Comparaison des empreintes conventionnelles versus optiques en prothèse maxillo-faciale PDF Download
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Author: Marie Meynié Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 0
Book Description
En Prothèse maxillo-faciale (PMF), la réhabilitation des patients peut s'avérer être complexe. L'empreinte conventionnelle est souvent une étape inconfortable pour le patient et pourtant primordiale pour l'adaptation de la future prothèse. L'empreinte numérique fréquemment utilisée en dentisterie conventionnelle, est validée en termes d'efficacité et de confort par le praticien et le patient. L'objectif de ce travail était d'évaluer la perception des patients lors de la réalisation de l'empreinte conventionnelle et numérique en PMF. Matériels et méthodes : 17 patients ont été inclus : de 26 à 85 ans (âge moyen 65 ans), du Pôle Odontologie de l'Hôpital de la Timone nécessitant une réhabilitation prothétique maxillo-faciale. L'étude était un essai clinique comparatif. Les patients ont reçu les deux types d'empreintes. Leur perception a été évaluée à l'aide un questionnaire avec une échelle visuelle analogique. Résultats : La préférence des patients était inversement proportionnelle au score de l'EVA (de 0 à 100). D'après la comparaison des moyennes globales (Mn = 14,44
Author: Marie Meynié Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 0
Book Description
En Prothèse maxillo-faciale (PMF), la réhabilitation des patients peut s'avérer être complexe. L'empreinte conventionnelle est souvent une étape inconfortable pour le patient et pourtant primordiale pour l'adaptation de la future prothèse. L'empreinte numérique fréquemment utilisée en dentisterie conventionnelle, est validée en termes d'efficacité et de confort par le praticien et le patient. L'objectif de ce travail était d'évaluer la perception des patients lors de la réalisation de l'empreinte conventionnelle et numérique en PMF. Matériels et méthodes : 17 patients ont été inclus : de 26 à 85 ans (âge moyen 65 ans), du Pôle Odontologie de l'Hôpital de la Timone nécessitant une réhabilitation prothétique maxillo-faciale. L'étude était un essai clinique comparatif. Les patients ont reçu les deux types d'empreintes. Leur perception a été évaluée à l'aide un questionnaire avec une échelle visuelle analogique. Résultats : La préférence des patients était inversement proportionnelle au score de l'EVA (de 0 à 100). D'après la comparaison des moyennes globales (Mn = 14,44
Author: Antoine Bareau Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 0
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Objectifs : Cette étude propose une comparaison qualitative et quantitative des empreintes primaires physique et optique d'une perte de substance maxillaire, afin de juger de l'opportunité ou non de l'utilisation de cette dernière dans la réalisation de réhabilitations prothétiques maxillo-faciales. Matériels et méthodes : Dix empreintes physiques aux hydrocolloïdes irréversibles ainsi que dix empreintes optiques d'une même perte de substance centro-palatine ont été prises chez un patient pris en charge au CHU de Rennes, en suivant un protocole précis, et comparées à l'aide d'un logiciel de mesure. Le ressenti du patient a été recueilli grâce à un questionnaire. Résultats : Le patient ayant fait l'objet de notre étude exprime sa préférence pour la technique numérique. Malgré de bons résultats en termes de reproductibilité et de fiabilité, son amplitude de lecture est plus faible que l'alginate. Conclusion : Malgré les limites de l'étude, les résultats suggèrent que l'empreinte optique est une alternative fiable à l'empreinte physique, en particulier pour des défauts de faible étendue. Sa combinaison avec d'autres techniques d'empreinte et d'imagerie (IRM, CBCT) peut accroître son efficacité.
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Dans un premier temps, nous évoquons le contexte et les objectifs de l'enregistrement des surfaces en prothèse maxillo-faciale, ce qui nous permet ensuite de comparer les méthodes actuelles d'enregistrement. Dans un deuxième temps, nous nous consacrons aux principes et aux modes d'acquisition de l'empreinte optique intra-buccale. - Nous faisons ensuite le point sur les publications à ce sujet dans la littérature internationale. Dans un quatrième temps, nous nous intéressons aux avantages ainsi qu'aux limites des empreintes optiques en prothèse maxillo-faciale puis nous illustrons nos propos au travers d'un cas clinique.
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En 1973, la thèse du Dr F. DURET intitulée « empreinte optique » posait les bases de la Conception et Fabrication Assistée par Ordinateur. Sa technique et son utilisation n’ont cessé d’évoluer depuis ces 40 dernières années pour devenir, de nos jours, un outil thérapeutique conforme aux attentes des praticiens dans le domaine de la prothèse fixée. Mais cette technique peut-elle s’appliquer à la Prothèse Maxillo-Faciale en vue de remplacer l’empreinte primaire ? Des rappels sur l’empreinte optique sont effectués dans les premières parties, puis une comparaison entre les différents systèmes de prise d’empreinte optique sera présentée. Pour finir la présentation d’un nouveau système, bientôt sur le marché, ainsi qu’une application clinique de celui-ci sont décrits dans cette thèse.
Author: Astrid Charpentier Publisher: ISBN: Category : Languages : en Pages : 58
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Introduction : L'essor de l'empreinte optique en dentisterie, et plus particulièrement en prothèse fixée, amène à nous questionner sur l'intérêt de l'empreinte conventionnelle de nos jours. Objectif : Réaliser une revue de littérature qui compare les empreintes optiques et conventionnelles en termes de précision, d'efficience et de préférence. Matériels et méthodes : Une recherche scientifique sur Cochrane et PubMed nous a permis de collectionner un certains nombres d'articles qui ont été analysés et extraits à l'aide du logiciel Covidence. Résultats : un total de 37 articles ont été inclus dans la revue de littérature. Pour chaque critère, un tableau a été créé pour analyser la supériorité de chaque empreinte. Conclusion : Les empreintes optiques sont des alternatives cliniquement acceptables par rapport aux empreintes conventionnelles. En termes de temps, les empreintes optiques montrent un gain de temps au fauteuil par rapport aux empreintes conventionnelles. En termes de préférence, l'empreinte digitale semble plus appréciée par les patients pour son confort et son absence de goût et par l'aisance de celle-ci par les praticiens. Et, en termes de précision, les deux types d'empreintes sont cliniquement acceptables.
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Résumé : depuis plusieurs décennies, la dentisterie moderne fait de plus en plus appel aux technologies optiques, notamment en prothèse fixée. Pourtant, le recours à l'optique reste faible en prothèse amovible. Ce travail, basé sur une étude clinique, a pour but de comparer la précision entre les empreintes optiques avec marquage muqueux et les empreintes physico-chimiques en alginate pour des empreintes primaires chez l'édenté complet maxillaire. Les résultats ont montré que les surfaces scannées en 3D sont similaire à 80,88% pour une tolérance de 25ųm. La différence de 19,12% pouvant s'expliquer par la compressibilité de l'alginate alors que l'optique n'en a aucune. Une étude menée en parallèle tend à montrer que les empreintes optiques avec et sans marquage muqueux sont similaire à 89,31% pour une tolérance de 25ųm. Des données secondaires démontrent que les empreintes optiques sont également plus rapide à enregistrer que les empreintes physico-chimiques en alginate, 5 minutes avec l'optique contre 6 minutes avec l'alginate. Au final, l'empreinte optique représente une alternative tout à fait acceptable aux empreintes physico-chimiques en alginate.
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La prise en charge des cancers des voies aéro-digestives supérieures est le plus souvent chirurgicale, associée à de la radiothérapie et / ou de la chimiothérapie. Fréquemment, ces traitements aboutissent à une limitation d'ouverture buccale, cette dernière compliquant grandement la réhabilitation prothétique de ces patients. Cette thèse a pour vocation de présenter l'empreinte optique comme une solution alternative aux méthodes d'empreinte traditionnelles pour ces patients dont la limitation d'ouverture buccale complique voire empêche la réhabilitation de leur perte de substance orale.
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A l’heure actuelle la plupart des procédés de CFAO (conception et fabrication assistée par ordinateur) intègre un système d’empreinte optique ou mécanique extra oral, basé sur la numérisation d’un modèle issu d’une empreinte classique chimico-manuelle. Le procédé « Cerec® » de Sirona possède un système d’empreinte optique en bouche. Cette thèse tente de meUre en évidence les avantages et les inconvénients des empreintes optiques, de les comparer avec les autres types d’empreintes et particulièrement les empreintes conventionnelles, d’en comprendre les aspects techniques, de cerner les améliorations des conditions d’exercice et d’appuyer ces observations par les nombreuses études cliniques réalisées sur la CFAO, la plupart d’entre elles ayant abouti ces dernières années. Elle comprend donc une analyse critique de la Littérature parue récemment, des études dont nous discutons le niveau de preuve, et qui nous apportent des informations sur la validité des empreintes optiques par rapport aux conventionnelles et la fiabilité des prothèses dentaires conçues et fabriquées par ordinateur.
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La CFAO (Conception et Fabrication Assist e par Ordinateur) est n e dans les ann es 70 dans le domaine de l'industrie et s' tend au domaine dentaire dans les ann es 80., avec les travaux de Duret et de Mormann sur la CFAO en odontologie. Il est maintenant possible de fabriquer une pi ce proth tique en une s ance au fauteuil, dans un mat riau esth tique comme la c ramique. Le ph nom ne CFAO est relativement jeune et peu r pandu dans les cabinets dentaires, et pour le moment, la France occupe une place recul e par rapport l'Allemagne et les Etats-Unis. Il est donc passionnant d' tudier les diff rents syst mes, et plus particuli rement l' tape de l'empreinte optique qui constitue certainement la plus grande avanc e technologique. Les empreintes conventionnelles, souvent d sagr ables et per ues comme archa ques, sont maintenant en concurrence directe avec l'acquisition num rique intra orale. Celle-ci pourrait apporter un confort et une pr cision incontestable, et permettre de passer de donn es alt rables (mat riaux d formables, encombrants) des donn es num riques (inalt rables, faciles stocker et transf rer).
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En prothèse fixée, il est indispensable de transmettre les informations intrabuccales à un technicien de laboratoire. Dans une première partie, la prise d'empreinte selon les méthodes conventionnelles est décrite par ses objectifs, ses caractéristiques et son protocole de mise en œuvre. Puis, le point est fait sur différents systèmes d'empreintes optiques, autre moyen d'enregistrer les informations intraorales et aussi de les convertir en données numériques pour permettre l'entrée dans un système de CFAO. Enfin, une dernière partie compare l'empreinte optique à l'empreinte traditionnelle.
Author: Marie Meynié
Author: Marie Meynié
Author: Antoine Bareau
Author: Mélanie Bouta (dentiste).)
Author: Rémi Labriffe
Author: Astrid Charpentier
Author: Adrien Deschamps
Author: Charlène Plancq
Author: Laurent Lazarides
Author: Laurent Lazarides
Author: Amélie Tellier