générale est limitée : la plupart des médecins prescrivent la pilule, par contre une minorité prescrit des DIU ou des Implant progestatifs. Seuls 20% des médecins généralistes posent des DIU, moins de la moitié acceptent d'en proposer aux nullipares. La plupart des médecins évoquent un manque de pratique et une formation de qualité insuffisante. Conclusion : La majorité des médecins généralistes conserve des réticences, des lacunes concernant l'offre en matière de DIU. La formation proposée aux internes en médecine générale, puis aux médecins généralistes installés est à améliorer, pour permettre une bonne diffusion de cette méthode efficace et bien tolérée. Une action auprès des femmes pourrait également être bénéfique pour promouvoir le DIU.
Author: Pauline Guéniat
Author: Pauline Guéniat
Author: Lauriane Michelet-Bretaudeau