Connaissances des parents sur les risques pour la santé de la sédentarité et de l'inactivité physique chez l'enfant PDF Download
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Author: Charlotte Morin Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 86
Book Description
INTRODUCTION : Les comportements sédentaires et l'activité physique chez l'adulte et l'enfant sont des déterminants essentiels de leurs états de santé. Il a été prouvé que ces comportements de santé naissent dès le plus jeune âge avec des effets à court et long terme. Parmi les facteurs influençant ces conduites, les parents semblent tenir un rôle majeur. L'objectif de cette étude était d'évaluer les connaissances des parents concernant les méfaits de la sédentarité et de l'inactivité physique sur la santé des enfants âgés de 6 à 10 ans. A été étudié l'influence de ces connaissances sur leurs comportements ainsi que sur ceux de leurs enfants. L'interaction des rapports inter-comportementaux a aussi été analysée. METHODE : Du 25 février au 31 mars 2019, 140 questionnaires ont été remplis par des parents d'élèves volontaires d'enfants de 6 à 10 ans de différentes écoles élémentaires d'Ille et Vilaine. Le questionnaire transmis par courriel évaluait dans une première partie les connaissances du parent concernant la sédentarité et l'inactivité physique chez l'enfant, dans une seconde partie étaient renseignés les comportements de santé de l'enfant et du parent sur ces 2 thèmes, enfin une 3ième partie observait le moyen de sensibilisation actuel du parent sur ce sujet de santé ainsi que celui souhaité pour informer au mieux leur enfant. RESULTATS : Les connaissances des parents étaient globalement bonnes avec 66% de parents ayant un score moyen. L'erreur la plus fréquente était la méconnaissance des recommandations de l'OMS concernant l'activité physique chez l'enfant dans cette tranche d'âge. Les parents ayant de meilleures connaissances avaient des enfants plus actifs (p=0.005). Concernant les rapports inter-comportementaux, le niveau d'activité physique influençait les comportements sédentaires chez les parents et chez les enfants. De plus, les comportements sédentaires des parents influençaient le niveau d'activité physique des enfants. CONCLUSION : Ces résultats suggèrent qu'informer les parents sur les méfaits de la sédentarité et de l'inactivité physique chez l'enfant de 6 à 10 ans influence positivement le niveau d'activité physique de ces derniers. Les comportements de santé des parents devraient aussi être pris en compte dans les politiques de prévention pour la santé de l'enfant.
Author: Charlotte Morin Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 86
Book Description
INTRODUCTION : Les comportements sédentaires et l'activité physique chez l'adulte et l'enfant sont des déterminants essentiels de leurs états de santé. Il a été prouvé que ces comportements de santé naissent dès le plus jeune âge avec des effets à court et long terme. Parmi les facteurs influençant ces conduites, les parents semblent tenir un rôle majeur. L'objectif de cette étude était d'évaluer les connaissances des parents concernant les méfaits de la sédentarité et de l'inactivité physique sur la santé des enfants âgés de 6 à 10 ans. A été étudié l'influence de ces connaissances sur leurs comportements ainsi que sur ceux de leurs enfants. L'interaction des rapports inter-comportementaux a aussi été analysée. METHODE : Du 25 février au 31 mars 2019, 140 questionnaires ont été remplis par des parents d'élèves volontaires d'enfants de 6 à 10 ans de différentes écoles élémentaires d'Ille et Vilaine. Le questionnaire transmis par courriel évaluait dans une première partie les connaissances du parent concernant la sédentarité et l'inactivité physique chez l'enfant, dans une seconde partie étaient renseignés les comportements de santé de l'enfant et du parent sur ces 2 thèmes, enfin une 3ième partie observait le moyen de sensibilisation actuel du parent sur ce sujet de santé ainsi que celui souhaité pour informer au mieux leur enfant. RESULTATS : Les connaissances des parents étaient globalement bonnes avec 66% de parents ayant un score moyen. L'erreur la plus fréquente était la méconnaissance des recommandations de l'OMS concernant l'activité physique chez l'enfant dans cette tranche d'âge. Les parents ayant de meilleures connaissances avaient des enfants plus actifs (p=0.005). Concernant les rapports inter-comportementaux, le niveau d'activité physique influençait les comportements sédentaires chez les parents et chez les enfants. De plus, les comportements sédentaires des parents influençaient le niveau d'activité physique des enfants. CONCLUSION : Ces résultats suggèrent qu'informer les parents sur les méfaits de la sédentarité et de l'inactivité physique chez l'enfant de 6 à 10 ans influence positivement le niveau d'activité physique de ces derniers. Les comportements de santé des parents devraient aussi être pris en compte dans les politiques de prévention pour la santé de l'enfant.
Author: Morgan Blot Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 186
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Introduction : L'inactivité physique et la sédentarité deviennent des enjeux de santé publique dans un contexte d'évolution technologique. A partir de 6 ans, 60 minutes d'activité physique et une limite de 2 heures consécutives sédentaires par jour sont recommandées. Les parents participent à la mise en place d'un environnement favorable pour leurs enfants. L'objectif : Explorer leur influence à travers leurs représentations concernant l'activité physique et la sédentarité des enfants. Matériel et méthode : Etude qualitative menée auprès de parents d'enfants de 3 à 11 ans interrogés par entretien semi-dirigés. Entretiens enregistrés par dictaphone, intégralement retranscris et analysés par théorisation ancrée. Résultats : Un total de 10 parents a été nécessaire. Les parents perçoivent l'activité physique comme un besoin physiologique qui doit être plaisant et adapté à leur enfant. Ils visualisent ses bienfaits physiques et mentaux sur l'enfant. Le sport permet la socialisation, l'apprentissage de règles et le suivi des activités. Les comportements sédentaires ne sont pas mis au même plan selon l'intérêt pour l'apprentissage ou la socialisation. Utilisés à ces fins, les écrans sont positifs mais négatifs lorsqu'il y a une utilisation excessive. La parentalité est un facteur essentiel. Elle comprend l'exemple, l'incitation à l'activité physique, l'imposition de limites notamment sur les écrans et la disponibilité parentale. Une meilleure auto-efficacité parentale à l'activité physique favorise l'incitation et l'exemplarité. La connaissance parentale des outils du numérique facilite une éducation équilibrée des écrans. La sécurité et l'autonomie de l'enfant exercent une influence positive. D'autres facteurs comme le lieu d'habitation, les frères et sœurs, la structure familiale, le sport à l'école ou le climat vont modifier leur choix. Les parents sont favorables à la sensibilisation mais par des conseils personnalisés tournés dans leur territoire en faisant preuve d'écoute et sans jugement. Conclusion : Une consultation intégrée au suivi de l'enfant permettrait d'aborder les recommandations, d'impliquer les deux parents et de promouvoir la prescription d'activité physique adaptée aux parents sédentaires et inactifs.
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Introduction : à l'heure actuelle, la sédentarité est devenue le quatrième facteur de risque de mortalité à l'échelle mondiale. Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), les enfants âgés de 5 à 17 ans devraient pratiquer chaque jour, au minimum, 60 minutes d'activité physique. Dans les premières années de vie, le comportement des parents a un impact sur les habitudes de vie de l'enfant. L'investissement parental dans la pratique d'activité physique chez l'enfant semble s'accentuer lorsque les parents connaissent les recommandations de santé publique et les nombreux bienfaits de l'activité physique, qu'ils encouragent et soutiennent leurs enfants dans leur activité de loisir. Objectif : l'objectif principal de cette étude est de décrire les représentations parentales concernant l'activité physique des enfants âgés de 6 à 12 ans afin d'explorer l'influence des parents dans la pratique régulière d'activité physique chez l'enfant. Méthode : une étude qualitative a été menée auprès de parents d'enfant âgés de 6 à 12 ans, recrutés directement lors de consultation de médecine générale et par effet « boule de neige ». L'échantillon a été constitué selon la technique d'échantillonnage raisonné. Des entretiens individuels semi-dirigés ont été réalisés, entre mars 2019 et janvier 2020, par enregistrement audio et retranscription intégrale, puis ont fait l'objet d'une analyse par la méthode de théorisation ancrée, triangulée par les deux chercheuses. Résultats : au total, 14 parents ont été interrogés. La pratique d'activité physique de l'enfant est ressentie comme un plaisir, un besoin, un moyen d'apprentissage et de socialisation. La place de l'enfant est centrale au sein du foyer familial. L'enfant grandit dans un environnement, un milieu socio-économique et éducatif mise en place par ses parents. Les parents participent donc à l'initiation de la pratique d'activité physique chez l'enfant. Ils transmettent à leur enfant, dès le plus jeune âge, le goût et le plaisir de la pratique d'activité physique, malgré des difficultés, telles que le manque de temps, le poids financier ou encore la complexité de l'organisation familiale. La pratique régulière d'activité physique chez l'enfant est primordiale pour son bon développement psychomoteur et semble être une des clés à l'acquisition d'une bonne hygiène de vie, qui se pérennisera à l'âge adulte. Conclusion : le parent est le principal initiateur de la rencontre de l'enfant avec la pratique d'activité physique. Quant au médecin généraliste, il apparaît comme un interlocuteur privilégié dans l'éducation thérapeutique, en proposant si nécessaire une prescription d'activité physique adaptée. Cette alternative est à explorer et à généraliser à tous les enfants pour lutter contre la sédentarité croissante de la population.
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Contexte : La prévention des problématiques liées à l'activité physique, la sédentarité, les temps d'écran et de sommeil est primordiale dans la promotion de la santé des enfants de 0 à 36 mois, avec un impact immédiat et à plus long terme. Des recommandations internationales ont vu le jour pour cette population longtemps oubliée, mais peu de données existent pour décrire les comportements de cette tranche d'âge en pratique. Objectif : Le but de notre étude est de décrire les habitudes des enfants de 0 à 36 mois de l'agglomération nantaise en ce qui concerne le temps sédentaire, l'activité physique, le temps d'écran et de sommeil. Méthode et résultats : Les données ont été recueillies grâce à un questionnaire diffusé en cabinet de pédiatrie et de médecine générale, et rempli par les parents. Nous avons étudié 120 questionnaires, dont 114 concernant des enfants ayant acquis la marche, et 5 des enfants n'ayant pas acquis la marche. Les résultats concernant les enfants n'ayant pas acquis la marche ont été présentés mais le faible échantillon n'a pas permis d'en analyser les résultats. Les résultats concernant les enfants ayant acquis la marche ont permis de mettre en évidence que 61% des enfants pratiquent plus de 180 minutes d'activité physique par jour, 61% des enfants ne dépassent pas l'heure à la suite sédentaire, 82% des enfants n'ont pas accès aux écrans si âgés de moins de 2 ans et n'y ont pas accès plus d'une heure si âgés de 2 ans ou plus, 68% des enfants âgés d'un an ou plus dorment entre 11 et 14h par 24h ; dans le respect des recommandations internationales. Il n'a pas été mis en évidence d'association entre l'activité physique des parents et celles des enfants, ni pour le temps consacré aux écrans. Les parents se déclarent informés des recommandations concernant l'activité physique à 59%, le temps sédentaire à 42%, les écrans à 90%, et le sommeil à 76%. Ils sont 60% à souhaiter plus d'informations. Il n'a pas été retrouvé d'association entre le fait d'être informé des recommandations et leur respect en pratique. Il semble également difficile pour eux d'évaluer correctement si leur enfant respecte ou non les recommandations. 40% des parents n'ont pas décrit d'impact sur ces comportements par l'épidémie de COVID19. Seuls 15% des enfants parviennent à respecter l'ensemble des recommandations. Conclusion : Ces résultats portent un premier regard sur les comportements des enfants âgés de 0 à 36 mois en termes d'activité physique, sédentarité et sommeil. La faible puissance de notre étude ne permet pas de conclure, mais nos résultats semblent superposables aux données de la littérature étrangère en matière d'activité physique et de sommeil. Par ailleurs, la population étudiée montre un profil plutôt en accord avec les recommandations internationales, mais pouvant être amélioré. Les parents sont demandeurs d'informations sur ces sujets. La consultation de suivi de l'enfant en médecine générale et pédiatrie tient ainsi un rôle primordial dans la diffusion de ces messages, et doit être soutenue par une stratégie à l'échelle nationale. Il pourrait être intéressant d'étudier les connaissances et les pratiques des médecins pour renforcer leur formation, et optimiser la prévention en matière d'activité physique, sédentarité et sommeil du tout-petit.
Author: Antoine Perrin (titulaire d'une thèse d'exercice de médecine).) Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 194
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Introduction - Notre mode de vie actuel entraine une croissance continue de la sédentarité et de l'inactivité physique dans toute la population. Or les études se multiplient pour objectiver les impacts négatifs de ses comportements sur notre santé. Et cela dès l'enfance, moment crucial pour le développement de notre hygiène de vie. Notre étude visait à faire un état des lieux des comportements sédentaires et d'activité physique chez des élèves bénéficiant d'un programme de prévention (programme DEMAIN). Méthodes - Une étude descriptive par questionnaires et podomètres a été réalisée durant le dernier trimestre de l'année scolaire 2020/2021 dans des classes de CM1/CM2 et dans un collège de la métropole de Limoges. Résultats - 185 questionnaires et 41 mesures par podomètres ont pu être analysés. 57% des sujets était sédentaires, en plus grande majorité chez les collégiens (84%). 3 facteurs augmentaient significativement la sédentarité : l'âge grandissant, le sexe masculin et la surcharge pondérale. 87% des primaires atteignaient les recommandations d'activité physique contre 23% au collège. Les podomètres ont rapporté une moyenne d'un peu plus de 9000 pas quotidiens, sans différence entre les deux sexes. Conclusion - Notre enquête confirme la tendance nationale à l'augmentation de la sédentarité et à une baisse de l'activité physique (dans tous ses aspects) des jeunes. Il est nécessaire de trouver des moyens d'évaluations fiables et reproductibles afin de suivre cette population. Les actions pour améliorer les comportements sont un réel enjeu de santé public.
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En raison des progrès technologiques, les comportements sédentaires (souvent devant un écran) sont devenus les activités de loisir préférées pour beaucoup d'enfants, au lieu de s'engager dans le jeu actif, des sports ou d'autres activités requérant de l'effort physique. L'utilisation de transport actif est aussi en déclin, la majorité des enfants se rendant à l'école en voiture ou dans d'autres moyens de transport passifs. Pourtant, l'inactivité et la sédentarité constituent des facteurs de risque pour de multiples problèmes de santé physique et mentale. Tel que décrit dans le premier chapitre, les bienfaits de l'activité physique sur le bien-être sont bien documentés et les risques associés aux comportements sédentaires sont de plus en plus étudiés. Néanmoins, la plupart des études ne regardent ces deux aspects que séparément et ne s'intéressent qu'à l'impact immédiat sur une dimension spécifique du bien-être. Le but de cette thèse doctorale était donc d'étudier le rôle que l'activité physique et les comportements sédentaires, à la fin de la maternelle, jouent sur le bien-être physique, cognitif et psychosocial au début de l'adolescence (deux périodes de transition importantes pour les enfants). Le premier article (Chapitre II) a examiné les associations prospectives entre la participation aux activités physiques pendant les loisirs, à l'âge de 6 ans, et le rendement scolaire à l'âge de 12 ans. Les résultats montrent que les enfants qui participent davantage aux sports et à d'autres activités physiques structurées et non structurées présentent de meilleurs résultats scolaires et un engagement en classe plus élevé six ans plus tard que les enfants qui s'adonnent moins à ces activités. Le deuxième article (Chapitre III) a examiné les liens prospectifs entre un mode de vie qui tient compte, simultanément, de la participation à des activités physiques pendant les loisirs, de l'utilisation de transport actif et du temps consacré aux comportements sédentaires (ordinateur, télévision et jeux vidéo), à l'âge de 6 ans, et des indicateurs reliés au rendement scolaire et au bien-être physique et psychosocial, à l'âge de 12 ans. Les résultats montrent que les enfants qui mènent un mode de vie plus actif/moins sédentaire avant de commencer la scolarité présentent, ultérieurement, des habitudes de vie plus saines (plus d'activité physique et moins de temps d'écran) et moins de troubles émotifs et de victimisation, comparativement aux enfants menant un mode de vie moins actif/plus sédentaire. Dans les deux articles, les associations spécifiques pour chaque genre ont également été explorées. Les résultats des analyses fondées sur le genre montrent que même si tant les filles que les garçons bénéficient d'être plus actifs/moins sédentaires, chaque sous-groupe éprouve les bienfaits différemment. Une discussion des principaux résultats et des implications est présentée dans le dernier chapitre. En somme, cette thèse souligne l'importance de promouvoir un mode de vie actif dès un âge précoce et de développer des communautés qui offrent aux enfants de multiples occasions de se maintenir actifs. Ceci permettra de prévenir les nombreux risques associés à l'inactivité et la sédentarité et de contribuer au bien-être des jeunes, à court et à long terme.
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Les de mouvement afin de mieux comprendre les bienfaits de élèves de la 4e à la 6e année de 18 écoles en milieu rural de la l'activité physique ainsi que les risques et conséquences pour Nouvelle-Écosse ayant les plus faibles niveaux d'activité la santé de l'inactivité physique. [...] Un exemple de recherche récente qui continue à mettre en Prenez connaissance de L'effet de l'activité physique et du évidence les bienfaits de l'activité physique pour la santé est comportement sédentaire sur la santé et le développement du une étude internationale menée auprès de plus de 6 000 cerveau à la page 14 pour un aperçu plus détaillé de enfants de 12 pays différents, y compris les pays d [...] Suivre ces directives est associé à un meilleur profil de composition corporelle, de condition physique cardiovasculaire et musculosquelettique, de réussite scolaire, de cognition, de régulation des émotions, de comportements prosociaux, de santé cardiovasculaire et métabolique, et de qualité de vie globale. [...] Bulletin de l'activité physique chez les jeunes de ParticipACTION 13 Ensemble de l'activité physique Synthèse de la littérature Les données qui documentent la note de cet indicateur Dans une revue récente de plus de 200 études, certaines qui sont liées aux enfants d'âge préscolaire et d'âge scolaire. [...] Bulletin de l'activité physique chez les jeunes de ParticipACTION 17 Participation à des activités physiques et à des sports organisés Synthèse de la littérature La recherche continue d'indiquer plusieurs bienfaits Suivi de la participation à des sports associés à la participation à des sports organisés.
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De nos jours, les recommandations sur l'activité physiques ne sont que peu souvent respectées par les enfants et les adolescents. Ces derniers sont de plus en plus sédentaires et passent de plus en plus de temps devant les écrans au détriment de la pratique d'activités physiques et sportives. L'objectif de cette thèse est de montrer les bienfaits mais aussi les risques de la pratique sportive, qu'elle soit pratiquée à haut niveau ou en tant que loisir. Le but est aussi de proposer des solutions afin d'augmenter le temps de pratique d'activités physiques des enfants et des adolescents et d'aborder la nutrition et les troubles qui peuvent lui être associés liés à une pratique d'activité sportive. Pour se faire, des recherches bibliographiques ont été faites ainsi qu'une enquête sur le sport intensif chez l'enfant et l'adolescent et leur ressentit. Les résultats permettent de démontrer beaucoup de bienfaits de l'activité physique et sportive, même pratiquée à haut niveau et haute intensité. Ces bienfaits peuvent être physique, mental ou même social. Les risques et conséquences restent cependant présent avec les blessures, les pathologies de croissances, les problèmes de nutrition tel que l'anorexie ou la boulimie ou encore l'anxiété et l'aspect chronophage de certaines activités. Cependant, il faut en retenir que bien qu'il y ait également quelques aspects négatifs, les aspects positifs sont bien plus importants et que la plupart des risques et conséquences peuvent être évités en informant l'enfant/ l'adolescent et son entourage et en réalisant des suivis médicaux réguliers. Le pharmacien, en tant que professionnel de santé, est un acteur important qui peut informer et conseiller les jeunes et leur entourage sur la pratique d'une activité physique et les recommandations qui l'accompagnent.
Author: Charlotte Morin
Author: Charlotte Morin
Author: 
Author: Morgan Blot
Author: Manon Chaize
Author: Sonia Marre
Author: Antoine Perrin (titulaire d'une thèse d'exercice de médecine).)
Author: Daniela González-Sicilia Fernández
Author: 
Author: Krystel Cimon-Lambert
Author: Gilliane Nowicki