État des lieux des pratiques et des connaissances des sages-femmes réalisant le suivi prénatal en cas de présentation du siège en Champagne-Ardenne en 2020 PDF Download

Author: Mathilde Mance
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Languages : fr
Pages : 112

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En France, la présentation du siège concerne environ 4% des grossesses et représente un enjeu notamment au sujet de la voie d'accouchement. Les nouvelles recommandations du CNGOF publiées en 2020 ont pour but de guider le praticien dans sa prise en charge. L'accès à la voie basse lorsque les bonnes conditions sont réunies doit être encouragé. La VME doit être proposée à toute patiente en cas de présentation du siège. En fin de grossesse, il est également primordial d'informer au mieux les patientes pour leur permettre de faire un choix éclairé quant à la voie d'accouchement. Les sages-femmes ont un rôle dans cette prise en charge dans leur pratique du suivi prénatal. Une étude quantitative observationnelle à visée descriptive a été réalisée pour évaluer les pratiques et les connaissances des sages-femmes hospitalières et libérales réalisant le suivi prénatal en cas de présentation du siège, en région Champagne-Ardenne. Nous avons pu effectuer cet état des lieux à l'aide d'une enquête par questionnaires. Les 69 sages-femmes ayant répondu à notre enquête ont une pratique clinique variée lors et pour le diagnostic de la présentation du siège. Seulement 40,6% des sages-femmes ont connaissance des nouvelles recommandations du CNGOF. En revanche, elles dispensent en majorité une information médicale complète et conforme aux recommandations. Les sages-femmes ont une place dans le suivi prénatal de la présentation du siège ainsi que dans les enjeux évoqués par le CNGOF dans ses nouvelles recommandations sur la présentation du siège.

Author: Céline Canon
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Pages : 106

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La sage-femme intervient de plus en plus dans le suivi de grossesse depuis 2004. L’étude menée dans ce mémoire à pour but de connaître les pratiques et la place des sages-femmes lors de la première consultation prénatale, avant 15 semaines d’aménorrhées révolues. Notre étude a été réalisée par questionnaires auto-administrés, fin 2013. L’analyse porte sur 110 sages-femmes pratiquant des premières consultations en maternités publiques et centres périnatals de proximité de Champagne-Ardenne, Lorraine et Picardie. Les résultats obtenus montrent que la majorité des sages-femmes interrogées connaissent les recommandations de la HAS. Il apparait qu’elles n’appliquent pas toujours ces recommandations. Ceci s’explique souvent par un manque de formations mais aussi par manque de moyens, défaut de protocole... Certains éléments freinent leur activité mais elles restent majoritairement satisfaites de leur place. La sage-femme a une place de plus en plus importante lors de cette consultation et il est probable qu’elle en devienne un élément clef. Une étude à plus grande échelle permettant l’évaluation des pratiques professionnelles des sages-femmes en consultations, pourrait venir appuyer nos résultats

Author: Océane Wenner
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Languages : fr
Pages : 164

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Introduction : Les sages-femmes ont un rôle à jouer dans la prévention, au cours de la grossesse du risque de développement de maltraitances infantiles futures. Elles peuvent repérer lors des consultations prénatales ou de l'EPP des situations à risques et accompagner ces couples afin d'effectuer en anténatal un travail favorisant la création d'un lien parental secure. Elles peuvent également faire de la prévention envers tous les futurs parents à l'occasion des séances de PNP. Nous avons donc mené une étude afin de dresser un état des lieux des connaissances et des pratiques actuelles des sages-femmes de Champagne-Ardenne en matière de prévention du risque de maltraitance infantile future, durant la période prénatale. Méthode Cette étude, quantitative observationnelle transversale descriptive, permettait d'étudier les connaissances et les pratiques des sages-femmes en matière de prévention. Un questionnaire a été diffusé aux sages-femmes réalisant des consultations prénatales et/ou des séances de PNP. Résultats : La majorité des sages-femmes identifie correctement les facteurs de risque de maltraitances infantiles et oriente pour plus de 97% des sages-femmes leurs patientes vers la PMI, une assistante sociale ou un psychologue quand un risque est identifié. Environ 25% pensent ne pas pouvoir orienter une femme enceinte vers un pédopsychiatre ou un centre maternel en anténatal. Plus de 90% des sages-femmes présentent en PNP les besoins d'un nouveau-né et donnent des conseils pratiques sur la gestion des pleurs. Près d'un tiers ne connaissent pas le REAAP ou les points info-familles. Discussion : Les femmes présentant des situations à risque sont bien identifiées et bien orientées vers la PMI, il reste cependant à développer les liens avec les pédopsychiatres. En PNP, les conseils pratiques concernant la gestion des pleurs sont bien diffusés, il faudrait aborder d'avantage le portage ainsi que les ressources d'aide et de soutien à la parentalité existant sur le plan local.

Author: Maïa Navrouzov
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Pages : 210

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Véritable enjeu de santé publique, la dépression est aujourd'hui reconnue comme l'un des troubles de la santé mentale les plus handicapants. L'Organisation Mondiale de la Santé prévoit qu'elle sera le deuxième problème de santé le plus grave en 2020. Les femmes en âge de procréer sont particulièrement touchées par cette pathologie. La grossesse et l'année qui suivent l'accouchement sont par ailleurs repérées comme des périodes à haut risque de développer une dépression. La dépression du postpartum peut engendrer de graves retentissements, tant sur la femme elle-même que sur son enfant, son couple, et les autres membres de sa famille. Une prise de conscience s'est opérée sur la nécessité de dépister précocement les facteurs de risque et les signes précurseurs de cette maladie. Le travail considérable des chercheurs et des professionnels de terrain sur ce thème durant les vingt dernières années a conduit à l'émergence du concept plus large de dépression périnatale, entérinant au passage le fait qu'il était possible de prévenir la dépression postnatale dès le début de la grossesse. S'est alors posé la question de savoir comment, et dans quelle mesure, la sage-femme prenait part à cette entreprise. Pour répondre à ces interrogations nous avons réalisé un état des lieux des connaissances et des pratiques des sages-femmes de Champagne-Ardenne en matière de dépistage et de prévention de la dépression périnatale pendant la grossesse. L'analyse des réponses des 110 des sages-femmes ayant participé à notre étude nous a permis de mettre en lumière la bonne connaissance du rôle qu'elles ont à jouer, ainsi que leur volonté d'assurer la sécurité émotionnelle des futurs parents. Toutefois, la démarche est titanesque, et de nombreux points de blocage sont encore perceptibles dix ans après la mise en place des mesures du Plan Périnatalité. Cependant une marge de manoeuvre existe. Des propositions cohérentes et réalisables pourraient voir le jour, permettant ainsi à la sage-femme d'investir pleinement son rôle de coordinatrice dans le dépistage et la prévention des femmes à risque de développer une dépression périnatale.

Author: Meggan Lequeux
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Pages : 100

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La visite postnatale fait partie des compétences des sages-femmes depuis 2004 mais aucune étude n'a été menée en France pour évaluer leurs pratiques lors de cette consultation. Les recommandations sont multiples et ne font pas toujours consensus. Les objectifs de notre étude sont d'évaluer les pratiques des sages-femmes et les mettre en lien avec les recommandations en vigueur afin de savoir si elles sont connues et appliquées. Il s'agit d'une étude quantitative à visée descriptive via un questionnaire anonyme diffusé entre le 6 novembre et le 25 décembre 2018, dans les onze maternités, les cinq centres périnataux de proximité et auprès des sages-femmes libérales et territoriales de la région Champagne-Ardenne. Ce questionnaire est destiné aux sages-femmes ayant effectué au moins une visite postnatale en 2018. Soixante questionnaires ont été analysé dont 60 % de sages-femmes libérales et 40% de sages-femmes hospitalières. Nos résultats montrent que les sages-femmes estiment leur niveau de connaissances des recommandations comme étant très bon (4,2/5). Cependant, 57% des sages-femmes effectuent des visites postnatales de patientes dont la grossesse et/ou l'accouchement présentent un caractère pathologique. De plus, 97% de notre échantillon déclare ne jamais prescrire d'examens complémentaires. Néanmoins elles sont 60% à prescrire une contraception oestroprogestative. Après analyse, la majorité des recommandations est respectée par les sagesfemmes dans leurs pratiques. Cependant, nos résultats ont mis en avant que la plupart d'entre elles dépassent leur champ de compétences. De plus, le manque de formation concernant le sevrage tabagique ou la plagiocéphalie positionnelle peut entraîner un défaut de dépistage et de prise en charge. En définitive, les sages-femmes ont un rôle important auprès des patientes, lors de la visite postnatale, dans la limite de leur champ de compétences.

Author: Elise Delage
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Introduction et objectifs : L'entretien prénatal précoce (EPP), outil de prévention et promotion de la santé périnatale, a été mis en place à la suite du plan de périnatalité de 2005-2007 pour répondre aux besoins des futurs parents au cours de la grossesse. Malgré les recommandations de la HAS, l'EPP n'était pas proposé en systématique lors des grossesses et le contenu de ces derniers était hétérogène. Notre objectif principal était de faire un état des lieux des pratiques de l'EPP en Nouvelle-Aquitaine (NA) auprès des sages-femmes. Nos objectifs secondaires étaient de mettre en lumière les difficultés rencontrées et de proposer des axes d'amélioration pour la promotion de cet entretien afin d'harmoniser les pratiques. Méthodes : L'étude était observationnelle, s'adressait à toutes les sages-femmes de la NA quel que soit leur secteur d'activité et s'est déroulé sur une période de 2 mois et demi. Un questionnaire était envoyé par mail et disponible sur le site du RPNA. Le critère de jugement principal était la pratique ou non de l'EPP. Les critères de jugement secondaires ont été élaborés à partir des recommandations de la HAS pour évaluer leur pratique. Résultats : L'échantillon était de 243 sages-femmes. Les pratiques des sages-femmes en NA sont diverses et leurs connaissances de l'EPP sont plutôt rassurantes. Dans notre population, une sage-femme sur deux réalisait des EPP et plus de 80% proposaient l'EPP en systématique. Une sage-femme sur cinq réalisait des EPP sans formation et plus de 10% vivaient le manque de formation comme un frein à la pratique de l'EPP. Presque 20% se sentaient démunies face à des situations délicates. Un quart des sages-femmes déclarait que les patientes étaient adressées trop tard dans la grossesse pour avoir le temps de réaliser un EPP. Conclusion : L'EPP est le seul outil de promotion de la santé périnatale avec la PNP mais les freins à la réalisation de ce dernier sont multiples. L'EPP maintenant obligatoire devrait être revalorisé et connaître une nouvelle place dans le suivi de grossesse.

Author: Laura Derela
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Pages : 120

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INTRODUCTION : Le périnée est un ensemble de muscles permettant le soutien des viscères. Cependant, après une grossesse et un accouchement, il se peut que certains symptômes apparaissent, notamment ceux d'une incontinence urinaire ou anale. Afin de traiter ou améliorer ces symptômes, la sage-femme peut prescrire et réaliser la rééducation périnéale. Cependant, celle-ci est recommandée uniquement sur ces caractéristiques, s'ils sont présents à trois mois du post-partum. En effet, ces recommandations ont été établies par le CNGOF en 2015. Il est donc précisé dans ces dernières que la prescription systématique de séances de rééducation périnéale n'est pas recommandée. A travers ce mémoire, nous nous sommes interrogés sur la pratique des sages-femmes en matière de prescription de cette rééducation périnéale. METHODE : Nous avons mis en place une étude quantitative observationnelle à visée descriptive afin de faire un état des lieux sur la pratique des sages-femmes quant à la prescription de la rééducation périnéale dans le post-partum. Les sages-femmes libérales et hospitalières de Champagne-Ardenne exerçant dans les services de suites de naissances et/ou consultations ont été interrogées, par le biais d'un questionnaire. RESULTATS : Nous avons pris en compte 117 réponses pour notre étude, soit 30,8% de notre effectif. 83% des sages-femmes de notre population estiment ne pas connaitre les recommandations du CNGOF à ce sujet, il y a donc un manque important de connaissances par les sages-femmes. De plus, 77% des sages-femmes de notre effectif total prescrivent la rééducation périnéale en systématique, les recommandations ne sont pas correctement suivies. DISCUSSION : Nous avons pu mettre en évidence un manque de connaissances des recommandations par les sages-femmes sur la manière de prescrire la rééducation périnéale. Ceci constitue ainsi un frein au bon suivi de celles-ci. Renforcer les connaissances des sages-femmes serait un axe d'amélioration primordial pour la pratique.

Author: Coralie Dewidehem
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Le Propess® est un dispositif fréquemment utilisé dans le cadre du déclenchement artificiel du travail et son utilisation a doublé en 30 ans. Les sages-femmes jouent un rôle central dans ce processus. L'objectif principal de notre étude est d'identifier les informations données, ainsi que la prise en charge mise en place tout au long du déclenchement par les sages-femmes en Champagne-Ardenne. Une étude quantitative observationnelle à visée descriptive a été réalisée à l'aide d'un questionnaire destiné aux sages-femmes exerçant en salle de naissance. Nous avons obtenu 74 réponses, ce qui représente 27,7 % de la population interrogée. L'analyse de ces réponses a mis en évidence que l'information délivrée aux patientes sur le sujet n'est pas homogène et parfois incomplète. Plusieurs explications sont possibles comme des lacunes sur la connaissance du dispositif. Mais également le fait de préserver les patientes en évitant de divulguer les effets graves que pourrait occasionner le Propess®, et ainsi d'avoir un effet anxiogène. Nous constatons qu'il en est de même pour les prises en charge. Cependant, l'existence d'un protocole de service semble être un réel atout pour les professionnels. Pour finir, il est ressorti de cette étude que les sages-femmes pensent qu'une information et une prise en charge cadrées permettraient d'améliorer le vécu des patientes. Il existe donc des perspectives d'amélioration comme la rédaction d'un protocole de service qui serait diffusé à la région grâce au réseau périnatal. Ou encore la réalisation d'une note d'information écrite qui respecterait les recommandations de la HAS. En effet, ces documents pourraient permettre une harmonisation des pratiques.

Author: Bérangère Begaud
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Depuis des décennies, les sorties de maternité sont matière à discuter. La fermeture des maternités en France a entraîné un remaniement de la prise en charge. Le développement du libéral dans la profession des sages-femmes également. Néanmoins, la France n'est pas la mieux placée et ne peut que s'améliorer. Depuis 2004, la France expérimente les sorties précoces de maternité, leurs critères ont été revus en 2014. Puis tout a été basculé par la pandémie de Covid-19, en janvier 2020. Aujourd'hui, les séjours en maternité durent entre deux et quatre jours, en fonction de la voie d'accouchement. Qu'en est-il de la pratique des sages-femmes dans ce domaine ? Une étude observationnelle, descriptive, quantitative et multicentrique a été réalisée en Champagne-Ardenne, en 2021, grâce à un questionnaire diffusé en ligne et sous format papier, auprès des sages-femmes exerçant en suites de naissance des maternités publiques et en cabinet libéral. Une grande majorité des sages-femmes (79,3%) pensent que les sorties précoces de maternité sont fréquentes et 15,8% de manière occasionnelle. Seulement 4,9% pensent que cela n'existe pas. Ces sorties précoces sont organisées dans tout type de maternité. Pour autant, la communication entre les sages-femmes de suites de naissance et libérales n'est pas optimale. Malgré tout, 80,5% des professionnels hospitaliers peuvent faire part de leur ressenti aux libéraux. C'est pour cela que 39% des sages-femmes proposent d'améliorer la communication ville-hôpital avec différentes suggestions : création d'un logiciel, dossier partagé... En France, la pérennisation des sorties précoces de maternité est plutôt favorable, mais des moyens de communication plus adaptés aux professionnels de santé vont être nécessaires pour assurer une prise en charge optimale des couples parents-enfant.

Author: Sarah Geraci
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Introduction : la présentation podalique représente 3 à 4% des présentations fœtales à terme. Sa voie d'accouchement porte à controverse et depuis l'an 2000 sa voie d'accouchement a versé vers la césarienne systématique. Près de 20 ans après, la non-dangerosité de la voie basse a été démontrée pour peu que les conditions obstétricales soient rigoureusement favorables et que les équipes soient entraînées à sa pratique et à la réalisation des manœuvres obstétricales. Durant leurs études, les sages-femmes sont formées à pallier le risque de complications, malgré une réduction de près d'un tiers des heures de stage. Objectifs : faire un état des lieux des connaissances des étudiants sages-femmes en dernière année sur la prise en charge d'une présentation du siège et repérer leurs lacunes. Matériel et méthode : étude de cohorte nationale descriptive par questionnaires informatisés destinés aux étudiants sages-femmes de dernière année des 35 écoles de France, entre mai et juillet 2018. Résultats : 374 étudiants ont répondus au questionnaire, soit un taux de participation de 37,7%, celui des écoles de sages-femmes est de 94,3%. La majorité des ESF ont des connaissances théoriques satisfaisantes. Cependant seulement 3% ont une réponse complète et exacte à la question sur les traumatismes fœtaux. 1/3 des étudiants ont pu bénéficier de séance de simulation en stage. Concernant leur ressenti vis à vis de leur future pratique, ils ont conscience de leurs limites, les scores sont en adéquation avec leur niveau de ressenti. Conclusion : malgré de bonnes connaissances théoriques en général, des lacunes émergent : dans la pratique en stage et sur les traumatismes fœtaux. La formation continue est souvent stigmatisée, cependant la simulation en formation initiale doit être largement développée.