CREATION ET BILAN DE 18 MOIS D'ACTIVITE D'UN SERVICE D'URGENCES PORTE, DANS UN CENTRE HOSPITALIER GENERAL DE MOYENNE IMPORTANCE PDF Download

Author: JEAN PIERRE.. SCHNEIDER
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Pages : 322

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Author: Marie-Annick Bonneau (médecin.)
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Pages : 256

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Author: Catherine Joly
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Pages : 296

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Après un rappel de la législation et une tentative de définition de l'urgence, sont présentés l'hôpital général et plus précisément le service d'accueil des urgences. Les modalités de la prise en charge des malades sont décrites. Le bilan statistique de l'activité du service au cours de l'année 1988 est dressé, avec quelques données comparatives avec des service d'urgence d'autres hôpitaux français et étrangers. De ce bilan est dessiné le profil-type d'un service de porte. Quelques critiques sont formulées, avant d'aborder l'évolution actuelle du service de porte. Pour conclure, l'auteur insiste sur la pluralité des réponses apportées aux malades et sur l'importance de la qualité de l'accueil.

Author: Pauline Cuzin
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Pages : 68

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Les services d'urgences, partout dans le monde, connaissent chaque année une augmentation constante du nombre d'admissions. Nous avons tenté de comprendre comment peut s'expliquer cette progression. Il s'agit d'une étude prospective observationnelle d'une cohorte de 740 patients admis en service d'urgences au CH de Riom (63200) durant le mois d'octobre 2013. Un questionnaire a été rempli pour chaque patient par le médecin ou l'interne des urgences. Les hommes représentent 53.8% des passages, les patients de 65 ans et plus sont 25% et 18.9% ont 75 ans et plus. 82.7% sont issus de l'arrondissement de Riom. Les patients ne sont pas seul à domicile dans 76.7% des cas, (ils le sont dans 16.1% des cas, ou viennent d'Institution ou d'EHPAD dans 6% des cas). 2/3 des patients (64%) consultent aux urgences sans avis médical préalable ; ils ne sont que 16.9% à être adressés par un médecin (contact téléphonique pour 16.8% et/ou courrier pour 69.6%) et 11.2% par la régulation du 15 (dont 37.5% ont fait l'objet d'un appel au service d'urgences du médecin régulateur). 44.4% sont conduits par un proche, 23% arrivent par leurs propres moyens, 13.3% utilisent une ambulance ou un VSL, 16.8% sont amenés par les Pompiers, 1.4% par le SMUR et 1.4% par les services de Police. 18% des patients (âge moyen 53.6 +/-27 ans) ont déjà été vus en service d'urgences dans les 6 derniers mois; 11.5% (âge moyen 67+/-22.4 ans) ont déjà été hospitalisés dans les 6 derniers mois. Plus de la moitié des patients ont un examen d'imagerie et pour ceux qui n'en n'ont pas, ils sont 86.1% à ne pas être hospitalisés . 77.3% des patients ayant une radiographie réintègrent leur lieu de vie et 64.1% des patients ayant un scanner sont hospitalisés. 51% des patients ont des traumatismes (chutes, contusions, plaies, entorses, fractures...) ; viennent ensuite les douleurs abdominales, les radiculalgies et rachialgies, les pathologies ORL, les problèmes cutanés, les pathologies neurologiques. On relève seulement 16"urgences vitales". A la suite de leur passage, 79% des patients réintègrent leur lieu de vie initial (âge moyen 38.9 ans), 19% sont hospitalisés au CH de Riom (âge moyen 71.3 ans) et 2% sont transférés (âge moyen 39.5 ans). 9 patients sur 10 venus sans avis médical préalable réintègrent leur lieu de vie alors que plus de 40% des patients adressés par un médecin ou par la régulation du 15 sont hospitalisés. Dans 57.8% des cas, c'est le patient ou un des proches qui décide sans avis médical préalable de recourir d'emblée au service d'urgences. Dans 8.5% des cas, le patient a tenté, sans succès, avant de venir aux urgences de voir un médecin libéral. Le recours au service d'urgences dans 32.3% des cas se fait sur avis médical (médecin traitant ou régulation du 15). 16.9% des admissions n'apparaissent pas, dans l'absolu, justifiées ; 22.6% nécessitent un avis médical mais sans caractère d'urgence. Dans 58.8% des cas, c'est l'état clinique du malade, la nécessité d'un examen radiologique ou biologique, le contexte social ou la nécessité d'un avis chirurgical qui justifient le passage aux urgences. Le service d'urgences est désormais un lieu d'accès aux soins primaires. L'Hôpital exerçant ainsi sa vocation constitutive d'accueil.

Author: Gilles Renard
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Author: Olivier Tilak
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Contexte : Depuis leur création, l’activité des services d’urgences ne cesse de croitre. Ils doivent aujourd’hui faire face à des phénomènes d’engorgement. Objectifs de l’étude : Examen des caractéristiques socio-démographiques, trajectoires et motivations de recours aux urgences des usagers, et des représentations qu’ils se font de ce service. L’étude cherche à définir différents profils de patients selon ces déterminants. Protocole : Etude prospective, descriptive et observationnelle d’une cohorte d usagers. Lieu de l’étude : Etude monocentrique menée au sein du Service des Urgences du C.H.Douai. Matériels et méthodes : Etude incluant tous les patients admis administrativement dans le service, à l’exception de ceux transférés depuis un autre service ou un autre hôpital. Sur 7 journées, 1064 patients ont pu être inclus dans cette étude. Critère de jugement principal : L’établissement de différents profils d’usagers d'un service d'urgence de centre hospitalier général selon les représentations qu'ils s'en font, leurs motivations et trajectoires de recours, et leurs caractéristiques socio-démographiques. Résultats : Cinq profils discriminants ont pu être définis : Les patients admis suite à intervention de la police, les patients difficilement interrogeables, les patients en état « grave », les patients âgés, et les patients adressés par un médecin. Conclusions : L’analyse des caractéristiques socio-démographiques des patients, de leurs trajectoires et motivations de recours aux urgences et des représentations qu’ils en ont, permet de définir différents profils d’usagers. Face à l’engorgement des urgences, ces constatations locales sont une aide pour adapter l’organisation du service à sa population de patients.

Author: Bernard Alberola
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Author: SOPHIE.. SERRE DUMONT
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Author: PIERLYNE.. MONTESQUIEU AUBIGNAT
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Author: Evelyne Bedenne
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Pages : 146

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Très peu de services de Médecine d'Urgence à hospitalisation courte existent dans les hôpitaux français. Le service de Médecine d'Urgence de l'Hôpital Général à Dijon, ouvert depuis le 1er Mars 1979 a reçu 2626 malades pendant l'année 1982. Le bilan d'activité du service pour cette année a permis de dégager les résultats suivants : les malades sont hospitalisés en moyenne 1.23 jour dans le service; trois grandes catégories diagnostiques prédominent dans le recrutement des malades, à savoir : les tentatives de suicide, la pathologie neurologique et la pathologie cardiovasculaire; la moitié des malades sont sortants au terme d'un bilan de 24 heures : la médecine d'urgence participe au tri des hospitalisations et donc à l'économie du système de santé; l'autre moitié est mutée dans les services de médecine ou de spécialité avec un diagnostic établi pour 69% d'entre eux : c'est un service axé sur la sémiologie clinique. Le service de Médecine d'Urgence a donc un rôle non négligeable au sein du CHU et de la collectivité.