Effet d'un entraînement musical chez le sujet dyslexique PDF Download
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Il existe dans la littérature neuroscientifique récente des arguments de plus en plus fournis pour justifier l'utilisation d'un entraînement musical comme outil thérapeutique à part entière au sein de l'arsenal dont disposent déjà les orthophonistes pour traiter les enfants souffrant de dyslexie. Parmi ces travaux, on peut citer des arguments indirects, comme la mise en évidence répétée d'un effet de la pratique musicale sur l'organisation des faisceaux d'associations hémisphériques gauches (Halwani et al., 2011), ceux-là même dont la structure est altérée chez les dyslexiques, et des arguments plus directs, issus d'études de l'effet de la musique sur les troubles à l'origine de la dyslexie. (Besson et al., 2011). Cette présente étude vise à préciser les effets rééducatifs d'un entrainement musical chez l'enfant dyslexique grâce à une vaste batterie d'évaluation de la lecture et des fonctions cognitives qui lui sont liées. Douze enfants issus d'une classe spécialisée de l'Education nationale (CLIS-dys).ont bénéficié de 3 heures hebdomadaires pendant 6 semaines d'un entraînement spécifique incluant une pratique intensive de piano, de percussion et des exercices de remédiation cognitivo-musicale conçus pour favoriser l'intégration intermodalitaire d'informations auditivo-visuo-motrices. La batterie de test a été réitérée à 4 reprises, à six semaines d'intervalles avant (Tl et T2 ) et après (T3 et T4) les 6 semaines d'entraînement. Bien que ces résultats se suffisent à eux-mêmes puisque chaque sujet est son propre témoin du fait de la méthodologie choisie, il sera intéressant de les confirmer ultérieurement par comparaison à un groupe témoin.
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Il existe dans la littérature neuroscientifique récente des arguments de plus en plus fournis pour justifier l'utilisation d'un entraînement musical comme outil thérapeutique à part entière au sein de l'arsenal dont disposent déjà les orthophonistes pour traiter les enfants souffrant de dyslexie. Parmi ces travaux, on peut citer des arguments indirects, comme la mise en évidence répétée d'un effet de la pratique musicale sur l'organisation des faisceaux d'associations hémisphériques gauches (Halwani et al., 2011), ceux-là même dont la structure est altérée chez les dyslexiques, et des arguments plus directs, issus d'études de l'effet de la musique sur les troubles à l'origine de la dyslexie. (Besson et al., 2011). Cette présente étude vise à préciser les effets rééducatifs d'un entrainement musical chez l'enfant dyslexique grâce à une vaste batterie d'évaluation de la lecture et des fonctions cognitives qui lui sont liées. Douze enfants issus d'une classe spécialisée de l'Education nationale (CLIS-dys).ont bénéficié de 3 heures hebdomadaires pendant 6 semaines d'un entraînement spécifique incluant une pratique intensive de piano, de percussion et des exercices de remédiation cognitivo-musicale conçus pour favoriser l'intégration intermodalitaire d'informations auditivo-visuo-motrices. La batterie de test a été réitérée à 4 reprises, à six semaines d'intervalles avant (Tl et T2 ) et après (T3 et T4) les 6 semaines d'entraînement. Bien que ces résultats se suffisent à eux-mêmes puisque chaque sujet est son propre témoin du fait de la méthodologie choisie, il sera intéressant de les confirmer ultérieurement par comparaison à un groupe témoin.
Author: Céline Commeiras Publisher: De Boeck Superieur ISBN: 2353272886 Category : Education Languages : fr Pages : 81
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Véritable outil pratique destiné aux professionnels de la rééducation des troubles dys, cette méthode vient enrichir les supports rééducatifs existants en proposant une approche musicale dans la prise en charge des troubles d’apprentissage. L’apprentissage de la musique a un effet positif sur certaines fonctions cognitives dont la mémoire, le langage, la lecture. Il permettrait d’améliorer significativement certains déficits rencontrés chez les enfants dyslexiques comme le déficit phonologique, les troubles de la mémoire auditivo-verbale ou encore la perception des caractéristiques temporelles fines de la parole. Cette méthode de travail qui utilise la sensibilité acoustique dont tout-un-chacun dispose est basée sur ces observations. Au travers d’exercices progressifs autour de thèmes acoustiques et musicaux ne nécessitant aucune connaissance musicale préalable du praticien, le rééducateur disposera d’un nouvel axe de travail pour solliciter l’attention auditive, la mémoire auditivo-verbale et la perception de l’univers sonore chez ses patients. Au-delà de la rééducation, cette approche musicale suscitera sans aucun doute des vocations de musiciens en herbe…
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La littérature scientifique s'est enrichie ces dernières décennies de nombreux travaux suggérant les effets de la musique sur le cerveau et les apprentissages, en particulier sur les compétences reliées à la lecture. Des recherches récentes ont apporté de nouveaux arguments en faveur de l'utilisation de la musique dans la prise en charge des troubles des apprentissages de la lecture, en complément d'une rééducation orthophonique classique. Afin de tester l'hypothèse d'un transfert d'apprentissage de la musique vers le langage, nous avons étudié les effets d'activités musicales multimodal.es sur le développement des prédicteurs de la lecture en grande section de maternelle puis en CP. Un paradigme pré-test, entraînement, post-test avec groupe expérimental et groupe contrôle a été utilisé : 24 enfants tout-venant ont été répartis entre un groupe expérimental musique et un groupe témoin arts plastiques. Cette expérience a ensuite été complétée par un entraînement individuel auprès d'un enfant du groupe musique, à risque de dyslexie à la fin de l'étude en CP. Les différences post-tests trop réduites entre le groupe musique et le groupe contrôle ne permettent pas de conclure à un effet significatif de notre entraînement musical. Toutefois, la progression observée pour la conscience phonologique et la mémoire phonologique à court terme suite aux entraînements musicaux invite à poursuivre les recherches sur l'utilisation de la musique dans la prise en charge des troubles des apprentissages du langage
Author: Françoise Estienne Publisher: De Boeck Superieur ISBN: 2807321356 Category : Health & Fitness Languages : fr Pages : 228
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La musique en séance de rééducation langagière ou de l’écriture, est-ce utile ? Pourquoi et comment ? Cet ouvrage, résultat d’une collaboration multidisciplinaire, propose des exercices concrets, directement applicables et soutenus par des fondements théoriques explicites. Chercheurs, orthophonistes, graphothérapeutes et neuroscientifiques se retrouvent autour de la musique pour en présenter les soubassements neurologiques et pédagogiques. La musique est utile dans de nombreux cas : elle contribue au développement de la conscience phonologique, suscite l’éveil langagier, participe à la remédiation d’un retard de langage, de la dyslexie, d’un trouble de l’attention. Elle est également efficace contre la dysgraphie car elle permet de retrouver le rythme de l’écrit, elle aide les personnes qui bégaient à réorchestrer la parole, et produit même des résultats positifs dans le domaine de la surdité. Ce livre est un premier pas vers un décloisonnement des pratiques qui ouvre de nouvelles perspectives dans la compréhension et la remédiation des troubles du langage oral et écrit. La musique n’est pas la panacée, elle ne remplace pas le travail orthophonique « conventionnel », mais le facilite en affinant la perception auditive et le complète en y ajoutant sa dynamique de plaisir partagé… fondement de la motivation, moteur de l’apprentissage.
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La musique et le langage requièrent certains mécanismes cognitifs communs, notamment l'attention temporelle qui permet la séquenciation du signal. C'est en effet la distribution cyclique de l'attention dans le temps ainsi que sa capacité à se synchroniser au rythme de l'information extérieure, qui guident les anticipations temporelles indispensables au traitement du rythme musical et à l'extraction d'unités d'informations linguistiques. L'objectif de cette étude pilote est de tester si un entraînement musical court améliore certains traitements linguistiques, en perception de la parole ou dans une autre modalité (lecture), et s'il est bénéfique à certaines compétences attentionnelles. Pour cela, un entraînement de six semaines a été élaboré avec 12 séances de 35 minutes : six séances d'atelier rythmique (R) et six séances d'atelier sur la hauteur des notes ou Pitch (P). Son impact a été évalué sur des compétences musicales, des compétences langagières impliquant particulièrement le découpage du signal, et quelques mécanismes attentionnels chez six enfants dyslexiques de 8 à 11 ans. Ils bénéficiaient des deux ateliers dans un ordre contrebalancé (cross-over) et passaient un bilan avant l'entraînement (T1), après le premier atelier (T2) et après le second (T3), afin de dissocier l'apport des deux ateliers. L'analyse des données montre davantage de progrès après l'atelier R qu'après l'atelier P, notamment dans les compétences langagières de discrimination phonologique, de segmentation syllabique de mots entendus et en lecture de textes non-signifiants et de stimuli dissyllabiques. De plus, exercer à traiter le rythme améliore certaines capacités attentionnelles : la concentration et le contrôle de la distractibilité. L'atelier P améliore de façon marginale la lecture. Bien que l'effet isolé de cet atelier soit moins évident, il reste intéressant, car les enfants progressent plus après les deux ateliers qu'après un seul. L'effet combiné des ateliers pourrait cependant ne correspondre qu'à un effet de répétition du bilan. Interprétés dans le cadre de la Théorie de l'Attention Dynamique, les résultats encouragent à poursuivre ce travail pour confirmer les effets sur davantage d'enfants, avant sa promotion en clinique orthophonique.
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La littérature scientifique portant sur les liens musique et langage s'est considérablement développée récemment. Des preuves montrant le bénéfice d'un entraînement musical dans les compétences langagières sont régulièrement apportées. Des habiletés déficitaires en rythme et l'hypothèse explicative évoquée de façon grandissante d'un déficit temporel causal dans la dyslexie ont inspiré des études testant les effets d'un entraînement rythmique sur les compétences en langage écrit d'enfants dyslexiques. Ce mémoire s'inscrit dans ce cadre de recherche. Il a pour objectif de répondre à la question suivante : un entraînement rythmiqueen groupe a-t-il des effets spécifiques sur certaines compétences en lecture chez des enfants dyslexiques ? Selon la méthodologie pré-test/entraînement/post-test, nous avons conduit un entraînement rythmique pendant 6 semaines auprès d'enfants âgés de 9 à 11 ans, de sorte de pouvoir mesurer les effets de cet entraînement sur certaines habiletés en lecture impliquant le traitement phonologique, la segmentation de la parole, le déchiffrement en lecture et la compréhension en lecture. Par ailleurs, la réalisation d'un tel entraînement en groupe a été privilégiée, le groupe étant un facteur de motivation et de soutien gage d'efficacité. Le groupe contrôle a suivi un entraînement théâtre. Les résultats montrent une amélioration pour l'ensemble des enfants dans toutes les habiletés, mais pas toujours de manière significative. Les deux groupes s'améliorent significativement dans les habiletés en lecture, le groupe rythme s'améliore en segmentation syllabique. Les perspectives de recherche se situent dans l'agrandissement de l'échelle de l'étude, avec un entraînement plus intense et un effectif plus important. La réutilisation de tels entraînements en orthophonie, et plus généralement de la musique en remédiation, est une perspective majeure pour ce mémoire, qui avait un objectif de visée clinique dès le départ
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De récentes recherches neuroscientifiques montrent que la pratique régulière et intensive de la musique pourrait renforcer la connectivité cérébrale déficitaire des dyslexiques, mise en lumière par l'imagerie cérébrale. Partant de ce postulat théorique, nous avons mis au point un protocole d'entraînement cognitivo-musical intermodalitaire, qui sollicite de façon conjointe les différentes modalités sensorielles (auditive, visuelle, somesthésique) et motrice. La présente étude tente donc de mesurer l'impact d'un entraînement cognitivo-musical intermodalitaire chez des enfants tout-venant. En effet, si un entraînement cognitivo-musical intermodalitaire, via notamment le transfert des apprentissages développe et améliore le traitement phonologique multimodal, il devrait améliorer non seulement les prédicteurs de la lecture, mais également les compétences en vocabulaire, compréhension, syntaxe et donc les habiletés de lecture. Pendant trois mois, les 24 enfants d'une classe de Grande Section de Maternelle ont été répartis en deux groupes : un groupe musique et un groupe arts plastiques qui ont bénéficié de 23 séances de musique ou d'arts plastiques. Les enfants ont été évalués en phases pré et post-test, ainsi que deux mois après la fin de l'entraînement. Les résultats montrent une absence d'effet de groupe qui s'explique essentiellement par deux biais : la durée et l'intensité de l'entraînement musical, ainsi qu'un développement cognitif et maturationnel hétérogène des groupes contrôle et expérimental en défaveur du groupe musique.
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Bien que l'effet de l'apprentissage de la musique sur le développement des fonctions cognitives, en particulier la lecture, soit largement admis, les preuves formelles dans la littérature scientifique d'un tel effet sont rares et souvent controversées (voir p.e Morais et al, 2010). Il n'y a en particulier à notre connaissance aucune étude de ce type ayant spécifiquement mesuré, en période préscolaire, les fonctions considérées comme précurseurs de l'acquisition de la lecture. Le présent travail vise à explorer l'action d'activités musicales, rythmiques et perceptives sur le développement de ces précurseurs, et en particulier sur la conscience phonologique. L'expérimentation a concerné 24 élèves d'une classe de Grande Section de Maternelle accueillant des enfants normo-apprenants. Elle a consisté en 20 séances de 30 à 35 mn d'activités musicales pour la moitié des enfants, et 20 séances d'activités d'arts plastiques pour l'autre moitié. Les enfants ont été évalués en phases pré et post-test, ainsi qu'à distance, deux mois après la fin de l'entraînement. Les résultats obtenus montrent que les deux groupes s'améliorent significativement, mais qu'il y a une tendance à l'interaction groupe x session, en faveur du groupe musique, sur une épreuve de suppression syllabique et sur un score global de conscience phonologique. A contrario, aucun effet similaire n'a été retrouvé sur d'autres tâches de langage, de mémoire et d'attention, les deux groupes s'améliorant de manière identique. Ces résultats peuvent s'interpréter à la lumière de modèles postulant une analogie entre la musique et certains aspects du langage, qui pourraient être sous-tendus par des mécanismes neurocognitifs communs (Besson et al, 2011).
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Les jeunes souffrant de Troubles envahissants du Développement (TED) avec traits autistiques et retard mental présentent un déficit lexical majeur. En revanche, plusieurs études ont montré des compétences musicales préservées. En supposant que langage et musique partagent les mêmes réseaux neuronaux, l'objectif de cette recherche est de définir si un support musical peut faciliter l'apprentissage de nouveaux mots. Cette étude de cas multiples a été réalisée sur dix enfants et adolescents avec TED et déficience associée, âgés de 8 à 17 ans. Ces participants sont évalués sur 36 mots cibles, en compréhension et en expression, avant et après six semaines d'entraînement. Trois sujets sont soumis à un entraînement musical, trois autres à un entraînement langagier et les derniers ne sont pas entraînés. Les résultats montrent une amélioration significative de la compréhension lexicale chez les sujets entraînés en comparaison avec les sujets non entraînés. Par contre, l'amélioration en expression observée chez un sujet sur trois dans chaque groupe entraîné n'est pas significative. Aucun sujet ne parvient à rattraper son retard de parole par rapport aux sujets contrôles non TED (appariés en âge développemental). La présente étude apporte la preuve de l'efficacité d'un entraînement musical ou langagier sur des individus avec TED, déficients et verbaux, mais les résultats laissent penser que la durée de l'entraînement n'est pas suffisante. Elle pose la question de la fréquence d'entraînement optimale. Aucune tendance ne se dégage en faveur d'un type d'entraînement. L'utilisation de comptines chantées ou parlées est un moyen d'enrichir le vocabulaire de ces patients. On peut remédier à leur labilité attentionnelle en introduisant des aides visuelles pour illustrer les mots cibles. Le cadre et la nature de ces entraînements pourront servir aux orthophonistes intervenant dans le champ des TED.
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Des études récentes montrent que les musiciens sont plus sensibles aux paramètres acoustiques des sons (principalement fréquence et durée), non seulement dans la musique mais aussi dans le langage. Cette meilleure perception des sons linguistiques favoriserait la construction de représentations phonologiques stables. Or, les résultats de nombreuses études montrent que les enfants dyslexiques ont des représentations phonologiques instables qui pourraient, au moins dans certains cas, engendrer des difficultés dans l'acquisition de la lecture. Le but de notre étude est de déterminer si un entraînement musical pourrait améliorer les représentations phonologiques et la lecture des enfants dyslexiques. Dans ce but, nous avons évalué l'efficacité d'une nouvelle thérapie alliant orthophonie et entraînement musical: la Thérapie Cognitivo-Musicale (TCM). Nous avons observé deux groupes de six enfants dyslexiques pendant douze semaines en utilisant une approche longitudinale: pré-tests - rééducation - post-tests. Le premier groupe (dit 'musique') a suivi une TCM associée à une rééducation orthophonique. Le second groupe (dit 'témoin') a suivi une rééducation orthophonique classique. Le temps de prise en charge était le même dans les deux groupes. Les mêmes tâches ont été proposées aux enfants en pré et post-tests afin de tester l'influence de la rééducation sur la perception des sons musicaux et linguistiques et sur les aspects neuropsychologiques. En résumé, les résultats ne montrent pas d'amélioration significative dans aucun groupe. Cependant, on observe une tendance vers l'amélioration plus nette pour les enfants du 'groupe musique' que du 'groupe témoin' dans plusieurs tests (musique, syllabes, fusion syllabique, attention et mémoire auditive, lecture en une minute). Le fait que les résultats ne montrent qu'une tendance peut s'expliquer par la durée relativement courte de la rééducation, le faible nombre d'enfants observés et la variabilité inter-individuelle. Cette tendance positive associée à la TCM est néanmoins encourageante et devra être confirmée par une étude plus approfondie.
Author: Chloé Lardy
Author: Chloé Lardy
Author: Céline Commeiras
Author: Anne-Laure Dupont
Author: Françoise Estienne
Author: Yoan Altar
Author: Anne-Pauline Garbar
Author: Claire Zinck
Author: Séverine Barthe (orthophoniste)
Author: Laurence Filipic
Author: Marie-Anne Fery