Enquête de pratique auprès de 280 médecins généralistes de Midi-Pyrénées PDF Download
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Author: Sophie Attal Ezaoui Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 112
Book Description
Le médecin généraliste est amené, en tant que premier recours aux soins, à prendre en charge des patients dans le cadre de l'urgence, à évaluer la gravité et le caractère réel ou ressenti de l'urgence, et à mettre en place une thérapeutique adaptée. La patientèle pédiatrique se majore dans les cabinets de médecine générale du fait de la diminution du numérus clausus des pédiatres. Du matériel diagnostique et thérapeutique adaptés à l'enfant sont donc nécessaires. Il n'y a toutefois pas de consensus sur le matériel nécessaire à cette prise en charge. Les pratiques des médecins généralistes de Midi- Pyrénées face aux urgences pédiatriques ont été analysées dans cette étude au travers d'un questionnaire soumis par e-mail à mille-sept-cent cinquante médecins généralistes exerçant en Midi-Pyrénées. Cette étude a permis de déterminer la composition de l'équipement des MG de MP vis-à-vis des urgences pédiatriques. Ce travail met en évidence une demande importante de médecins qui souhaitent améliorer leur pratique pédiatrique par le biais de formation adéquate. Dans ce travail, nous proposons également un équipement minimal pour faire face à une urgence pédiatrique en médecine générale, que chaque médecin pourra compléter en fonction de sa pratique.
Author: Sophie Attal Ezaoui Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 112
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Le médecin généraliste est amené, en tant que premier recours aux soins, à prendre en charge des patients dans le cadre de l'urgence, à évaluer la gravité et le caractère réel ou ressenti de l'urgence, et à mettre en place une thérapeutique adaptée. La patientèle pédiatrique se majore dans les cabinets de médecine générale du fait de la diminution du numérus clausus des pédiatres. Du matériel diagnostique et thérapeutique adaptés à l'enfant sont donc nécessaires. Il n'y a toutefois pas de consensus sur le matériel nécessaire à cette prise en charge. Les pratiques des médecins généralistes de Midi- Pyrénées face aux urgences pédiatriques ont été analysées dans cette étude au travers d'un questionnaire soumis par e-mail à mille-sept-cent cinquante médecins généralistes exerçant en Midi-Pyrénées. Cette étude a permis de déterminer la composition de l'équipement des MG de MP vis-à-vis des urgences pédiatriques. Ce travail met en évidence une demande importante de médecins qui souhaitent améliorer leur pratique pédiatrique par le biais de formation adéquate. Dans ce travail, nous proposons également un équipement minimal pour faire face à une urgence pédiatrique en médecine générale, que chaque médecin pourra compléter en fonction de sa pratique.
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L'objectif de cette étude était de connaître la pratique de l'éducation thérapeutique en médecine ambulatoire. A l'aide d'un questionnaire envoyé aux médecins généralistes installés en Midi-Pyrénées, nous avons d'abord cherché à savoir s'ils étaient sensibilisés au concept d'éducation thérapeutique, ou s'ils avaient une formation spécifique dans ce domaine. Ensuite, nous nous sommes intéressés à leur pratique de l'éducation thérapeutique : les médecins généralistes considèrent-ils faire de l'éducation thérapeutique? Dans quelles circonstances ? Quels sont les thèmes abordés ? Quels sont les outils qu'ils utilisent, ou les partenaires avec qui ils travaillent ? Evaluent-ils leur démarche ? Enfin, nous avons voulu déterminer les difficultés ou obstacles qu'ils identifient dans leur pratique quotidienne, et leurs propositions pour y remédier.
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Contexte : la loi de santé prévoit la généralisation obligatoire du tiers-payant pour les médecins généralistes d'ici le 1/11/2017. Objectifs : les médecins généralistes de Midi-Pyrénées pratiquent-ils le tiers-payant en dehors des cas obligatoires actuellement, quelles sont leurs motivations et leurs difficultés ? Matériel et méthodes : enquête descriptive menée au moyen d'un questionnaire auprès de 498 médecins généralistes installés en Midi-Pyrénées tirés au sort. Résultats : 181 réponses soit un taux de 36%. 94% des médecins pratiquent le tiers-payant en dehors des cas obligatoires. Les actes réalisés en tiers-payant représentent 32% des actes et concernent essentiellement des patients en ALD (88%) et les patients en difficulté financière (72%). 55% le pratiquent uniquement sur la part obligatoire, 27% sur la part obligatoire et avec certaines mutuelles et 15% sur la part obligatoire et avec toutes les mutuelles. Leurs motivations sont : faciliter l'accès aux soins et le paiement aux patients les plus fragiles financièrement, supprimer l'aspect commercial dans la relation avec les patients, alléger leur gestion comptable et s'assurer d'être payé. La principale difficulté évoquée est la perte de temps liée à la vérification des remboursements (1h et 21 minutes hebdomadaires). 80 % des médecins rapportent une perte de revenu (187 euros mensuels). 75% des médecins pensent que la généralisation obligatoire du tiers-payant aura des conséquences négatives sur leur profession et sur la santé publique mais ceux qui le pratiquent le plus sont moins pessimistes. Conclusion : les médecins généralistes de Midi-Pyrénées pratiquent déjà le tiers-payant en dehors des cas obligatoires mais sont opposés majoritairement à sa généralisation dans les conditions prévues actuellement.
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Dans un contexte de profondes mutations de la profession médicale (vieillissement, féminisation, sous-médicalisation), nous avons étudié par une enquête d'opinion auprès de 216 médecins de Midi-Pyrénées, comment le médecin généraliste gère son Temps. Certains modes d'activité se développent : activité de groupe, en institution ( activité mixte), exercice à temps partiel. La permanence des soins s'améliore. Le temps libre s'accroît mais l'activité se " densifie " : les trois quarts des généralistes se sentent toujours débordés. Ces évolutions rejoignent les aspirations des jeunes médecins désireux de concilier qualité de soin et qualité de vie. Mais l'équilibre semble fragile face à une pratique médicale de plus en plus contraignante, en pleine évolution (transferts de compétences, médecine plus coordonnatrice que curatrice).
Author: François Dubouix Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 194
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Etape indispensable d'un temps diagnostique et relationnel entre un médecin et son patient, l'examen physique et ses modalités pratiques ont été peu étudiées en médecine générale. Une enquête à donc été menée auprès des médecins généralistes maîtres de stage de Midi-Pyrénées, recevant un interne lors du premier semestre de l'année universitaire 2005-2006. Elle était composée de deux questionnaires, les données recherchées étant des renseignements personnels sur le médecin et son activité, les modalités pratiques de l'examen physique, dont la fréquence de réalisation de certains gestes cliniques, et la durée allouée à la consultation. 37,8% des médecins sollicités ont répondu à l'enquête et 104 questionnaires ont été exploités. Un profil et une typologie de la pratique de ces médecins généralistes ont pu être établis plus particulièrement, afin de les comparer à la population médicale française. La durée moyenne d'une consultation varie entre 15 et 20 minutes pour la très grande majorité des généralistes. Elle augmente lorsque le patient n'est pas connu du praticien, mais cet allongement de la durée de consultation ne se fait pas au bénéfice de l'examen physique car celui-ci n'est pas plus complet que pour les consultations ponctuelles, ou de suivi. Il apparaît que certains gestes sont effectués de façon systématique : 70% des généralistes mesurent la pression sanguine artérielle, auscultent le cœur et les poumons quelque soit le motif de consultation, 40% palpent l'abdomen. La prise de la température, la palpation de la thyroïde, le toucher rectal chez l'homme et l'examen des seins chez la femme restent des gestes pratiqués de façon anecdotique.
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Le refus d'hospitalisation par les patients peut concerner tout médecin généraliste. Le médecin est soumis à des devoirs déontologiques, légaux et éthiques. Notre étude est descriptive et interroge 94 médecins généralistes de la région Midi-Pyrénées. Elle décrit le patient « refusant », les réactions et ressentis du médecin. La fréquence annuelle du refus est nettement plus faible après discussion et argumentation avec le patient. Les patients « refusants » ont majoritairement entre 60 et 79 ans, sont retraités, vivent en famille. Ils présentent une pathologie psychiatrique dans un tiers des cas et organique dans deux tiers des cas. La principale cause de refus est le déni. Le médecin généraliste organise une prise en charge à domicile dans la moitié des cas, dans l'autre moitié il arrive à faire hospitaliser le patient. Il fait peu signer de décharge juridique malgré les recommandations. Une étude prospective permettrait de connaître le devenir de ces patients et les conséquences du refus sur leur santé.
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Introduction : les violences sont fréquentes et graves, et pourtant sous estimées. Les freins à l'abord de ce sujet lors des consultations de médecine générale sont connus. La littérature souligne pourtant le rôle du médecin généraliste dans cette démarche. Objectif : notre objectif principal était de comprendre comment certains médecins généralistes ont intégré la question des violences dans leur pratique, notre objectif secondaire d'explorer le vécu de cette question par les MG. Méthode : nous avons réalisé une recherche qualitative par entretiens semi-dirigés auprès de 10 médecins d'Occitanie entre août 2020 et août 2021. Résultats : ces MG se sont lancés dans le dépistage à la suite d'une situation particulière. L'abord des violences concerne plusieurs situations : le dépistage où les MG allaient poser une question type à tous les patients lors de la première consultation, et suite à un repérage où ils posaient des questions plus détournées afin de faire développer le patient. Ils s'appuyaient pour le développement de leur manière de faire, sur des recherches et des groupes de pairs, et utilisaient un réseau de soin local pour la prise en charge. Les difficultés qu'ils ont rencontrées étaient liées à la libération de la parole : comment faire parler le patient, ou encore aux conséquences de cette libération : impact émotionnel. Pour gérer ces difficultés, ils pouvaient débriefer entre eux. Le vécu des médecins concernant l'abord du sujet des violences était plutôt positif, avec un sentiment d'accomplissement, bien que certaines situations "insolubles" entrainaient de la frustration. Les MG entamaient souvent une réflexion plus globale, notamment de prévention, de prise en charge des auteurs et de formation des acteurs de santé de leur réseau. Discussion : l'abord des violences devient assez simple en pratiquant. Nos MG, qui le réalisent au quotidien, étaient des MG engagés, voire militants. Suite à un déclic, ils ont donc poursuivi leur engagement dans leur pratique, et l'ont fait évoluer pour l'adapter à leur quotidien de médecin, contournant ainsi de nombreuses difficultés. Cette démarche réflexive s'associe à un phénomène sociétal actuel mettant en lumière les violences, tel que le mouvement #metoo, l'affaire Weinstein, ou encore le scandale Orpea.
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Une enquête sur la connaissance et l'utilisation des réseaux de santé définis dans la loi du 04/03/2002 relative aux droits des malades et à la qualité des soins a été réalisée grâce à l'envoi d'un questionnaire à 300 médecins généralistes de Midi-Pyrénées. Les différentes questions portaient sur la connaissance, l'utilisation et l'opinion des médecins généralistes sur ces nouveaux modes d'organisation des soins. Il ressort que les omnipraticiens sont mal informés sur les réseaux de santé. Ceux ayant déjà expérimenté un réseau ont un ressenti positif. En effet la majorité de leurs attentes -amélioration des soins et de la prise en charge de leurs patients, le travail d'équipe et l'augmentation des compétences- sont satisfaites. Les principaux reproches sont liés à un sentiment de décalage entre le travail du médecin généraliste sur le terrain et le fonctionnement des réseaux ainsi qu'à une surcharge de travail.
Author: Sophie Attal Ezaoui
Author: Sophie Attal Ezaoui
Author: Perrine Peytavin
Author: Adeline Liquière
Author: Anne-Gaëlle Vercruysse Dreux
Author: François Dubouix
Author: Delphine Eliot Aubrée
Author: Stéphane Smail
Author: Christelle Cazottes
Author: Amandine Boinel
Author: Catherine Manfredi-Pons