Author: Florian Mangeonjean
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Languages : fr
Pages : 0
Book Description
CONTEXTE. - L'utérus présente une certaine fragilité, mais permet cependant dans la majorité des cas une tentative de voie basse. Peu d'études s'intéressent à quel débit d'oxytocine celui-ci a un impact quelconque sur le déroulement du travail des utérus cicatriciels. Compte tenu de cela, les sages-femmes limitent-elles le débit et le mode d'évolution de la concentration des ocytociques pour des parturientes ayant un utérus unicicatriciel ? MATÉRIELS ET MÉTHODES. - Interroger toutes sages-femmes ayant travaillées en salle de naissance au CHR Metz-Thionville à l'aide d'un questionnaire semi-directif anonyme. L'objectif principal était d'améliorer la pratique professionnelle des sages-femmes quant à l'utilisation du syntocinon sur les utérus unicicatriciel. RÉSULTATS. - 13% des sages-femmes du CHR Metz-Thionville (17 sur les 127) ont répondu aux questionnaires. 14 de ces sages-femmes (82%) exerçaient en salle de naissance au moment de la diffusion de ce questionnaire. 100% des sages-femmes ayant répondu affirment pratiquer des accouchements voies basse après un antécédent de césarienne. 53% d'entre-elles dises ne pas avoird'habitudes de services. 59% d'entre-elles affirment qu'aucun protocole de service n'existe. Les débits maximaux administrés par les sages-femmes sont très hétérogènes et vont de 70 à 110mL/h où 53% ne dépasse pas 90mL/h pour des parturientes avec antécédents de césarienne. CONCLUSION. - La sage-femme a conscience de la fragilité qui a été engendré à l'utérus par l'acte chirurgical de la césarienne lors du précédent accouchement. Lors de l'administration du syntocinon, celle-ci initie un débit de base de moins important et se fixe un seuil au débit maximal plusfaible que pour une parturiente sans antécédent.
Etat des lieux des connaissances des sages-femmes concernant l'administration des oxytociques en salle de naissance sur des parturientes présentant un utérus unicicatriciel
Author: Florian Mangeonjean
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CONTEXTE. - L'utérus présente une certaine fragilité, mais permet cependant dans la majorité des cas une tentative de voie basse. Peu d'études s'intéressent à quel débit d'oxytocine celui-ci a un impact quelconque sur le déroulement du travail des utérus cicatriciels. Compte tenu de cela, les sages-femmes limitent-elles le débit et le mode d'évolution de la concentration des ocytociques pour des parturientes ayant un utérus unicicatriciel ? MATÉRIELS ET MÉTHODES. - Interroger toutes sages-femmes ayant travaillées en salle de naissance au CHR Metz-Thionville à l'aide d'un questionnaire semi-directif anonyme. L'objectif principal était d'améliorer la pratique professionnelle des sages-femmes quant à l'utilisation du syntocinon sur les utérus unicicatriciel. RÉSULTATS. - 13% des sages-femmes du CHR Metz-Thionville (17 sur les 127) ont répondu aux questionnaires. 14 de ces sages-femmes (82%) exerçaient en salle de naissance au moment de la diffusion de ce questionnaire. 100% des sages-femmes ayant répondu affirment pratiquer des accouchements voies basse après un antécédent de césarienne. 53% d'entre-elles dises ne pas avoird'habitudes de services. 59% d'entre-elles affirment qu'aucun protocole de service n'existe. Les débits maximaux administrés par les sages-femmes sont très hétérogènes et vont de 70 à 110mL/h où 53% ne dépasse pas 90mL/h pour des parturientes avec antécédents de césarienne. CONCLUSION. - La sage-femme a conscience de la fragilité qui a été engendré à l'utérus par l'acte chirurgical de la césarienne lors du précédent accouchement. Lors de l'administration du syntocinon, celle-ci initie un débit de base de moins important et se fixe un seuil au débit maximal plusfaible que pour une parturiente sans antécédent.
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CONTEXTE. - L'utérus présente une certaine fragilité, mais permet cependant dans la majorité des cas une tentative de voie basse. Peu d'études s'intéressent à quel débit d'oxytocine celui-ci a un impact quelconque sur le déroulement du travail des utérus cicatriciels. Compte tenu de cela, les sages-femmes limitent-elles le débit et le mode d'évolution de la concentration des ocytociques pour des parturientes ayant un utérus unicicatriciel ? MATÉRIELS ET MÉTHODES. - Interroger toutes sages-femmes ayant travaillées en salle de naissance au CHR Metz-Thionville à l'aide d'un questionnaire semi-directif anonyme. L'objectif principal était d'améliorer la pratique professionnelle des sages-femmes quant à l'utilisation du syntocinon sur les utérus unicicatriciel. RÉSULTATS. - 13% des sages-femmes du CHR Metz-Thionville (17 sur les 127) ont répondu aux questionnaires. 14 de ces sages-femmes (82%) exerçaient en salle de naissance au moment de la diffusion de ce questionnaire. 100% des sages-femmes ayant répondu affirment pratiquer des accouchements voies basse après un antécédent de césarienne. 53% d'entre-elles dises ne pas avoird'habitudes de services. 59% d'entre-elles affirment qu'aucun protocole de service n'existe. Les débits maximaux administrés par les sages-femmes sont très hétérogènes et vont de 70 à 110mL/h où 53% ne dépasse pas 90mL/h pour des parturientes avec antécédents de césarienne. CONCLUSION. - La sage-femme a conscience de la fragilité qui a été engendré à l'utérus par l'acte chirurgical de la césarienne lors du précédent accouchement. Lors de l'administration du syntocinon, celle-ci initie un débit de base de moins important et se fixe un seuil au débit maximal plusfaible que pour une parturiente sans antécédent.