Déficit en vitamine D et facteurs associés chez le sujet âgé PDF Download

Author: Aurélie Trignol
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Pages : 70

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Author: Elen-Elizabeth Lallemand
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Pages : 152

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Les sujets âgés présentent fréquemment une carence en vitamine D, cependant elle demeure généralement inconnue en l’absence de dosage de la 25(OH)D. Notre étude a recherché des facteurs pouvant servir de prédicteurs du taux de 25(OH)D. Pour cela, un ensemble de variables, biologiques et cliniques, a été mesuré, entre juillet et octobre 2009, sur 52 individus d’un service de gériatrie aigue et 91 patients d’un service de soins de suite et réadaptation, tous plus âgés de 75 ans. 95% des 96 personnes n’ayant pas de supplémentation médicamenteuse en vitamine D ont présenté un taux de 25(OH)D

Author: Kilian Lécluse
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Contexte : L’insuffisance en vitamine D est responsable d’une augmentation du risque de chute, de fracture fémorale et de sarcopénie, problèmes majeurs en gériatrie. La vitamine D aurait aussi un lien avec l’incidence de pathologies chroniques extra osseuses (cancer, pathologie cardiovasculaire, diabète, démence, maladie auto-immune). Parallèlement, de nombreuses publications soulèvent l’importance de la prévalence de l'insuffisance vitaminique D en particulier chez la personne âgée. Objectifs : Etablir la prévalence de l'hypovitaminose D à l'admission dans un service de court séjour gériatrique et définir les facteurs de risque associés. Méthodes : Etude transversale portant sur 140 patients âgés hospitalisés dans le service de médecine interne et gériatrique de l'hôpital Saint Philibert à Lomme. Calcul de la prévalence, analyse uni- et multivariée des facteurs de risque d'hypovitaminose D. Résultats : 139 patients (99,7%) présentaient une hypovitaminose D (25(OH)D

Author: Hélène Le Bouter
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Introduction : la vitamine D joue un rôle dans la neurophysiologie et la cognition. Notre objectif était de déterminer si la carence en vitamine D est associée aux troubles du comportement chez le sujet âgé. Méthode : 272 participants hospitalisés ou vus en consultation mémoire (83.4±7.1 ans; 64.3% de femmes; concentration moyenne en 25-hydroxyvitamine D=50.2±31.1nmol/L) du département de médecine gériatrique au CHU d'Angers en France, ont été recrutés dans l'étude observationnelle CLIP. Les troubles du comportement ont été étudiés grâce à l'inventaire neuropsychiatrique (NPI, score total/180). Un sous-score du NPI strictement supérieur à 2/15 était pathologique. L'âge, le sexe, l'IMC, le niveau socio-éducatif, la cognition, les comorbidités, la dépression, l'utilisation de compléments en vitamine D et de psychotropes, les concentrations sériques en PTH, calcium, TSH, et le débit de filtration glomérulaire rénale ont été utilisés comme facteurs de confusion. Résultats : les participants porteurs d'une carence en vitamine D (n=78), avait des sous-scores NPI de l'agitation/agressivité (p=0.024) et de la désinhibition (p=0.023) plus pathologiques que les participants non carencés. On ne retrouvait pas de différence significative du score total du NPI entre le groupe carencé en vitamine D et le groupe non carencé (p=0.921). Après ajustement sur les facteurs de confusion, la carence en vitamine D était statistiquement associée aux sous-score d'agitation/agressivité ([beta]=1.37, P=0.005) et de désinhibition ([beta]=0.96, P=0.008). Après régression logistique, la carence en vitamine D était associée à un plus grand risque d'agitation/agressivité (OR=3.3 [IC 95% :1.1-10.2]) mais pas de désinhibition (OR=9.3 [IC 95% :0.6-135.8]). Conclusion : la carence en vitamine D est associée à une plus grande agitation/agressivité et désinhibition chez les patients gériatriques, bien que les troubles du comportement ne diffèrent pas dans les 2 groupes. Ces résultats appellent à la réalisation d'études interventionnelles prospectives, où l'on observerait l'effet de la supplémentation en vitamine D.

Author: Adeline Briend
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Pages : 94

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Malgré les bénéfices attendus et les recommandations, la supplémentation en vitamine D et calcium est sous-utilisée chez les sujets âgés en institution. Objectif : Déterminer les facteurs associés à la prescription de calcium et de vitamine D chez les sujets âgés vivant en EHPA en France. Méthode : Étude transversale portant sur 4818 résidents à partir des données de l'enquête REHPA (Recherche en Établissements d'Hébergement pour Personnes Âgées) du Gérontopôle de Toulouse. Résultats : 14,6 % des résidents recevaient un traitement par calcium-vitamine D. Le diagnostic d'ostéoporose s'avère être le facteur indépendant le plus associé à cette prescription. Chez les patients sans diagnostic d'ostéoporose, les facteurs associés étaient les chutes, la douleur, l'âge (moins de 80 ans), la provenance hospitalière, la dépression et la perte de la marche. Conclusion : Le calcium-vitamine D est peu prescrit en EHPA. Son indication principale reste l'ostéoporose. La supplémentation, en particulier en vitamine D, en dehors de l'ostéoporose, est controversée. Il est important d'approfondir la recherche dans ce domaine.

Author: Christelle Pont
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Pages : 141

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le Défcicit en vitamine D est très fréquent chez le sujet âgé,particulièrement chez les sujets institutionnalisés ou confinés à domicile.Il est d'origine multifactorielle (âge,exposition solaire,pigmentation cutanée,facteurs nutritionnels).Il est notamment responsable d'ostéoporose avec un risque fracturaire majoré et donc un risque accru de handicap fonctionnel.Objectifs :Déterminer la prévalence du déficit en vitamine D dans une population ambulatoire de sujets âgés d'au moins 65 ans,dans la région nîmoise 'évaluée par dosage plasmatique de la 250H vitamine D),définir les facteurs associés au déficit en vitamine D (recueillis par questionnaire) et évaluier les pratiques des médecins généralistes face à une supplémentation en vitamine D.Méthodes : 142 patients (102 femmes et 40 hommes) âgés en moyenne de 77,4 7,5 ans ont été recrutés par leur médecin généraliste.Dans cette population,22,5 % étaient supplémentés en vitamine D.20,4% présentaient un antécédent de fracture ostéoporotique.Résultats : la prévalence du déficit en vitamine D (250HD

Author: Elhad Mohamadi
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Pages : 182

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Objectif : Etudier le statut en vitamine D chez le sujet de plus de 65 ans hospitalisé en court séjour gériatrique à Saint Denis de la Réunion et les facteurs de risques associés. Matériel et méthodes: Entre février et juillet 2012, 200 patients hospitalisés dans le service de court séjour gériatrique sont inclus dans l'étude. Un recueil de données permet de caractériser la population selon plusieurs critères (Age, sexe, antécédents, mode de vie et alimentation, données biologiques etc). Le statut en vitamine D est évalué par le dosage de la 25(OH)D. Les facteurs de risque exprimés en terme d'Odd Ratio (OR) sont évalués dans un modèle logistique d'abord univarié, puis multivarié ajusté sur le sexe et l'âge et enfin multivarié en incluant les constantes biologiques (ORa). Résultats : Le taux moyen en 25(OH)D est de 21,44 ng./ml. 79,5% de la population présentent un déficit en vitamine D (taux inférieur à 30 ng/ml) et 14% présentent une carence en vitamine D avec un taux inférieur à 10 ng/ml. La chute au cours des 12 derniers mois apparaît comme un facteur prédictif majeur de déficit en vitamine D : ORa = 22,91;IC 95%[5,88-89,22]; p =0,0001. L'ensoleillement apparait comme un facteur protecteur : ORa =0,09;IC95%[0,02-0,36]; p=0,0005. Conclusion : A 21,5° de latitude, à la Réunion, le rayonnement des ultras violets devrait permettre une suffisance en vitamine D toute l'année. Toutefois la prévalence du déficit global en vitamine D est importante pour les patients âgès hospitalisés dans le service de gériatrie à Saint Denis de la Réunion. La chute dans les 12 mois chez le sujet âgé apparaît comme un facteur prédictif majeur d'insuffisance en vitamine D, cela devrait constituer une piste de réflexion pour la prise en charge des patients. Le dépistage d'un déficit en vitamine D pourrait alors être systématiquement proposé à tout sujet âgé, et surtout ceux victimes d'au moins une chute au cours des douze derniers mois.

Author: Guillaume Duval
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Introduction. La supplémentation en vitamine D prévient les chutes du sujet âgé. L'objectif de cette première étude cas-témoins était de déterminer si les patients âgés hospitalisés pour une chute avaient plus souvent un déficit en vitamine D que les contrôles appariés non chuteurs. Méthode. Les participants (1 cas pour 2 témoins appariés sur âge et sexe) ont été recrutés dans le service de gériatrie du CHU d'Angers entre Février 2012 et Mars 2014. Le déficit en vitamine D a été défini par une concentration sérique de 25-hydroxyvitamine D≤25nmol/L lors de l'admission. Les chutes, définies comme un évènement involontaire entraînant la personne au sol ou à un autre niveau inférieur, ont été recherchées dans les dossiers médicaux standardisés. Les principaux mécanismes et complications des chutes ont été identifiés pour chaque cas. Résultats. 216 participants (72 cas et 144 contrôles) ont été inclus dans l'étude. Il n'y avait pas de différence de prévalence du déficit en vitamine D entre les 2 groupes (P=0,176). Après ajustement sur les facteurs de confusion, le déficit en vitamine D était positivement associé à la chute (OR=2,99, P=0,026). Enfin, les chuteurs avec un déficit en vitamine D présentaient plus souvent une hypotension orthostatique (68,8% contre 33,3%, P=0,039) et une histoire de chutes récurrentes (85% contre 50%, P=0,002) que les chuteurs sans déficit. Conclusions. Le déficit en vitamine D a été associé à la chute chez des patients âgés hospitalisés. Nos résultats montrent que le mécanisme de la chute en cas de déficit vitaminique D pourrait reposer sur l'existence d'une hypotension orthostatique, et la principale complication être la récurrence des chutes.

Author: Jean-Pierrel Sauvetre
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Pages : 122

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Introduction : L''hypothèse que la carence en Vitamine D combinée à des facteurs de risque d'hospitalisation prolongée pouvait identifier de manière les patients à risque de longue hospitalisationa été envisagée.Objectif : Déterminer si la carence en Vitamine D était associée à un risque d'hospitalisation prolongée en tenant compte de facteurs de risque cliniques chez des patients admis en court séjour de gériatrie.Méthode : Etude transversale portant sur 531 sujets âgés hospitalisés dans le service de court séjour gériatrique du CHU d'Angers. L'âge, le sexe, le poids, la taille et le nombre de médicaments pris quotidiennement étaient notés. La 25OHD était dosée. Une évaluation de l'isolement social était réalisée. Un médecin réalisait une évaluation de l'état cognitif du sujet à l'aide d'une Confusion Assessment Method et de l'état polymorbide via l'index de Kaplan-Feinstein. Les motifs d'hospitalisation ont été séparés en 4 catégories : troubles de la mobilité, troubles neuropsychiatriques, défaillance d'organe et le reste des motifs. La durée de séjour a été segmentée en trois catégories (courte, moyenne et longue) sur la base d'une tertilisation.Résultats : Le syndrome confusionnel, le sexe masculin et la carence en vitamine D étaient associés avec une longue durée de séjour. Le risque de rester hospitalisé longtemps augmente en cumulant ces trois variables.Conclusion : La carence en vitamine D, le syndrome confusionnel et le sexe masculin étaient les facteurs de risques retrouvés. Grâce à cette combinaison de facteurs, l'identification précoce des patients à risque d'hospitalisation prolongée est envisageable.

Author: Cédric Annweiler
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Justification et revue de la littérature : Les troubles de la marche et la chute du sujet âgé constituent un problème de santé publique majeur en raison d'une forte prévalence, de la perte d'indépendance et du coût de leur prise en charge médico-sociale, justifiant l'élaboration de nouvelles stratégies de prévention. La substitution en vitamine D montre, malgré quelques résultats négatifs, une réduction du taux de fracture mais aussi des chutes et des chuteurs, un taux de vitamine D bas étant un gage d'efficacité. Cet effet ne peut s'expliquer par un effet limité à l'os. L'hypothèse d'une action sur le système nerveux central (coordination motrice et capacités attentionnelles) et le muscle (amélioration de la force musculaire), permettant d'influencer le mécanisme de la chute et ses conséquences, peut être évoquée. Les effets de l'insuffisance vitaminique, définie par un taux sérique ≤30 ng/mL, sur la force musculaire restent controversés, la divergence des résultats pouvant être due au manque ou à l'absence de prise en compte de facteurs de confusion. Objectif : Déterminer si un taux sérique de 25 OHD ≤30 ng/mL est associé à une réduction de la force musculaire chez la femme âgée. Plan de l'étude : transversal. Population : 440 femmes de ≥75 ans vivant à domicile issues de la cohorte EPEDOS. Mesures : Dosages sériques de vitamine D, évaluation de la force maximale volontaire de préhension palmaire et quadricipitale. Résultats : La diminution de la force musculaire a été reliée à l'avance en âge et aux comorbidités, alors qu'un Indice de Masse Coporelle élevé et la pratique d'exercice ont été associés à une force plus importante en mode uni-varié. Après ajustement sur l'ensemble des facteurs de confusion, l'âge et la clairance de la créatinine ont été reliés à une réduction de la force, tandis qu'un IMC élevé a été associé à une force élevée. Conclusions et perspectives : Notre étude réfute l'existence d'un lien entre déficit en 25 OHD et diminution de la force musculaire chez la femme âgée. De nouvelles investigations sont nécessaires pour confirmer ce résultat et évaluer les implications de la vitamine D à ce niveau.