Author: Katel Benjamin Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 124
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Introduction :Le diabète de type 2 est un problème de santé publique. La connaissance d’un traitement est liée à son observance. L’éducation thérapeutique du patient (ETP) joue un rôle dans l’observance. L’objectif de ce travail est donc d’évaluer les connaissances et représentations des patients diabétiques de type 2 sur leur traitement. Matériel et méthodes Les données ont été recueillies de manière prospective à l’aide d’un questionnaire mixte téléphonique réalisé d’Août 2014 à Mai 2015 chez des patients diabétiques de type 2 choisis aléatoirement parmi les patients suivis au centre médical de santé de Champigny sur Marne. L’influence de plusieurs facteurs dont la réalisation d’une ETP ont été analysées à l’aide de tests univariés. Résultats 120 patients ont été inclus. 44.8% connaissaient très bien leur traitement antidiabétique oral et 66,7% leur traitement injectable. Les traitements antihypertenseurs et hypolipémiants étaient mal connus (respectivement 53,8 % et 48,3%). Il n’a pas été mis en évidence pas de lien significatif entre la connaissance des traitements et la réalisation d’une ETP. Les attentes des patients concernant leur traitement sont variées. 76.7% des patients déclaraient ne pas oublier leurs traitements. Les effets secondaires ne sont pas connus dans 85% des cas. Conclusion La connaissance des patients de leur traitement médicamenteux est partagée. Les traitements régulant la glycémie sont bien connus mais les anti-hypertenseurs et hypolipémiants le sont sont beaucoup moins. Ce différentiel s’explique probablement du fait que la mise en évidence de l’importance de ces traitements pour le daibète est récente et encore méconnue des médecins.
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Le diabète est une pathologie chronique dont la prévalence, 4.7 % en 2013, ne cesse d'augmenter en France et dans le monde. C'est une maladie coûteuse qui a représenté, en 2011, 5 % des dépenses de santé. Le traitement de première intention est la metformine. septième molécule la plus génériquée en 2013, représentant 1.7 % du marché du générique français. Ce travail a pour but de comprendre les perceptions et les attentes des patients diabétiques de type 2 à la prescription de médicaments génériques concernant leur pathologie chronique. Il s'agit d'une étude qualitative. Des entretiens semi-directifs ont été réalisés auprès de 15 patients issus de la patientèle de sept médecins généralistes du Territoire de Belfort. Une analyse descriptive de leur ordonnance la plus récente disponible a également été réalisée. Les médicaments génériques perturbent les repères que les patients ont avec leur traitement chronique. Peu de patients refusent les médicaments génériques, ils les acceptent mais avec méfiance. Cette méfiance vient de leurs connaissances limitées concernant les médicaments génériques, de leurs représentations et de leur vécu concernant ces médicaments. La prise de metformine, en tant que médicament générique, ne semble cependant pas être problématique pour la plupart des patients. L'attitude des patients peut également être influencée par une appréhension de l'industrie pharmaceutique, la politique de santé mais également par le discours de leur médecin traitant en qui ils ont confiance. Les patients ne se sentent pas assez informés sur le sujet des médicaments génériques mais tous ne sont pas pour autant demandeurs de plus d'informations. L'analyse des ordonnances a permis de mettre en évidence les différents schémas thérapeutiques utilisés ainsi que d'autres pathologies chroniques associées. Les patients ont des doutes vis-à-vis des médicaments génériques qui pourraient peut-être être levés s'ils étaient mieux informés. Le médecin traitant semble être le mieux placé pour délivrer cette information mais d'autres méthodes d'information pourraient être approfondies comme intégrer le sujet des médicaments génériques aux programmes d'éducation thérapeutique
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Du fait de l'éloignement des hôpitaux, des consultations délocalisées à l'EHPAD de Mimizan ont été mises en place par les spécialistes du CH de Dax. Des séances éducatives y sont proposées par l'équipe de diabétologie pour l'ensemble des diabétiques de type 2. La finalité est l'intégration de l'éducation thérapeutique des patients (ETP) par les médecins généralistes et l'équipe paramédicale de Mimizan au sein de la maison de santé pluridisciplinaire (MSP). Objectif : l'objectif de cette étude est d'évaluer l'intérêt pour un patient diabétique de type 2 adressé par le médecin généraliste de participer à des séances d'ETP hors milieu hospitalier. Méthode : notre étude a étudié l'acquisition des compétences et les modifications de comportement de 21 patients ayant participé à ce programme. Leur satisfaction et celle des médecins traitants ont aussi été regardées. Résultats : nous avons pu constater une amélioration statistiquement significative des connaissances des patients en ce qui concerne les objectifs de sécurité. Après éducation, l'Hba1c était significativement meilleure. Seize patients sur 21 ont affirmé avoir changé de comportement ce qui a aussi été observé par les médecins traitants. L'ensemble des médecins généralistes ont été satisfaits du programme car cela a permis d'autonomiser leurs patients vis-à-vis de leur maladie bien que l'assiduité de ces derniers n'était malheureusement pas bonne au long cours. Discussion : la mise en route de l'ETP à Mimizan permet une prise en charge globale des patients par une équipe pluridisciplinaire. Au regard du nombre de patients participants, il faut poursuivre la communication entre les professionnels de santé afin que l'ensemble des diabétiques de type 2 puisse être éduqué. Dans l'idéal, une nouvelle offre d'ETP devrait être proposée à chaque patient pour maintenir ses compétences ou pour compléter l'ETP si besoin.
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L'incidence du diabète de type 2 augmente dans notre société, c'est un problème de santé publique important et une part non négligeable de patients vont devoir être mis sous insuline. Dans certains cas, l'insulinothérapie est mise en place au cours d'une hospitalisation. Il est important que ces patients acquièrent des connaissances solides par rapport à leur pathologie et à leur traitement. L'objectif de cette étude était d'évaluer ces connaissances chez des patients dont l'insulinothérapie avait été introduite à l'hôpital, afin de déterminer leurs capacités à utiliser ce traitement en toute sécurité. Il s'agit d'une étude transversale, observationnelle, réalisée en France au cours de l'année 2020. Nous avons interrogé, à l'aide d'un questionnaire dirigé, des patients diabétiques de type 2 dont l'insuline avait été instaurée à l'hôpital. Nous avons interrogé 30 patients, âgés en moyenne de 59,7 ans (± 10,9 ans déviation standard), dont 23% de femmes. Le délai médian depuis l'introduction d'insuline était de 24 mois. Le suivi du diabète était ambulatoire pour 17 des patients (57%), hospitalier pour 8 (27%) et mixte pour 5 (17%) d'entre eux. Au total, 23% des patients avaient bénéficié initialement d'une prise en charge par un(e) IDE. Les résultats montrent un score de connaissance insuffisant avec un score de réussite moyen de 19,23 (± 6,97 déviation standard) sur 37. Seul 73% des patients connaissent leur objectif glycémique. Concernant l'impact de l'exercice physique et de l'alimentation sur l'équilibre glycémique, le score moyen était de 6 (± 2,86 déviation standard) sur 10. Concernant les connaissances sur les hypoglycémies, le score moyen était de 8,23 (± 2,94 déviation standard) sur 14. Concernant les connaissances portant sur les hyperglycémies, le score moyen était de 4,26 (± 1,86 déviation standard) sur 12. Il existait une corrélation statistiquement significative entre un meilleur score de réussite et le nombre d'années d'étude, le jeune âge, le suivi mixte et le fait d'être une femme. En conclusion, l'éducation thérapeutique doit être renforcée chez l'ensemble des patients, notamment les personnes âgées et les populations ayant fait le moins d'étude. Une meilleure articulation entre ville et hôpital semble également souhaitable, avec plus de prise en charge mixte, notamment via des structures éducatives dédiées.
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Introduction : En France, la prévalence du diabète de type 2 est de 4,5 %. En 2007, un plan national pour l'amélioration de la qualité de vie des personnes atteintes de maladie chronique est lancé : l'un des axes du plan est " mieux connaître sa maladie pour mieux la gérer " . Objectif : Evaluer les connaissances des patients diabétiques de type 2 sur le diabète, sa gravité, ses complications et les examens nécessaires à son suivi. Matériel et méthode : Choix aléatoire de 100 médecins généralistes franc-comtois qui devaient distribuer un auto-questionnaire d'évaluation à 3 de leurs patients diabétiques de type 2. Au total nous avons obtenu 89 questionnaires. Résultats : 98 % des patients sont conscients de la gravité du diabète, mais seulement 38 % connaissent les complications cardiaques. Les patients connaissent bien les complications ophtalmologiques et neurologiques et les examens de dépistage de ces complications mais ils ne sont qu'un sur 2 à les réaliser régulièrement. Les patients qui ont bénéficié de séances éducatives connaissent mieux les complications du diabète et les autres facteurs de risque cardio-vasculaire et ont, en moyenne, un meilleur suivi de leur maladie. 71 % souhaitent être mieux informés sur leur pathologie, et 94 % estiment que leur médecin généraliste est la personne la plus adaptée pour leur apporter cette information. Les patients qui souhaitent bénéficier de séances éducatives sont 27 %. Conclusion : La seule information ne suffit pas pour changer le comportement des patients diabétiques de type 2 et leur assurer une prise en charge optimale, l'ETP doit donc être développée à large échelle pour améliorer l'efficacité des soins.
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Le diabète, est particulièrement le diabète de type 2 est un problème de santé majeur, à la morbidité et mortalité grandissante. Pour limiter son impact, l'éducation thérapeutique fut mise en place et sacralisée en France par la loi HPST de 2009 afin de permettre aux patients de faire des choix les plus éclairés possible sur la prise en charge de leurs pathologies. Pourtant dans leur pratique quotidienne les médecins généralistes ont le sentiment que leurs patients diabétiques de type 2 présentent toujours un niveau insuffisant de connaissance. Objectif : L'objectif de cette étude est d'évaluer les connaissances des patients diabétiques du Cotentin sur leur maladie. Méthode : Pour ce faire nous avons proposé aux patients diabétiques de type 2 du Cotentin de remplir un questionnaire basé sur l'échelle d'évaluation des connaissances du diabète SKILLD. Une analyse de la population en fonction de leur connaissance fut réalisée. Résultat : L'étude montre que 44,1 % des patients diabétiques de l'étude présentaient au score de connaissance jugée correcte (≥50%). La comparaison des populations en fonction de leur score de connaissance permettait de constater que le groupe de patients avec un score de connaissance ≥ 50% était significativement plus jeune, avait bénéficié plus souvent de séance d'éducation thérapeutique et avait plus souvent un traitement par insuline. De même les patients suivis par des diabétologues présentaient un meilleur score de connaissance par rapport à ceux suivis par les médecins généralistes. Discussion : Cette étude montre donc un intérêt à mettre en place et poursuivre des programmes d'éducation thérapeutique des diabétiques du Cotentin afin de permettre à chaque patient d'améliorer et développer ses connaissances sur le diabète, notamment en soins primaires où les connaissances sont les plus insuffisantes.
Author: Pierre Garcia Santos Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 370
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Le diabète de type 2 est à l’heure actuelle un grave problème de santé publique en raison de sa prévalence toujours croissante, de la sévérité de ses complications et des conséquences financières engendrées. L’observance et l’autonomie du patient envers son traitement jouent des rôles-clés dans la réussite thérapeutique. Les entretiens pharmaceutiques donnent la possibilité au pharmacien d’officine d’assurer un suivi optimisé et personnalisé des patients chroniques dans le but d’améliorer leur connaissance de leur pathologie et la gestion de leurs médicaments. Néanmoins, ces entretiens ne semblent pas complètement adaptés à la réalisation d’interventions éducatives, le patient ne jouant pleinement son rôle d’ « acteur de santé ». Par ailleurs, ils n’existent que pour les patients prenant des anticoagulants oraux et les patients asthmatiques, et n’ont pas encore été développés pour les patients diabétiques de type 2. Nous avons élaboré en groupe de travail les documents nécessaires à la réalisation de l’entretien pharmaceutique 1 pour le diabétique de type 2 de sorte à établir un « diagnostic éducatif ». Une étude de faisabilité a permis de confirmer leur applicabilité et leur adéquation à la pratique officinale. Enfin, des fiches thématiques relatives à douze thèmes majeurs liés à la prise en charge du diabète ont été conçues pour mener l’entretien 2 comme une « éducation personnalisée ». Le pharmacien d’officine devient un acteur incontournable dans le parcours de soins du patient, collaborant au sein d’un « réseau » de professionnels de santé entre l’hôpital et la ville et contribuant ainsi à améliorer la santé des patients chroniques tels que les diabétiques de type 2.
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La formation du patient diabétique sur sa maladie est devenue une priorité de santé publique. Objectifs principaux: évaluer le niveau de connaissance de leur maladie des patients diabétiques de type 2 suivis en languedoc-Roussillon; rechercher une association entre un bon niveau de connaissance et une meilleure évolution dela maladie en termes d'équilibre glycémique et de complications. Objectifs secondaires: recueillir des informations sur le quotidien, les difficultés, l'accompagnement des patients diabétiques; identifier les caractéristiques influant sur le niveau de conaissance, la qualité de vie et l'évolution de la maladie. Matériel et méthodes: étude observationnelle quantitative réalisée au Grau du Roi. Résultats: le type de complications, le suivi ou le traitement antidiabétique sont mal connus. Aucun line direct n'a pu être mis en évidence entre niveau de connaissance et évolution de la maladie mais notre étude révèle que les besoins éducatifs peuvent être très différents selon les caractéristiques des patients. Les patients veulent jouer un rôle actif dans la gestion de leur maladie mais éprouvent des difficultés à respecter les règles hygiéno-diététiques et à maintenir leur qualité de vie lorsque la maladie évolue. Ils font confiance au médecin pour les aider à vivre avec la maladie mais sont peu en contact avec les associations et réseaux diabète. Conclusion: l'adaptation du système de soins à la prise en charge de pathologies chroniques, telles que le diabète, est complexe et nécessite de faire évoluer l'organisation des soins afin d'améliorer la pratique de l'éducation thérapeutique et de garantir une meilleure prise enecharge des différents aspects de la maladie.
Author: Charlotte Champiot Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 0
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Les difficultés de prise en charge des patients diabétiques reposent sur l'initiation et le maintien d'une modification du mode de vie. L'exploration du vécu et des représentations singulières d'un patient diabétique, peu décrites dans la littérature, permettrait de proposer une approche thérapeutique personnalisée centrée sur ses priorités. L'objectif principal était d'explorer les vécus et représentations de la maladie des patients diabétiques de type 2. Une étude qualitative auprès de patients diabétiques de type 2 adultes, volontaires, suivis en Maison de Santé Pluriprofessionnelle à Domène, Isère, a été réalisée. Les entretiens semi-directifs enregistrées ont été conduits jusqu'à saturation des données. Une analyse thématique des verbatims, par codage ouvert puis axial a été conduite par triangulation des chercheurs après retranscription intégrale des entretiens. Chacun des 16 patients se représentait sa maladie et l'abordait à partir de son vécu (familial, social et professionnel) de manière personnelle et unique. Lors de sa découverte, les réactions émotionnelles variaient d'une véritable détresse à une totale impassibilité. La minimisation de la gravité du diabète par les patients sans traitement médicamenteux était omniprésente. Les difficultés ressenties étaient centrées sur l'alimentation et l'activité physique, alors que le médicament antidiabétique oral ne semblait pas en être une. La prise en considération psychique et sociale du patient apparait importante. Elle permettrait de développer en soins premiers des actions d'éducation concertées, permettant au patient d'acquérir un pouvoir d'action par ses compétences acquises afin d'améliorer sa qualité de vie.
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Le diabète de type 2 est en augmentation dans le monde entier. Au cours de l’évolution de la maladie de nombreux patients vont nécessiter la mise sous insuline. Ces dernières années cette pratique est de plus en plus souvent réalisée en ambulatoire. Ceci implique la réalisation d’une éducation thérapeutique en ville. L’objectif de cette étude est d’évaluer les connaissances des patients diabétiques de type 2 sous insuline basale suivis en ambulatoire afin de s’assurer qu’ils ont les connaissances de base leur permettant d’utiliser leur traitement en toute sécurité. Il s’agit d’une étude transversale, observationnelle réalisée en France au cours de l’année 2019. Nous avons interrogé, à l’aide d’un questionnaire dirigé, des patients diabétiques de type 2 dont l’insuline basale a été instaurée et gérée exclusivement en ville. Ces patients ont été préselectionnés par leur médecin. Nous avons inclus 30 patients : 15 patients étaient suivis par leur médecin généraliste et 15 par leur endocrinologue. L’âge des patients était de 64,8 ans ± 9 ans (moyenne ± SD). Il y avait une majorité d’homme (63%). La durée sous insuline des patients était de 21,3 mois ± 36 mois. A l’initiation de l’insuline, 43% des patients ont bénéficié de l’aide d’une infirmière. Les résultats montrent que le score de bonnes réponses au questionnaire de connaissance est insuffisant de 18,8 ± 5,2 sur 37. Les normes de glycémies étaient connues de 80% des patients. Concernant l’impact de l’alimentation et de l’exercice physique sur l’équilibre du diabète, le score de bonne réponse était de 6,7 ± 1,9 sur 10. En ce qui concerne l’hypoglycémie, le score était de 7,6 ± 2,5 sur 14. Pour l’hyperglycémie, le score était de 3,7 ± 1,6 sur 12. Le score était corrélé négativement à l’âge et positivement au nombre d’année d’étude. En conclusion, cette étude montre que l’éducation thérapeutique des patients diabétiques de type 2 sous insuline doit être renforcée notamment en ce qui concerne la gestion des hyperglycémies et chez les patients les plus âgés et ayant un faible niveau d’étude.
Author: Katel Benjamin
Author: Delphine Merlet
Author: Clarisse Ferment
Author: Clémentine Ayache
Author: Adeline Feuvrier
Author: Guillaume Briard
Author: Pierre Garcia Santos
Author: Stéphane Micaelli
Author: Charlotte Champiot
Author: Anaïs Mokri