Aborder le sujet de la mort en médecine générale : étude qualitative en miroir du vécu et des représentations des médecins et des patients PDF Download
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Book Description
Avec la médicalisation de la fin de vie, de nouveaux questionnements éthiques apparaissent, obligeant notre société à légiférer. La création des directives anticipées permettrait d'ouvrir le dialogue entre le médecin traitant et son patient. Mais cette discussion semble freinée par les non-dits et le tabou entourant ce sujet. Finalement, parle-t-on de la mort en consultation ? Cette étude qualitative réalisée par entretiens semi-dirigés auprès de 11 patients et 10 médecins généralistes, met en parallèle les attentes et les perceptions de chacun à propos d'une discussion autour de la mort en médecine générale. Les résultats montrent que ce thème n'est que rarement abordé en consultation. Alors que patients et médecins s'accordent pour dire qu'il serait pertinent d'en parler, aucun ne prend l'initiative de ce sujet, craignant les réactions de l'autre. Patients et médecins partagent une vision commune de ce qu'est « une bonne mort ». Cette mort idéale se passe d'intervention médicale. Les médecins situent donc la question en dehors de leurs compétences. Les difficultés psychiques et neurocognitives à se projeter en situation de fin de vie sont un autre obstacle mis en avant par les sujets interrogés pour justifier les réserves qu'ils ont à anticiper cette discussion. Enfin, la charge émotionnelle et les mécanismes de défense mis en place restent un frein à l'abord du thème de la mort en consultation. Les médecins interrogés s'accordent pour dire que la communication est un enjeu majeur pour contourner ces problématiques et sont demandeurs de formations, conscients que la relation médecin-patient est un outil thérapeutique important. De leur côté, les patients sont demandeurs d'une médecine plus humaine, avec un médecin ayant une approche globale du patient. S'inspirant des soins palliatifs, l'usage de soins spirituels en médecine générale pourrait apporter un début de solution. En s'impliquant humainement, patients et soignants redonnent du sens aux situations de fin de vie, grâce entre autres à une meilleure gestion de leurs émotions et de celles d'autrui. Cette étude réaffirme l'importance thérapeutique de la relation médecin-patient, à fortiori dans les situations où le curatif laisse place aux soins palliatifs et d'accompagnement de la fin de vie.
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Avec la médicalisation de la fin de vie, de nouveaux questionnements éthiques apparaissent, obligeant notre société à légiférer. La création des directives anticipées permettrait d'ouvrir le dialogue entre le médecin traitant et son patient. Mais cette discussion semble freinée par les non-dits et le tabou entourant ce sujet. Finalement, parle-t-on de la mort en consultation ? Cette étude qualitative réalisée par entretiens semi-dirigés auprès de 11 patients et 10 médecins généralistes, met en parallèle les attentes et les perceptions de chacun à propos d'une discussion autour de la mort en médecine générale. Les résultats montrent que ce thème n'est que rarement abordé en consultation. Alors que patients et médecins s'accordent pour dire qu'il serait pertinent d'en parler, aucun ne prend l'initiative de ce sujet, craignant les réactions de l'autre. Patients et médecins partagent une vision commune de ce qu'est « une bonne mort ». Cette mort idéale se passe d'intervention médicale. Les médecins situent donc la question en dehors de leurs compétences. Les difficultés psychiques et neurocognitives à se projeter en situation de fin de vie sont un autre obstacle mis en avant par les sujets interrogés pour justifier les réserves qu'ils ont à anticiper cette discussion. Enfin, la charge émotionnelle et les mécanismes de défense mis en place restent un frein à l'abord du thème de la mort en consultation. Les médecins interrogés s'accordent pour dire que la communication est un enjeu majeur pour contourner ces problématiques et sont demandeurs de formations, conscients que la relation médecin-patient est un outil thérapeutique important. De leur côté, les patients sont demandeurs d'une médecine plus humaine, avec un médecin ayant une approche globale du patient. S'inspirant des soins palliatifs, l'usage de soins spirituels en médecine générale pourrait apporter un début de solution. En s'impliquant humainement, patients et soignants redonnent du sens aux situations de fin de vie, grâce entre autres à une meilleure gestion de leurs émotions et de celles d'autrui. Cette étude réaffirme l'importance thérapeutique de la relation médecin-patient, à fortiori dans les situations où le curatif laisse place aux soins palliatifs et d'accompagnement de la fin de vie.
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Introduction : Les occasions de parler de la mort en médecine générale sont multiples et pas uniquement liées aux situations palliatives. L'objectif était de recueillir le vécu de patients ayant parlé de la mort avec leur médecin généraliste. Méthodes : Etude qualitative exploratoire par 11 entretiens individuels semi-directifs. Recrutement ciblé à partir de généralistes qui proposaient des patients avec qui ils avaient eu une discussion sur la mort. Puis recrutement en chaîne à partir des interviewés. Analyse dans une approche par théorisation ancrée. Résultats : Les contenus et objectifs des discussions étaient variables : transmettre son souhait de fin de vie, obtenir du soutien. Ces discussions avaient plutôt lieu avec les proches qu'avec le généraliste. L'expression de l'autonomie (directives anticipées, euthanasie) était prépondérante. Le généraliste semblait bénéficier d'une relation de confiance faisant de lui un interlocuteur privilégié potentiel. Le non-dit semblait prédominant, laissant une place considérable aux représentations des patients, en particulier sur la fonction et les rapports à la mort du généraliste. L'attitude du médecin était déduite d'éléments non verbaux. La croyance spirituelle était tue. Discussion : Le message serait à entrevoir au-delà des mots, dans une attente de reconnaissance en tant qu'individu autonome en quête de sens. Le médecin aux prises avec sa propre finitude pourrait être un frein la discussion. Conclusion : Fort d'une relation privilégiée, le généraliste pourrait en parlant de la mort, ouvrir la parole sur des éléments anthropo-psycho-sociaux susceptibles d'influencer positivement la qualité de la prise en charge future.
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Introduction : Les médecins généralistes sont régulièrement confrontés à la mort de leurs patients. L'objectif principal de l'étude était d'explorer leurs représentations sur leur propre fin de vie et leur mort, l'objectif secondaire était d'explorer l'influence de ces représentations sur leur vie personnelle et leur pratique professionnelle. Méthodes : Etude qualitative par entretiens individuels semi-dirigés de médecins généralistes exerçant en libéral dans le Gard et l'Hérault, avec analyse sémio-pragmatique. Résultats : 13 entretiens ont été réalisés d'octobre 2018 à janvier 2019, d'une durée moyenne de 51 minutes. Les représentations des médecins sur leur mort touchent l'inconnu et tous les existentiaux ou dimensions de l'expérience de l'existence. La mort souhaitée est une mort paisible après une vie bien remplie, mais la crainte largement partagée du vieillissement pathologique, du handicap et de l'agonie, perçus comme une perte de dignité et de liberté, fait souvent désirer pour soi-même une mort provoquée ou maîtrisée. Parler de la mort est difficile pour tout le monde et en particulier pour le médecin. Aborder la mort nécessite de s'adapter à la personne et au contexte, c'est aussi être soumis à une tension entre ce que l'on est et sa pratique professionnelle. Conclusion : Pour améliorer le vécu des médecins généralistes et leur manière d'accompagner leurs patients en fin de vie, il pourrait être utile de renforcer leur formation initiale et continue en matière de philosophie, de psychologie, de communication, de dispositions techniques et légales autour de la fin de vie, ainsi que leur accompagnement à travers des groupes d'échanges.
Author: Nicolas Gallet Publisher: ISBN: Category : Languages : fr Pages : 70
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Après avoir été masquée depuis le milieu du 19ème siècle la mort revient sur le devant de la scène depuis les années 80. Elle prend une place de plus en plus importante dans la pratique de médecine générale. L'objectif de ce travail était de comprendre comment et pourquoi les médecins généralistes (MG) abordent ou n'abordent pas la mort pendant leurs consultations. Etude qualitative par réalisation d'entretiens semi dirigés individuels avec des MG de la région Nouvelle-Aquitaine. Un échantillonnage diversifié selon les critères suivants a été réalisé : âge, sexe, durée de pratique, type de pratique, cabinet de groupe ou seul, pratique de groupe ou isolée, médecin installé ou remplaçant. Les entretiens ont été enregistrés et retranscrits sur des documents textes, une analyse thématique des verbatims a été effectuée. Réalisation de 16 entretiens. La mort était abordée de façon quasi exclusive quand elle se rapprochait. La principale difficulté était l'initiation de la discussion, mais une fois abordée la discussion était productive pour le patient et le MG. Aborder la mort est apparu pour les participants comme un rôle important du MG. Ils étaient partagés entre ceux qui initiaient la conversation et ceux qui attendaient que les patients en parlent. Les principales demandes des patients étaient le soulagement des souffrances, le temps qu'il reste à vivre et le refus de l'obstination déraisonnable. L'entourage du patient peut freiner ou faciliter ces discussions. Parler de la mort peut entraîner des difficultés pour les MG que certains soulagent en les partageant avec d'autres professionnels de santé. Ils ont l'impression de mieux aborder le sujet au fur et à mesure de leurs expériences personnelles et professionnelles. Cette étude montre que parler de la mort avec le patient en consultation de médecine générale est difficile mais important et pleinement dans le rôle du MG. Des solutions existent pour limiter les difficultés liées à ces conversations.
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La mort est exclue de notre société, du domicile, et est repoussée dans les hôpitaux pour y être « prise en charge » comme une maladie. La médicalisation de notre société et de la mort a fait de la confrontation à la mort la grande absente de ce siècle. Mais lorsque l’inéluctable arrive, lorsque la médecine ne maîtrise plus, la confrontation à la mort est d’autant plus violente. Les médecins généralistes en tant que soignants sont confrontés plus encore que toute autre personne ou médecin à ce traumatisme que représente la perte d’autrui tant ils ont une attache avec leurs patients nourrie de longues années de suivi. Alors comment ces omnipraticiens vivent-ils la séparation ? Comment ne pas se poser la question du vécu du deuil chez ces professionnels si présents et reconnus dans la cité ? Comment s’est créée cette « capacité » de gestion du deuil au sein de leur professionnalisme ? L’objectif de notre étude a été de dégager un savoir existentiel acquis des médecins généralistes face à la perte d’un de leurs patients, de mettre en lumière la gestion de leur propres deuils croisée avec leur professionnalisme. Du fait du sujet de notre étude et de l’objet ainsi analysé: l’humain, une approche qualitative s’est imposée. Celle-ci est donc basée sur la réalisation d’entretiens semi directifs avec des médecins généralistes au nombre de quinze issus du département de l’Oise et désignés au hasard. Ces entretiens, enregistrés, et retranscrits ont été analysés grâce à une méthodologie herméneutique, associant une recherche des mises en intrigue, c’est-à-dire l’identification de l’axe directeur du récit, et une extraction des réseaux sémantiques, c’est-à-dire une recherche de l’ensemble des champs lexicaux se rapportant à une notion et lui donnant un sens dans le récit. Cette méthodologie permettant un travail d’interprétation de ces récits dans une logique compréhensive..On dégage de l’analyse des mises en intrigues deux orientations distinctes de la mise en récit de la perte d’un patient, l’une étant l’acquisition d’un professionnalisme et l’autre étant celle du cheminement personnel. Par ailleurs l’extraction des réseaux sémantiques ont permis d’identifier des réseaux sémantiques récurrents et communs aux récits : la capacité, la temporalité, l’échange, le système familial, le rite, le deuil et la mort. Ces réseaux sont nourris et orientés par de nombreux réseaux sémantiques secondaires qui soutiennent les intrigues et mettent en évidence la logique singulière du narrateur.Chaque médecin généraliste a une approche différente du décès de ses patients et du deuil, de par son parcours formatif et professionnel, mais aussi de par son histoire personnelle ; le tout basé sur un socle commun : celui de la société actuelle, de l’inscription historique de la culture médicale, mais aussi celui de la médecine en générale. Il apparaît clairement que certains deuils de patients chez le médecin généraliste ont un retentissement professionnel, avec des dérapages clairement élaborés comme le Burn out ou encore l’euthanasie ; mais aussi personnel. Le savoir existentiel du médecin généraliste face au deuil, et nous parlons bien d’existentiel tant il relève de l’humain et non de la théorie, ne peut s’acquérir que par l’expérience, le temps et la réflexion sur son propre cheminement. Ces différents témoignages nous éclairent sur la réalité du vécu du médecin généraliste face à la perte de ses patients et leur décryptage à travers l’analyse herméneutique est susceptible de contribuer à apporter au praticien des outils pertinents pour aborder ses patients et leur famille, mais aussi pour mieux appréhender sa situation.L’herméneutique permettant d’accéder au sens « non évident » du récit, ne pourrait-elle pas se confronter à la pratique quotidienne de la médecine générale afin d’aider le médecin généraliste à mieux comprendre ses malades ? Et de surcroît ne pourrait-elle pas aider à comprendre et à interpréter la pratique de la médecine générale par la mise en récit ?
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Introduction : la mort est un évènement courant dans la pratique médicale. Le médecin généraliste est confronté à celle de ses patients, personnes avec lesquelles il a su tisser des liens privilégiés au fil des ans. Mais lorsque la mort est brutale pour la société, l’est-elle aussi pour le médecin ? Cette étude tente de comprendre le vécu du médecin généraliste face à un tel évènement et cherche à mettre en lumière ses impacts éventuels ainsi que les difficultés qui en résultent afin de proposer des solutions pour l’avenir. Matériel et méthodes : une étude qualitative a été menée à partir d’entretiens semi-dirigés réalisés auprès de 14 médecins généralistes installés dans la Somme, l’Oise et l’Aisne entre décembre 2020 et avril 2021. Résultats : le décès brutal d’un patient était considéré comme un évènement complexe. Chaque mort était unique et les médecins y faisaient face avec leur histoire, leur personnalité et leur expérience. Ils devaient appréhender leur propre deuil et, dans le même temps, accompagner la famille du défunt avec le peu d’outils dont ils disposaient. Ils tentaient de conserver leur neutralité émotionnelle face à une mort qui pourtant les choquait, les stupéfiait, les attristait. Et alors qu’ils pensaient n’être que temporairement affectés par cet évènement, les praticiens sollicitaient souvent le soutien de leurs confrères notamment lorsque certaines difficultés émergeaient : identification, culpabilité, sentiment d’échec...Discussion : les témoignages recueillis confirment les problématiques soulevées dans d’autres études. Les médecins généralistes ne se sentent pas convenablement préparés pour faire face à la mort et au deuil, d’autant plus lorsqu’ils y perçoivent une forme de brutalité. Dans ce contexte, des formations pluridisciplinaires centrées sur l’aspect psychologique du sujet pourraient être créées. Ils ne sentent pas non plus suffisamment soutenus et les solutions existantes ne leur semblent pas réellement adaptées. Le développement de nouveaux groupes de paroles,où les difficultés psychiques inhérentes au décès d’un patient ou à toute autre situation professionnelle émotionnellement complexe seraient librement évoquées, pourrait être envisagé. Conclusion : le décès brutal d’un patient reste un évènement bouleversant pour les médecins généralistes. Des solutions de formation et d’accompagnement psychologique doivent être apportées à ces soignants afin qu’ils détiennent toutes les clés nécessaires pour y faire face convenablement.
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Introduction : les étudiants en médecine rencontrent la mort plus souvent que les jeunes de leur âge. L’objectif était d’évaluer le vécu des externes en médecine de la Faculté Paris-Diderot face à la mort de leurs patients et son impact sur leur formation. Méthode : étude qualitative à partir de vingt-et-un entretiens individuels semi-dirigés d’externes de la Faculté de médecine Paris-Diderot autour de quatre grands registres : le vécu, les circonstances, l’accompagnement et la formation. Résultats : l’ambivalence ressentie par les étudiants face à la mort de leur patient est à la fois 1) émotionnelle, perçue comme une source de souffrance ou d’excitation, voire même d’indifférence ; et 2) consciente et volontaire, l’étudiant souhaitant s’y confronter ou au contraire la fuir, l’exprimer ou l’éluder. Les circonstances du décès et la relation entretenue avec le patient influencent les sentiments de l’externe et façonnent son identité professionnelle. Le soutien d’un tiers, qu’il soit de la sphère personnelle ou professionnelle, reste indispensable car il aide à « penser, dire et faire ». Discussion : le vécu de l’externe est attaché aux places/positions qu’il occupe simultanément : jeune adulte, étudiant en formation, futur médecin. La mort fait partie de la vie. Elle fait aussi partie de la médecine qui, pour la rendre supportable aux soignants, se doit de la professionnaliser. Si les modèles de rôle incarnés par la hiérarchie sont parfois aidants, ils peuvent aussi être rejetés d’autant qu’ils font partie du curriculum caché dont on ne parle pas et qui est pourtant déterminant dans le devenir médecin. Il n’existe pas de formation idéale pour se confronter à la mort des patients. Les externes savent qu’ils doivent s’y préparer, à leurs ainés de les y aider. Conclusion : La confrontation à la mort questionne la représentation du métier de médecin. Elle mérite d’être accompagnée dès l’externat.
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Introduction : l’attitude des médecins généralistes lors du décès d’un patient était une thématique peu étudiée. L’objectif principal de notre travail était d’étudier les manières d’agir du médecin généraliste lors du décès d’un patient. Matériel et Méthodes : nous avons mené une étude qualitative à l’aide d’entretiens individuels semi-dirigés auprès de médecins généralistes installés dans la Somme. Résultats : onze entretiens ont été réalisés. Les actions principales auprès des familles étaient un appel téléphonique ou une visite au domicile. Certains médecins généralistes se recueillaient au domicile auprès du défunt. Leur présence aux funérailles ou au funérarium était rare. La famille était la source principale de l’annonce du décès. Certains facteurs comme l’âge ou le mode de décès pouvaient influencer le médecin généraliste dans ses actions ou ses réactions, tout comme la relation médecin-patient. Discussion : l’évolution des pratiques médicales et de la relation médecin- patient a un rôle à jouer dans l’évolution des pratiques. Notre étude mettait aussi en évidence un manque de formation dans le domaine du deuil ou de l’accompagnement, ainsi que dans celui des soins palliatifs. Conclusion : chaque médecin généraliste avait sa propre manière d’agir, avec un caractère personnel dans ce contexte. La question d’une généralisation des pratiques pouvait donc encore se poser.
Author: Basile Kwasny
Author: Basile Kwasny
Author: Capucine Rey
Author: Marie-Caroline Richard
Author: Clément Guineberteau
Author: Cécile Benoist-Harang
Author: Nicolas Gallet
Author: Guillaume Belouriez
Author: Lucie Papelard
Author: Laure Cescon
Author: Eugénie Lahoussoy