Connaissances des jeunes femmes de 18 à 25 ans sur la conduite à tenir en cas d'oubli de pilule PDF Download
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Book Description
L'objectif principal de notre étude est de faire un état des lieux des connaissances des jeunes femmes, sur la conduite à tenir, selon la HAS, lors de l'oubli de leur contraception oestroprogestative. Il s'agit d'une étude quantitative, rétrospective et descriptive, réalisée, en novembre 2017, par le biais d'un questionnaire auprès de 963 étudiantes âgées de 18 à 25 ans, inscrites à l'université Lyon 1 et prenant la pilule oestroprogestative au moment de l'enquête.Seules deux participantes sur les 963 n'ont fait aucune erreur dans leurs réponses sur la conduite à tenir en cas d'oubli de pilule, alors qu'elles sont une majorité à c_onsidérer ces recommandations claires. Ces résultats pourraient s'expliquer par le fait qu'une majorité des prescripteurs n'aborde jamais la problématique de l'oubli de pilule lors du renouvellement de celle-ci. De plus, les jeunes femmes ignorent souvent les impacts de la pilule oestroprogestative sur leur cycle menstruel. Les résultats obtenus semblent cependant meilleurs quand l'information sur la conduite à adopter lors d'un oubli de pilule a été donnée simultanément à l'oral et à l'écrit.Les recommandations de la HAS sur la conduite à tenir lors d'un oubli de pilule restent encore peu connues des jeunes femmes, alors que celles-ci utilisent cette méthode comme contraception et qu'une majorité est en couple au moment de l'enquête. Une sensibilisation des professionnels prescripteurs semble nécessaire ainsi qu'une meilleure implication des femmes dans leur contraception pour diminuer les échecs contraceptifs.
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L'objectif principal de notre étude est de faire un état des lieux des connaissances des jeunes femmes, sur la conduite à tenir, selon la HAS, lors de l'oubli de leur contraception oestroprogestative. Il s'agit d'une étude quantitative, rétrospective et descriptive, réalisée, en novembre 2017, par le biais d'un questionnaire auprès de 963 étudiantes âgées de 18 à 25 ans, inscrites à l'université Lyon 1 et prenant la pilule oestroprogestative au moment de l'enquête.Seules deux participantes sur les 963 n'ont fait aucune erreur dans leurs réponses sur la conduite à tenir en cas d'oubli de pilule, alors qu'elles sont une majorité à c_onsidérer ces recommandations claires. Ces résultats pourraient s'expliquer par le fait qu'une majorité des prescripteurs n'aborde jamais la problématique de l'oubli de pilule lors du renouvellement de celle-ci. De plus, les jeunes femmes ignorent souvent les impacts de la pilule oestroprogestative sur leur cycle menstruel. Les résultats obtenus semblent cependant meilleurs quand l'information sur la conduite à adopter lors d'un oubli de pilule a été donnée simultanément à l'oral et à l'écrit.Les recommandations de la HAS sur la conduite à tenir lors d'un oubli de pilule restent encore peu connues des jeunes femmes, alors que celles-ci utilisent cette méthode comme contraception et qu'une majorité est en couple au moment de l'enquête. Une sensibilisation des professionnels prescripteurs semble nécessaire ainsi qu'une meilleure implication des femmes dans leur contraception pour diminuer les échecs contraceptifs.
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Objectif : description des connaissances des femmes sous pilule de leur contraception en Seine-Saint-Denis. Matériels et Méthodes : Une étude épidémiologique observationnelle, descriptive, transversale a été réalisée du 16 janvier 2021 au 31 juillet 2021 grâce à un questionnaire anonyme réalisé en entretien direct en consultation de médecine générale à Pavillons-sous-bois, et Sevran auprès des femmes âgées entre 18 et 50 ans prenant une pilule oestroprogestative comme moyen de contraception. Résultats : sur les 52 femmes interrogées, cinq femmes soit seulement 9.6 % ne se sentaient pas du tout informées lors de la première prescription concernant la manière de prendre correctement la pilule. Une femme sur deux soit 51.9 % prenait le comprimé oublié dans les 12 heures alors que la connaissance de ce délai est capitale pour permettre une bonne gestion de la contraception, et pour prévenir efficacement la survenue de grossesse non désirée, une femme sur deux également soit 55.7 % prenaient le comprimé oublié même si cela faisait prendre deux comprimés le même jour. Quarante et une femmes soit 78.8 % savaient qu'elles pouvaient obtenir la contraception d'urgence sans ordonnance, et 32.7 % prenaient la pilule d'urgence après un rapport à risque au maximum dans les trois jours qui suivent le rapport. Cependant 96.2 % soit 50 femmes de notre étude prenaient la contraception d'urgence dans un délai suffisant pour éviter une grossesse non prévue. Les informations les moins connues pour le rattrapage contraceptif étaient l’enchainement des plaquettes lorsque l’oubli survient sur les sept derniers comprimés actifs de la plaquette en cours, le recours à la contraception d’urgence en cas de rapports sexuels dans les cinq jours précédents, et l’utilisation de préservatifs pendant les sept jours suivant l’oubli. Dans notre étude, 59.6 % des femmes s'estimaient dans l'ensemble suffisamment informées sur leur pilule contraceptive, ce résultat reste néanmoins insuffisant, il reste une part non négligeable des patientes de l'étude (40.4 %) s'estimant ne pas l'être. Conclusion : les femmes sont plutôt bien informées par les professionnels de santé sur leur contraception lors de la première prescription, et les connaissances générales ainsi que celles sur la contraception d'urgence sont plutôt bien acquises mais les connaissances sur la conduite à tenir en cas d'oubli ne sont pas du tout maitrisées puisque seulement une femme sur deux connaissait la règle des 12 heures.
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La 4e de couverture indique : Cette étude a pour but d'évaluer le niveau de connaissance de la règle de l'oubli d'un comprimé contraceptif des jeunes filles âgées entre 15 et 18 ans vivant en Indre-et-Loire. Par une étude descriptive se déroulant d'octobre 2017 à décembre 2017, l'hypothèse initiale a été vérifiée: les adolescentes méconnaissent et ne maitrisent pas la conduite à tenir en cas d'oubli de leur pilule. Après ce constat, nous avons pu conclure qu'il est alors important de rappeler le rôle essentiel d'information par les professionnels de santé afin de limiter les échecs contraceptifs. Le développement de la consultation de première contraception et du service sanitaire pour les étudiants en santé, paraissent être de nouvelles idées de délivrance d'informations auprès des adolescentes.
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INTRODUCTION : Bien qu'en baisse, un tiers des grossesses restent non prévues, dont les deux tiers sous pilule, et dans ce cas le recours à l'IVG est de plus en plus fréquent. Le problème est qu'on ne sait pas ce que font les femmes en cas d'oubli de pilule. Nous avons formulé l'hypothèse que la connaissance des recommandations de la HAS ne modifie pas le comportement des femmes face à l'oubli de pilule. L'objectif de cette thèse était de comprendre les déterminants du comportement des femmes en cas d'oubli de pilule de plus de 12h. MATERIEL ET METHODE : Nous avons réalisé une étude qualitative par entretiens semi dirigés de femmes de 18 à 50 ans prenant la pilule et l'ayant oublié au moins une fois de façon significative (plus de 12h par rapport à l'heure de prise habituelle) dans les six derniers mois. Une analyse thématique des verbatim a été réalisée. RESULTATS : 16 entretiens ont été réalisés et analysés entre avril et septembre 2016, permettant la saturation des données. L'analyse a permis de dégager 5 déterminants du comportement des femmes en cas d'oubli de pilule de plus de 12h : Lorsqu'il y a une inadéquation entre les connaissances théoriques et l'attitude adoptée en pratique : la grossesse est un risque acceptable, la faible acceptabilité des moyens de rattrapage, la sous-estimation du risque de grossesse et à l'inverse s'il y avait concordance entre connaissances et attitude : une grossesse est inenvisageable ou utilisation systématique d'une double contraception. CONCLUSION : Il semble très important d'évaluer le degré d'acceptabilité d'une éventuelle grossesse non prévue. Si celle-ci ne semble pas envisageable par la patiente, il est préférable de l'orienter vers une contraception moins dépendante de l'observance, et d'évaluer précisément le risque d'oubli.
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Objectifs : Évaluer la connaissance des femmes des situations à risque d'échec de la pilule et des recommandations sur la conduite à tenir en cas d'oubli. Analyser leurs sources d'information sur leur contraception. Matériel et méthode : Nous avons réalisé une étude descriptive de mi-septembre 2017 à fin mars 2018 en Haute-Savoie dans des CPEF, des cabinets de médecine générale et de sage-femme et dans un service de consultation d'un hôpital. Les données ont été recueillies avec un questionnaire anonyme distribué aux femmes âgées de 18 à 50 ans utilisant la pilule comme moyen de contraception. Résultats : Sur 81 femmes interrogées, 9,88% connaissaient toutes les situations à risque d'échec de la pilule et 4,94% avaient une attitude permettant de prévenir efficacement une grossesse. Pour la conduite à tenir en cas d'oubli, les mesures les moins connues étaient l'utilisation de préservatifs pendant sept jours après l'oubli, l'indication de la contraception d'urgence et l'enchainement des plaquettes. Près de 90% des femmes avaient reçu une information initiale sur leur pilule par un professionnel de santé, mais les consignes étaient rarement rappelées en consultation de suivi. Conclusion : Les lacunes des femmes sur le maniement de la pilule ne leur permettent pas de prévenir efficacement une grossesse non désirée. L'information délivrée par les professionnels de santé doit être renforcée et diversifiée.
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Introduction : De nos jours, 210 000 interruptions volontaires de grossesse sont réalisées, chaque année, en France. Vingt-huit mille femmes de 15 à 19 ans sont concernées. L’information et l’accès à la contraception sont encore mis en cause dans la survenue de ces grossesses non désirées. Objectif : Nous avons évalué les connaissances acquises par des consultantes, concernant l’usage et les différents moyens contraceptifs, après leur toute première information suivie d’une prescription de contraceptif. Les contraceptions étudiées sont la pilule et le préservatif. Nous avons restreint l’étude aux centres de planifications. Matériel et méthode : De février à décembre 2007, 53 questionnaires ont été remplis à Chambéry, Meylan et Pontcharra. Les consultantes recrutées avaient moins de 20 ans et venaient pour leur première consultation de renouvellement de première contraception (pilule œstroprogestative). Résultats : Cent pour cent des consultantes savent qu’il faut prendre la pilule à heure régulière. Quatre-vingt dix pour cent connaissent la conduite à tenir en cas d’oubli de plus de 12h. Quatre-vingt douze pour cent des consultantes savent que seul le préservatif protège des IST. Trente quatre pour cent savent qu’elles peuvent être enceinte quelque soit la période du cycle. Conclusion : Il ressort de cette étude que la majorité des consultantes répond correctement à quasiment toutes les questions de connaissance et d’utilisation de la contraception. Nous pouvons en conclure que les informations données dans les centres de planification sont de bonne qualité. Une étude, de ce type, réalisée chez les professionnels libéraux serait enrichissante.
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En France, une grossesse sur trois est non prévue. 21% des grossesses non désirées surviennent sous pilule, liées dans 60% des cas à un oubli. Deux études anglaises ont montré que la remise d'une information écrite améliorait les connaissances des femmes sur la pilule. En France, la remise d'une information écrite améliore-t-elle les connaissances sur la conduite à tenir en cas d'oubli ? Une étude prospective, randomisée, en double aveugle a été réalisée en médecine générale, en Ile-de-France, du 16/06/11 au 05/07/12. Les critères d'inclusion étaient : femme majeure, sous pilule prescrite 21 jours sur 28 jours, accord oral pour communiquer son numéro de téléphone afin d'être rappelée 3 mois plus tard. En consultation, les médecins investigateurs posaient un questionnaire sur l'oubli de pilule. Ensuite, ils informaient oralement toutes les femmes. Certaines femmes tirées au sort recevaient en plus une information écrite. Au moins 3 mois plus tard, toutes les patientes étaient invitées à répondre au même questionnaire par téléphone. 325 femmes ont été inclues. Avant intervention, 6.5% des femmes avaient toutes les réponses exactes au questionnaire. Les femmes prenant la pilule depuis moins de 5 ans étaient plus nombreuses (10.2%) à avoir toutes les réponses exactes que celles la prenant depuis 5 ans ou plus (2.6%) (p=0.0063). 245 patientes ont été recontactées. Dans le groupe « information orale seule », le pourcentage de femmes ayant toutes les réponses exactes est passé de 7.2% à 20.7% (p=0.0023). Les femmes du groupe « information écrite et orale » ont été plus nombreuses (37.3%) que celles du groupe « information orale seule » (20.7%) (p=0.0047) à avoir toutes les réponses exactes. L'information écrite améliore les connaissances sur l'oubli de pilule. Mais la lutte contre les grossesses non désirées nécessite surtout de trouver une contraception adaptée à chaque patiente.
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Introduction : la pilule contraceptive est l'un des médicaments les plus utilisés chez les jeunes femmes. Les bénéfices et les risques sont bien connus des professionnels de santé. Pourtant, des accidents ont donné lieu en décembre 2012 à des alertes médiatiques sur les contraceptifs oraux combinés. L'objectif principal de cette étude est d'évaluer les connaissances des jeunes femmes sur la contraception orale dans le but de répondre au mieux à leurs attentes en termes d'information. Méthodes : étude descriptive et comparative qui s'est déroulée auprès de lycéennes du Tarn et de jeunes femmes de l'Université de Toulouse. Résultats : après exclusion d'une dizaine de femmes qui avaient rendu un questionnaire inexploitable, l'enquête a porté sur un effectif de 200 jeunes femmes. Conclusion : les résultats de cette étude nous montrent que les jeunes femmes interrogées ont généralement des connaissances correctes en ce qui concerne l'existence d'effets indésirables, l'existence de situations à risque, l'efficacité de la pilule, la non-protection de la pilule contre les infections sexuellement transmissibles et le risque de grossesse en cas de mauvaise utilisation. En revanche, seulement 9% des jeunes femmes interrogées ont l'attitude qui semble la plus adaptée en cas d'oubli de la pilule.
Author: Sixtine Emery
Author: Sixtine Emery
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Author: Marina Ouaktouf
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